Si la romancière anglaise a fini par constituer un archétype, rien de tel en ce qui concerne sa consœur française dont l'"histoire" se révèle beaucoup plus ancienne et complexe.
En effet, débute dès le XVIIe siècle une phase paradoxale où les femmes, pleinement associées à la vie de l'esprit dans la civilité mondaine de l'Ancien Régime, oscillent entre autonomie littéraire et réserve.