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EAN : 9782365773584
208 pages
Urban Comics Editions (11/07/2014)
3.74/5   27 notes
Résumé :
Oliver Queen est l’héritier d’une fortune colossale qu’il utilise pour financer la croisade de son alter ego :le justicier masqué Green Arrow. Mais tout ceci vole en éclats le jour où l’assassin Komodo s’en prend à ses plus proches alliés et lui révèlent les secrets sur la disparition de son père.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Vous ne le savez peut-être pas, mais Urban Comics ne publie pas Green Arrow maintenant uniquement parce que la série télévisée Arrow attire de plus en plus de fans, non, cette publication arrive surtout parce que l'histoire qu'elle contient vaut le détour après des numéros largement critiqués et critiquables. Jeff Lemire et Andrea Sorrentino reprennent au numéro 17 une série qui partait à vau-l'eau et balaient dès la première page tout ce qui n'allait pas précédemment, « comme une vaste blague » ! Prêt pour un nouveau départ ? Oliver Queen a intérêt à l'être !

Sans grande introduction, mais par une plongée directe dans l'action et le quotidien d'Oliver Queen, nous découvrons très rapidement le nouvel adversaire très sérieux de Green Arrow, Komodo, et tout aussi vite un potentiel allié, Magus. Tout cela fleure déjà bon de nouvelles origines, des inspirations mythologiques mais aussi plus exotiques. Les fondamentaux de Green Arrow sont bien présents : la jeunesse et l'impétuosité d'Oliver Queen, les combats à l'arc, la petite équipe de soutien, ainsi que les déboires de l'entreprise familiale, Queen Industries.
C'est un peu compliqué, au départ, de cerner le style de dessin porté par Andrea Sorrentino, mais tout cela est largement compensé par la construction plutôt recherchée et très méthodique des cases et des planches. Zooms, démultiplications d'un personnage au sein d'une même case, scènes parallèles sur une même planche, les effets graphiques se succèdent les uns aux autres sans être gratuits le moins du monde. Même si on met un peu de temps à s'habituer aux graphismes d'Andrea Sorrentino, les jeux sur les lumières sont très réussis et la mise en valeur de champs/contre-champs dans la même case est parfaitement maîtrisée, ce qui rend le trait de cet artiste forcément plus intéressant à découvrir désormais. Cela fonctionne d'autant mieux que nous avons affaire à un duel à mort entre deux entités parfaitement parallèles.
L'épisode 21 et les suivants lancent le héros encapuchonné vers un voyage initiatique, certes classique, mais salvateur pour ancrer le personnage dans une histoire plus large et plus ambitieuse. C'est d'ailleurs le passé qui régit toute la fin de ce premier volume, puisque les actes du père Queen rejaillissent inévitablement sur la destinée du fils. La mythologie du Green Arrow s'installe tranquillement : les Outsiders, les antiques totems guerriers, l'origine du Comte Vertigo (lors de l'épisode 23.1, spécial « Vilains Month »), quelques menaces sont dévoilées pour les prochaines aventures de l'Archer Vert... il devra bien devenir une véritable « machine à tuer » pour faire face à tout ce beau monde !

Le nouveau départ opéré par Jeff Lemire et Andrea Sorrentino sur le personnage de Green Arrow fait ô combien du bien ! Une psychologie cohérente, des adversaires qui valent le coup, une mythologie constructive et des dessins énergiques : que demande le peuple ?!

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Ce tome contient les épisodes 17 à 24 et 23.1, initialement parus en 2013/2014, écrits par Jeff Lemire, dessinés et encrés par Andrea Sorrentino, avec une mise en couleurs de Sorrentino (épisode 17), puis de Marcelo Maiolo (épisodes 18 à 24 et 23.1). Il est possible de commencer la série par ce tome, sans avoir lu les précédents, Lemire et Sorrentino reprenant la série à partir de ces épisodes.

Oliver Queen avance en titubant dans le désert de l'Arizona, sous un soleil de plomb. 3 semaines auparavant, il apprenait que monsieur Emerson, le gérant des entreprises Queen, avait tout vendu et que lui Oliver Queen se retrouvait sans le sou. Alors qu'il se trouvait dans son bureau, Emerson est assassiné par une flèche et Queen est accusé à tort du meurtre. Alors qu'il fuit dans la rue, il est agressé par Komodo (l'archer qui a tué Emerson) et il ne doit son salut qu'à l'intervention de Magus (un individu sans yeux). Queen va aller trouver Henry Fyff (un employé qu'il avait licencié lui-même) pour qu'il lui apporte son soutien logistique (armes et accessoires technologiques) afin de délivrer Naomi Singh et Jax, les 2 employés qui assuraient sa logistique à Q-Core (une filiale de Queen Industries) qui ont été enlevés par Komodo et sa fille. Par la suite il va se retrouver confronté au comte Vertigo (Werner Zytle) et il va croiser le chemin de Shado.

Dans le cadre du redémarrage à zéro de l'univers partagé DC en 2011, les lecteurs découvrent plusieurs séries déconcertantes dont "I, vampire" (en 3 tomes, à commencer par Tainted love en VO). Outre un scénario gothique sortant de l'ordinaire, cette série bénéficie de dessins tout aussi gothiques réalisés par Andrea Sorrentino. C'est donc fort logiquement que la curiosité amène à le suivre sur son travail suivant : Green Arrow.

Sorrentino dessine dans une veine réaliste, avec des ombres portées légèrement renforcées (sans qu'elles ne mangent tout le dessin, ou les détails). Dès la première page, le lecteur est vraiment dans cette zone sablonneuse désertique à souffrir sous le soleil aux côtés d'Oliver Queen. Dès la page d'après, il se retrouve dans un bureau, dans une tour, Sorrentino pèse chaque détail pour des compositions immédiatement assimilées par l'oeil, sans paraître creuse. L'encrage un peu soutenu confère une ambiance réaliste porteuse d'une forte tension dramatique. Sorrentino représente un visage portant les marques de l'âge pour Emerson, et un visage plus jeune, pour Oliver Queen. de la même manière les gestes de Queen sont amples et vifs en cohérence avec son âge, alors que ceux d'Emerson sont posés et plus retenus.

En bon artiste, Sorrentino conçoit sa propre interprétation du costume de Green Arrow, en insistant sur une approche (relativement) réaliste. Certes il a conservé le loup vert ridicule qui ne dissimule en rien l'identité civile du héros. Mais pour le reste, il a choisi une teinte vert foncé, une nuance entre le vert bouteille et le vert sapin, qui renforce la crédibilité du personnage, et il a conservé la capuche. Il compose des mises en scène qui transcrivent la tension et la rapidité des duels à l'arc, sans trace de ridicule. Pour éviter la répétition visuelle, il arrive même à espacer suffisamment les cases dans lesquelles Green Arrow ou Komodo se tiennent l'arc bandé prêts à décocher leur flèche, tout en parlant tant et plus. Il se montre également inventif et pertinent dans sa manière de représenter les effets du pouvoir de Count Vertigo.

Au fil des épisodes, le lecteur prend conscience que la crédibilité de cette histoire tient pour beaucoup dans l'approche graphique des décors et arrières plans. Comme Alex Maleev avant lui, Sorrentino intègre régulièrement des représentations quasi photographiques des environnements dans lesquels les personnages évolués. Mariés à l'encrage un peu soutenu, cette approche permet de masquer les aspects les plus tirés par les cheveux. Les duels à l'arc deviennent crédibles, et les archers apparaissent beaucoup plus dangereux que les policiers avec leurs armes à feu.

Jeff Lemire a décidé de dépouiller totalement son héros (en particulier de sa fortune et de ses facilités logistiques) pour lui en faire baver. Il commence par allécher le lecteur avec Oliver Queen proche du malaise dans le désert, puis il remonte le temps pour expliquer comment il en est arrivé là. Il intègre un nouvel ennemi (Komodo), il en dépoussière un autre avec brio (Count Vertigo), et il incorpore Magus, le personnage qui sait tout mais qui ne dispense son savoir que par bribe à chaque fois qu'il faut relancer l'intrigue. Pour le lecteur familier du personnage, il est visible que Lemire va piocher une partie de son inspiration dans les origines du personnage concoctées par Mike Grell à la fin des années 1980, voir The longbow hunters (1987, en VO), puis Hunters moon (en VO).

Jeff Lemire se montre assez habile en maintenant un rythme soutenu à sa narration qui compense les quelques faiblesses du scénario. Au bout du troisième affrontement entre Green Arrow et Komodo, le lecteur a bien compris que Lemire introduira des renversements de situation comme bon lui chante pour aboutir au résultat qu'il s'est fixé. La page d'avant, Magus certifie à Oliver Queen qu'il n'a aucune chance de battre Komodo, la page d'après Queen cueille Komodo par surprise comme le premier novice venu. Affrontement suivant, Komodo fiche 5 flèches dans le corps de Green Arrow qui gambade comme si de rien n'était la page suivante. Puis Green Arrow se jette dans une grosse conduite avec une flèche qui dépasse à angle droit de sa jambe, sans qu'elle ne se brise dans les parois, pourtant étroite. Au bout de ces 8 épisodes, le lecteur est impressionné par le volume d'informations que Lemire a réussi à faire passer, mais aussi par son aptitude à faire entretenir artificiellement le suspense sur Magus et sur les Outsiders, sans progression notable sur ces mystérieux individus d'un épisode à l'autre. Par contre, Lemire a l'art et la manière d'aller piocher dans le catalogue de personnages de l'univers DC pour y choisir des patronymes mystérieux, et les dépoussiérer dans le cadre de la remise à zéro "New 52", comme Shado ou Richard Dragon.

Par rapport à un comics de superhéros traditionnel, Jeff Lemire et Andrea Sorrentino proposent un thriller haletant qui rend crédible Oliver Queen, en jeune superhéros maniant l'arc et la flèche avec habilité. C'est déjà un bel exploit que d'arriver à crédibiliser un Robin des Bois urbain, avec un loup inutile. Par comparaison avec le lot de la production mensuelle, cette histoire mérite ses 5 étoiles. Néanmoins il subsiste quelques maladresses de scénario et de dessins qui font redescendre le niveau d'immersion. Décidément, entre cette série et The Arrow - Saison 1, 2013/2014 est la saison Green Arrow.
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Si jamais vous n'êtes pas un habitué des comics et que, comme beaucoup sans doute, vous vous demandez si ça vaut le coup pour vous de lire ce recueil vu que vous n'avez jamais lu la série Green Arrow depuis sa création dans les années 40. La réponse est simple : OUI !

Je sais... Il n'y a pas de quoi. de rien et à bientôt.

Jeff LEMIRE ne fait pas totalement table rase du passé mais c'est tout comme. Les seize premiers numéros de Green Arrow depuis son reboot lors du 'new 52' ne valaient pas grand chose. C'était du super-slip de bas étage qui n'arrivait même pas à divertir.

Dans cet album, Oliver Queen (Green Arrow dans le civil) va découvrir que ce qu'il croyait savoir de sa vie n'était que la partie émergée de l'iceberg.
LEMIRE va donc poser de nouvelles bases à l'univers de l'encapuchonné vert. Mystères, révélations familiales, sociétés secrètes et nouveaux ennemis seront donc de la partie.

Les dessins d'Andrea Sorrentino apportent beaucoup de réalisme tout en conférant un aspect crépusculaire et sombre au ton général de la série. Son trait me fait beaucoup penser à celui de Jae Lee.
Tout comme la série à l'archer de chez Marvel (Hawkeye, sacrément recommandée), il y a beaucoup d'effets graphiques : ronds concentriques à la Vertigo d'Hitchcock, des cadrages pour isoler un détail ou souligner une action, des praxinoscopes étalés pour simuler une séquence cinétique, ...

Que vous soyez le coeur de cible ou non, vous passerez un bon moment avec le Green Arrow de Jeff LEMIRE.
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La série télé "Arrow" rencontrant un certain succès, les pontes de DC ne pouvaient laisser ce personnage dans les abîmes de médiocrité au sein desquelles ils l'avaient plongé lors des 3 premiers tomes V.O.. Nous sommes donc ici en présence du tome 4 de Green Arrow avec Jeff Lemire aux commandes. Cependant, vu la faiblesse des 3 précédents opus, Urban comics (filiale française de DC) a décidé de faire table rase du passé et de ne pas les publier, faisant de ce "Machine à tuer" le 1er tome en V.F.. Par conséquent, l'histoire démarre au numéro #17 de la série.
Ce court extrait résume assez bien la philosophie de DC: "Peut-être que repartir de zéro me permettra d'être un nouveau... et un meilleur Green Arrow" (Oliver Queen).

Et c'est gagné puisque le duo Lemire-Sorrentino fonctionne à merveille et offre un travail de qualité.

La première page nous montre un Oliver Queen à bout de force dans le désert. Après quoi, flashback de 3 semaines où l'histoire démarre sur les chapeaux de roue lorsque le lecteur et notre héros assistent impuissants à la destruction du monde d'Oliver Queen ainsi que de celui de... Green Arrow. Le responsable est un archer noir qui connait manifestement sa double identité. Pour comprendre ce qu'il se passe et avoir une chance d'arrêter son ennemi, Oliver devra plonger dans son passé familial... Je ne dirai rien de plus pour pas spoiler si ce n'est qu'Ollie va en baver !

Jeff Lemire modernise et approfondit la mythologie de l'archer vert en la liant à différents clans ancestraux qui ont chacun leur identité propre et une arme totem comme symbole. Le délire "société secrète" bien qu'un peu cliché fonctionne très bien grâce à l'ajout de ces factions armées.

En plus des scènes d'action palpitantes, l'intrigue est parsemée de révélations sur le passé du héros et sur les secrets que cachaient son père avant sa mort. Pour être le plus objectif possible, je dois avouer avoir vu venir une partie des révélations tant quelques-unes sont stéréotypées. Malgré cela, le plaisir de lecture reste entier.

De plus, le scénariste soigne la caractérisation de ses personnages et en particulier celle de ses méchants. Ils sont ici au nombre de 3 et leur importance grandira vraisemblablement au fur et à mesure du run de Lemire (qui s'étend sur 3 tômes). Le fait d'ajouter des personnages de la série télé "Arrow" est une idée lumineuse surtout lorsque ceux-ci apportent une vraie plus-value à l'histoire à l'image du personnage de John Diggle.

La partie graphique est à couper le souffle et donne une véritable identité à la série. Le rendu des scènes d'action est époustouflant de crédibilité tant elles sont dynamiques et bien découpées. Rendre palpitant un combat au tir à l'arc n'était pas gagné d'avance et Sorrentino relève le défi haut la main grâce à quelques astuces. Je citerai entre autre le fait de zoomer sur une partie spécifique du dessin pour amplifier le mouvement des protagonistes ou encore d'insérer les scènes d'action à l'intérieur des onomatopées. Malheureusement, si ce style graphique particulier m'a plu, il pourrait rebuter un certain nombre de personnes tant il se distingue de la norme actuelle.

Bref, la reprise en main de GA par le tandem Lemire-Sorrentino est une réussite et augure de bonnes choses pour la suite. :-)
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Après avoir été agréablement surpris par l'album « Green Arrow – Année Un », je me suis volontiers laissé tenté par ce premier tome issu de la collection « DC Renaissance » d'Urban Comics. Ce fameux relaunch « The New 52 » de DC Comics est en effet censé proposer une nouvelle porte d'entrée à tous les néophytes en remettant à zéro les cinquante-deux séries de l'univers DC, dont celle dédiée à Green Arrow.

Par contre, grosse surprise en début d'album, en découvrant qu'Urban Comics a choisi de commencer la série à l'épisode #17, faisant ainsi l'impasse sur les premiers numéros écrits par J.T. Krul, Keith Giffen, Dan Jurgens et Ann Nocenti. La qualité de ces derniers laissent apparemment à désirer, incitant l'éditeur à attendre l'arrivée de Jeff Lemire et Andrea Sorrentino sur le titre pour lancer la saga. du coup, « Machine à tuer » reprend les épisodes #17 à #24 de Green Arrow, ainsi que l'épisode #23.1 : le Comte Vertigo. Et après lecture, force est de constater qu'Urban Comics a été très bien inspiré d'attendre le run de Jeff Lemire, car ce dernier propose une remise à neuf particulièrement réussie du personnage. Notons d'ailleurs que le duo devrait poursuivre son travail jusqu'à l'épisode #34, avant de laisser leur place aux scénaristes qui travaillent également sur la série télévisée (Andrew Kreisberg et Ben Sokolowski), avec Daniel Sampere au dessin.

Jeff Lemire (Jack Joseph, Soudeur sous-marin, Essex County, Animal Man) a tout d'abord la bonne idée de dépouiller totalement son héros, invitant à le suivre totalement esseulé dans le désert de Black Mesa en Arizona, après avoir perdu sa fortune et ses proches et s'accrochant tant bien que mal au dernier soupçon de vie qu'il lui reste. Avant de poursuivre cette quête initiatique, l'auteur remonte dans le temps afin d'expliquer comment ce super-héros membre de la Ligue de Justice d'Amérique en est arrivé là.

De plus, Jeff Lemire ne se contente pas de repartir de zéro avec son personnage, mais se sert habilement de la mythologie de l'île afin de construire un Green Arrow meilleur et plus intéressant. le séjour d'Oliver Queen sur l'île ferait ainsi partie d'un plan imaginée par son père afin de l'obliger à embrasser sa destinée d'archer redoutable. Et pour couronner le tout, le scénariste imagine une flopée de personnages intéressants, dont un némésis très réussis et quelques personnages issus de la série télé.

Tout cela permet à Jeff Lemire de reconstruire la mythologie de Green Arrow, tout en proposant un scénario prenant et riche en rebondissements. Il parvient ainsi à distiller énormément d'informations, tout en donnant beaucoup d'épaisseur au personnage et en livrant une intrigue captivante qui remonte loin dans le passé familial du héros.

Visuellement, le travail d'Andrea Sorrentino vaut également le détour. Dans un style réaliste, l'artiste italien n'hésite pas rechercher l'originalité au niveau de la mise en page et offre plusieurs scènes d'action très efficaces. Multipliant les trouvailles ingénieuses, notamment lors de la représentation du pouvoir du Comte Vertigo ou lors des hallucinations d'Oliver en compagnie de Magus, il étale son talent tout en faisant preuve de beaucoup d'audace.

Un tome fortement conseillé ! Retrouvez d'ailleurs cet album dans mon Top du mois et dans mon Top de l'année !


Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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critiques presse (2)
BulledEncre
07 août 2014
Jeff Lemire réinvente le personnage et on se retrouve ici avec une ambiance urbaine se rapprochant de la série TV. L’intrigue est quant à elle prenante et pleine d’action. Du côté du dessin, Andrea Sorrentino nous offre un style sombre avec un découpage souvent audacieux mais toujours fluide.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
ActuaBD
29 juillet 2014
Ce nouveau Green Arrow s’avère [...] de grande qualité. Le récit alterne action, intrigue et émotion d’une main de maître, avec un lot important de personnages mis en scène et de mystères à lever.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Parfois, un homme ne sait ce qu’il est que lorsqu’il a tout perdu.

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Seule la flèche compte. Seule la flèche dit vrai.

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Je ne vois pas des hommes... Je vois des cibles. Des cibles qui doivent êtres abattues pour que je puisse attraper mon costume. Et mon arc. Et punir celui qui a fait ça.
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"Peut-être que repartir de zéro me permettra d'être un nouveau... et un meilleur Green Arrow" (Oliver Queen).
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