L’éthique de finitude est un consentement à ce qui est. Ce consentement à mes limites, c’est la même chose que la prise de possession de mes vraies possibilités, c’est-à-dire de mes possibilités libérées de mes fantasmes de toute puissance,
Jean-François Malherbe: La qualité du temps dialogique
(Séminaire de recherche en systémique, Lausanne 2014)
Quel était le terme des Grecs pour “temps”? Ils en employaient cinq pour différencier le caractère spécifique du temps!