« À l’origine de la littérature, il y a d’abord la puissance du mythe. Les Thanatocrates nous rappelle la présence incommensurable de la mort et du désir, indissolublement liés. Ces deux-là sont l’alpha et l’oméga de l’univers. Mais dans notre île, la morbidité atteint son comble, pour le meilleur des mondes. Avec une distance voltairienne, Céline Maltère joue des codes dystopiques. L’ironie est cruelle, la phrase sèche, l’humour noir. Digne d’une boucherie héroïque...
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