Essai sur les apocalypses culturelles, l'ouvrage présente les grands thèmes de l'oeuvre d'E. De Martino, le fondateur de l'anthropologie italienne, à partir d'une recherche comparative sur les relations entre formes religieuses et sécularisées de l'idée et de l'expérience de la fin du monde, comme de sa régénération.
Une introduction replace l'étude dans la trajectoire intellectuelle de l'auteur et restitue sa réception italienne.
La fin du monde appelle à repenser le rapport entre la « vie nue » (c’est-à-dire biologique) des humains et la question des fictions nécessaires afin de lui donner du sens à cette vie.