Le juge Bao fait de son mieux pour sortir la province de He Zong de la misère et de la famine qui désime les paysans alors que les riches se mettent des oeillères pour protèger leur train de vie. Il a fort à faire surtout qu'en plus il doit éclaircir cette sombre histoire de kidnapping.
Une nouvelle histoire du juge Bao très bien réussie. J'ai bien aimé le duo de méchant, cela a changé des notables pourris qui fomentent des petits complots afin de s'enrichir encore plus. Mais ne vous inquiétez pas, des complots il y en a toujours autant. Les riches qui veulent etre encore plus riches c'est très courant!
La relation entre la princesse Xi et Zhan Zhao est aussi prévisible que peu originale mais bon ça ne gache pas le plaisir de la lecture de ce très bon polar en chine médiévale.
Les dessins sont incroyables et précis et offre un réalisme que ce soit dans les personnages ou les paysages.
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Une nouvelle histoire du juge Bao que j'ai adorée.
Toutes les histoires se suivent, mais rien n'empêche de les lire dans l'ordre que l'on veut. C'est mon cas pour ce volume-là, acheté tardivement.
C'est donc le dernier de la série que j'ai lu de cet illustre et réel Juge Bao, étonnamment habité par une volonté indéfectible de justice, une exemplarité à toute épreuve et par voie de conséquence, un combat permanent contre la misère.
J'ai adoré ...
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L'Auberge maudite est de loin mon tome préféré des aventures du Juge Bao : l'histoire est haletante, le scénario solide, les rebondissements nombreux et le coupable diabolique.
Ce tome est un peu plus violent que les précédents et donc plus sombre ce qui n'est pas pour me déplaire car la tension dramatique n'en est que plus forte.
Et une fois encore les dessins de Chongrui Nie sont de toute beauté !
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Un nouveau tome qui va nous permettre de patienter jusqu'au prochain !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Une histoire relayée par le sublime dessin en noir et blanc de Chongrui Nie, soigné et d'une précision quasi photographique.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Le récit se déroule selon une partition bien orchestrée. Les rouages sont parfaitement huilés et le difficile pourrait même trouver qu’un certain classicisme point. Pour autant, le plaisir de voir les pires complots déjoués ne manque pas de se faire ressentir. Il s’avère amplifié par le dessin toujours aussi réaliste et soigné de Chongrui Nie qui excelle décidément dans le registre et dont le trait aussi précis, expressif que détaillé ne cesse de forcer l’admiration.
Lire la critique sur le site : BDGest
Il y a quelques années, alors que je visitais à Kaifeng, l'ancienne capitale des Song du Nord, une reconstitution d'un Yamen où le juge Bao avait officié, je tombais sur une stèle où était gravé le nom d'un grand nombre de magistrats illustres. Alors que je parcourais les dizaines d'idéogrammes, mon œil dut attiré par un trou dans la pierre à la place de l'un d'eux. Ce trou, comme on me l'expliqua plus tard, était le résultat du passage de milliers de doigts sur le nom gravé, comme pour entrer en communion avec lui. Et ce nom était celui du juge Bao.
- Juge Bao : Tu comprends que je doive retenir sur ta paye les frais de nourriture de la petite sœur du jeune moine que tu as invitée à nous suivre sans me demander la permission.
- Bao Xing : Maître... Mais... Je...
- Juge Bao : Cela t'aidera meiux à comprendre l'importance de notre haute mission et... qu'on n'utilise pas l'argent de l'État pour assouvir ses propres désirs !
Tu nous as déjà prouvé ta bravoure et ton courage. La générosité et l'altruisme sont les qualités de l'homme de bien. J'apprécierais que tu les cultives, en plus de l'obéissance bien sur.
Je vois, je vois... Hum... Jeune homme, estimez-vous heureux. Dans bien des cas, le couple illégitime assassine purement et simplement le mari trompé.
Les filles, c'est comme de l'eau sur le sable... Ça ne sert à rien.
Entretien avec Patrick Marty et Nie Chongrui