Si Melmoth valut au révérend Maturin sa gloire et son surnom, " L’Arioste du crime ", et fascina des générations de lecteurs et d’auteurs (De Balzac à Eugène Sue, de Baudelaire à Breton), on s'étonne que Fatale Vengeance n'ait connu d'emblée une même destinée. Walter Scott en premier sa puissance d’imagination peu commune dans la vague frénétique qui submergeait alors l’Angleterre.
Maturin ne cherche pas à écrire un roman à sensations de plus où s’accumul...
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