Ransom

Christopher Ransom est un américain d'une trentaine d'année habitant à Kyoto (ancienne capitale impériale du Japon). Il y consacre l'essentiel de sa vie à la pratique du Karaté semblant par la même expier une faute commise par le passé. Il vit d'ailleurs dans une certaine forme d'ascétisme aillant arrêté de fumer, de boire et de se droguer depuis son arrivée au Japon. Il traîne le soir au "Buffalo Rome" avec son meilleur pote, ce dernier possède un magasin de fournitures américaines genre chapeaux de cow-boys, santiags qui font fureur auprès des japonais.

C'est un très beau roman sur le thème de la culpabilité et une immersion totale dans la culture japonaise vue par un "gaijin".

Très grosse déception pour ce roman. Jay mCInerney est l'un de mes auteurs favoris ; j'ai pourtant eu ici énormément de mal à lire ce roman, et même à le terminer.

Christopher Ransom est un jeune américain qui vit à Kyoto après la guerre du Vietnam. Il s'entraine avec une rigueur extrême dans les arts martiaux et côtoient quelques types dans son genre, ainsi que des japonais.

Je ne sais pas si c'est le thème ou l'intrigue qui ne m'inspiraient pas, mais je n'ai pas vraiment pris plaisir à lire ce livre.

J'ai découvert Jay McInerney avec Ransom. mêlant légèreté et détresse absolue, il nous entraine vers une fin "inattendue" quoique....obligatoire!
Quelque chose d'extrême et de fascinant, le poids des fautes, la faute du Père, l'errance du fils, on ne sort pas de ce livre indemne....mais ce sont nos blessures qu'il ranime...

Superbe ouvrage de Jay McInerney. Une immersion très réussie dans le Japon des années 70, vu par un "gaijin" en quête d'absolu. Tradition et modernité. Karaté et bars branchés. Courage absolu et fuite en avant. A l'enquête au coeur du milieu des Yakusas se mêle une réflexion sur la culpabilité, la faute du père et la voie du fils, les valeurs contraires et mêlées de l'Orient et de l'Occident, le sacrifice et la rédemption... jusqu'à la fin, terrible et inéluctable.

Un bon livre sur le péché et la rédemption par la mort.
Un roman singulier dans l'oeuvre de McInerney, qui fait un peu penser à du Coetzee.