"
aux délices d'Emeline" ou "comment participer discrètement à la régulation de la population de son village" ...
Je me suis un peu laissée abuser par les 1ère et 4ème de couverture.
Dans ce roman, tout est un peu trop simple. Il y a le "simple plein" et le "simple creux". Là on est clairement sur la seconde catégorie.
Ce qui retient le naufrage, est le côté délicieusement amoral de la fable (j'ai un petit penchant, j'avoue, pour la canaillerie), et la brièveté du récit (144 pages).