C'est pas toujours facile de faire un album de jeunesse.
Visiblement,
Dorothée de Monfreid n'avait pas d'idée, mais, allez savoir pourquoi, elle en a quand même fait un.
Dommage.
Elle ne savait pas quoi dessiner, alors elle a dessiné toujours les mêmes chiens, dans à peu près la même position, au même endroit, sur deux pages en vis-à-vis, en changeant juste un ou deux trucs, en leur rajoutant un déguisement par exemple. Ah, j'oubliais, elle les a assez mal dessinés, en plus.
Visiblement, elle ne savait pas non plus quoi raconter, alors elle n'a rien raconté du tout, à part une vague histoire de peur imaginaire, le genre de chose qu'on a lu à peu près 10 000 fois en littérature jeunesse.
Tant qu'à faire, elle n'avait
pas envie non plus que ce soit lisible par un adulte à un enfant qui ne sait pas encore lire, pourtant cible principale de son livre, donc elle a supprimé toute narration et l'a remplacée par des phylactères dont je vous épargnerai la profondeur.
Indigent.