Les optimistes meurent en premier

Suite à une tragédie qui a bouleversé sa famille, Pétula, 16 ans, a développé de nombreuses phobies qui l'handicapent au quotidien. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même. Au lycée, elle est forcée d'assister à des séances d'art-thérapie avec d'autres adolescents « à problèmes ».

Tout change lorsque Jacob arrive. Surnommé l'homme bionique depuis qu'il a perdu son avant-bras dans un accident, le jeune homme est passionné de cinéma. Grâce à lui, Pétula va reprendre petit à petit goût à la vie. Mais Jacob porte un très lourd secret…

Et encore un coup de coeur pour terminer 2023 ! Ce roman YA est rafraîchissant et plein de surprises. Chaque personnage, des écorchés vifs, est attachant à sa manière. La mère de Pétula est raide dingue de chats, Koula est hilarante et touchante, Jacob est un véritable soleil… Bref, des personnages uniques.

Les thèmes du deuil et des addictions sont abordés avec justesse et une pointe d'humour qui agissent comme un baume au coeur. Ce roman pourra plaire à beaucoup et s'inscrit dans mon top des meilleurs lectures sur les troubles psychiques (ici, la dépression). À lire !

𝐋𝐞𝐬 𝐨𝐩𝐭𝐢𝐦𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 🐈
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𝐒𝐮𝐬𝐢𝐧 𝐍𝐢𝐞𝐥𝐬𝐞𝐧
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@hachetteromans
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𝐂𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐨𝐢 ? : Pétula a développé de nombreuses phobies suite à une terrible tragédie qui a touché sa famille... Contrainte au lycée de faire partie d'un atelier d'art-thérapie, elle a du mal à supporter les autres adolescents présents. Jusqu'à ce que Jacob "l'homme bionique" arrive dans la classe !
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𝐌𝐨𝐧 𝐚𝐯𝐢𝐬 : ALERTE COUP DE COeUR 🩷
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Je ne m'attendais pas à être si bouleversé par cette lecture ! Je ne vais pas vous mentir, il faut s'accrocher car on passe vraiment du rire aux larmes 🤧
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Côté personnages : Pétula est remplie de phobies plus bizarre les unes que les autres et c'est sa manière à elle de gérer son deuil 💔 Quant à ses parents, sa mère compense en accueillant des chats (cat-lovers, ce livre est pour vous) et son père en travaillant plus... L'humour de Jacob, c'est pépite !
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La bande d'adolescents crée des liens petit à petit et il faut dire qu'au début, ce n'était pas gagné 🥲 Et au final, on s'attache vraiment à tout ces gamins 🤍
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Je n'ai pas vu le temps passer avec ce livre ! Il est touchant, réaliste et si bien écrit 🤍
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Il va me rester des années en tête, j'en suis sûr car il m'a réellement touché au coeur ❤️‍🩹
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𝐓𝐡𝐞𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐛𝐨𝐫𝐝𝐞𝐬 : deuil, handicap, phobies, amour, amitié, famille
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Il vous tente ?

La vie de Pétula a changé le jour où un terrible drame, dont elle se juge responsable, a détruit sa famille. Depuis, elle se protège comme elle le peut de tout ce qui pourrait la mettre en danger : les germes, les ascenseurs, les zones en travaux. Pour pallier à ça, elle a intégré (et pas de son plein-gré) un cours d'art-thérapie. Malheureusement, rien ni personne n'arrive à réparer son coeur brisé. Jusqu'à Jacob, un jeune garçon qui cache un lourd secret.

Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai adoré les protagonistes, mais tous se sont démarqués et j'ai pris beaucoup de plaisir à les suivre - qu'il s'agisse de Pétula, de ses parents, de son ancienne amie, de Jacob, ou des adolescents qui font partie de leur atelier. de même j'ai aimé la romance, les touches d'humour, les liens qui se tissaient entre la bande au fil des pages.

Les optimistes meurent en premier est une histoire douce-amère, triste et bourrée d'espoir qui aborde des thématiques telles que le deuil, la culpabilité, l'anxiété, le handicap et la santé mentale avec une infinie justesse. C'était court, certes, mais terriblement beau et poignant. Ce roman n'est pas un coup de coeur, pourtant, à certains passages, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps (probablement parce que j'ai une petite fille de 4 ans - comprendra qui pourra). Alors, vraiment, je le recommande. Merci aux éditions Hachette Romans pour l'envoi de ce livre et pour la confiance qui m'a été accordée. ♥

Au programme: une lycéenne traumatisée qui ne peut se détacher d'un étouffant sentiment de culpabilité suite au décès de sa soeur, une famille devenant refuge pour chats abandonnés au bord de l'implosion et un nouvel élève dont la venue se révèle aussi salvatrice que dévastatrice, bienvenue en ARTPSY dans ce touchant opus que constitue Les optimistes meurent en premier!


Alerte à la pépite! Son format poche et son illustration de couverture toute mignonne ne laissent pas forcément présager le tsunami d'émotions à venir :) J'ai adoré la plume de S.Nielsen et l'intrigue développée au fil des chapitres qui a su aborder des thématiques difficiles avec justesse et subtilité: drame familial, différence, abandon, addiction, handicap, angoisses, troubles du comportement, deuil mais aussi reconstruction, amitié, amour et surtout espoir de lendemains plus ensoleillés.


J'ai tremblé, douté, repris confiance et perdu espoir, ri aux éclats, vécu chacune des frustrations et été profondément attendrie par ce petit groupe hétéroclite brisé par la vie. Que ce soit aux côtés de Pétula essayant de surpasser ses peurs par les loisirs créatifs, ses parents complètement dépassés dans leur deuil, Jacob et sa passion pour l'expression via les vidéos, Koula à la pseudo apparence inébranlable, Alonzo dont la famille ne supporte pas le coming out ou le touchant Ivan qui arrive enfin à se découvrir des amis...


Une lecture douce et amère, touchante et impertinente, réconfortante et émouvante, une lecture profondément humaine, en résumé.

Ressentir de l'anxiété est normal en réponse à un danger ou à un stress, mais quand cet état se prolonge et entrave le quotidien, on parle de trouble anxieux.

Pétula de Wilde vit avec de nombreuses phobies et un trouble anxieux depuis la mort accidentelle de sa petite soeur.

Cette adolescente a des comportements d'évitement pour se tenir à distance des dangers potentiels. Elle vit avec un sentiment d'inquiétude permanent et excessif.

Son groupe d'art-thérapie et surtout un nouvel élève vont lui permettre de progresser.

Pétula reprend progressivement à la vie. Les personnages sont attachants et touchants. Ce roman jeunesse aborde la santé mentale, l'addiction, les conduites à risques, le deuil, le traumatisme, la culpabilité, le pardon et la reconstruction. J'ai passé un super moment de lecture.
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La première chose qui m'a attirée c'est cette couverture que je trouve absolument magnifique ! Et ça m'a suffit car je ne suis pas une grande amatrice des romans "tranche de vie" (à la John Green, par exemple).

Les optimistes meurent en premier raconte la rencontre entre Pétula, une adolescente de seize ans pleine de phobies et Jacob, garçon du même âge, qui a une prothèse à l'avant-bras.
A travers cette rencontre et la construction d'une relation, le roman aborde des thèmes forts tel que la culpabilité, le deuil ou encore les personnes en situations d'handicape. Mais l'ensemble du roman est construit avec énormément de douceur et autant d'humour. Et malgré le constat très pessimiste du titre, il s'agit d'un livre profondément optimiste.

La lecture est rapide car l'autrice a un style efficace et prenant qui sait aussi être très touchant quand il le faut.

Les personnages de ce romans sont tous différents avec une forte dimension tragi-comique, ce qui les rend uniques et attachants.
On sent chez eux (surtout chez les élèves en Art-thérapie) une véritable évolution le long du roman, leur offrant ainsi un certain réalisme et permet aux lecteurs de s'identifier à plusieurs personnages.

Les optimistes meurent en premier est donc une très belle découverte et une chouette rencontre avec l'autrice, Susin Nielsen.
Après la lecture de ce livre qui m'a fait mise de bonne humeur, j'ai regardé la bibliographie de cette autrice et j'ai déjà noté d'autres titres à découvrir (Nous sommes tous des molécules, qui me tente beaucoup trop) !

La première fois que j'ai lu le titre, j'ai lu "les pessimistes meurent en premier", parce que cela avait plus de sens pour moi. Preuve que je suis optimiste ? Mais Pétula dit que c'est prouvé, alors je dois avoir tort.

Pétula de Wilde a perdu sa petite soeur Maxine. Depuis elle évite toute situation à risque, que soit de recevoir le ciel sur la tête ou les microbes des voisins.
Elle tient même un album avec des gens qui sont morts d'une façon... inattendue : en se coupant avec une enveloppe, en arrosant les fleurs, en marchant dans la rue... Effectivement, en sachant ça je ne suis pas très rassurée. Alors je préfère chasser ces exemples de ma tête et me dire que si je ne suis pas au courant des choses aux statistiques improbables, je n'aurai pas peur. J'ai déjà suffisamment de peurs à surmonter comme ça !

Elle rencontre Jacob Cohen, grâce à lui, elle va commencer à revivre.

J'ai beaucoup entendu parler de ce livre et je suis finalement tombée dessus par hasard à la bibliothèque. •
J'ai beaucoup aimé ma lecture mais ce n'est pas un coup-de-coeur.

L'histoire est très originale et émouvante. J'ai également bien aimé le style un peu tranché de l'auteur. Je ne sais pas si elle a écrit d'autres livre j'essaierai de me renseigner.

Cependant le gros point négatif pour moi était les personnages. Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas réussi à m'attacher à eux. Leurs histoires sont incroyables et ils sont vraiment bien construits mais je n'ai pas ressenti d'émotion particulière ou de lien avec eux...

Pour conclure, si les personnages ne définissent pas totalement ce que vous pensez d'une histoire, je vous conseille fortement ce livre.

Très facile à lire, un sujet dont on parle certes peu (les ados sous suivi psy dans le cadre scolaire suite à des traumatismes -sobrement appelé « le club des tarés » parce que les ados sont toujours tellement meugnons entre eux) mais abordé de manière bienveillante, sensible et avec des touches d'humour. Les « cas » ont beau être extrêmes, tout reste très réaliste et les personnages provoquent l'empathie. Ca pourrAIT presque être classé dans du feel good mais avec une profondeur supplémentaire que je n'ai jamais trouvé dans les romans revendiqués comme tel.
Lien : https://tsllangues.wordpress..

Le titre est très intrigant. Assez pour donner envie de lire ce roman à lui tout seul.

Et malheureusement, je n'en retiendrais pas grand chose d'autre, si ce n'est que selon une étude, les gens pessimistes vivraient en moyenne dix ans de plus que les optimistes.

Après c'est pas foncièrement un mauvais livre...c'est juste que c'est un roman pour ados pur jus, qui n'a rien de très original et ressemble à beaucoup du genre. D'autant que je ne suis plus trop la cible visée, ce livre avait peu de chances de me toucher.

D'autant qu'on reste dans la légèreté et l'humour, avec une personnage atypique mais pas tant que ça devenue hypocondriaque et un peu parano sur les bords à toujours craindre le pire. Et d'autres personnes "amochés" qui comme elle, essaient de se reconstruire. Ils ont des réactions parfois assez caricaturales, et exagérées, et créent du drame à partir de pas grand chose.

Pourtant, l'aspect vraiment dramatique reste assez en surface, parce que bon, le but c'est plus de faire rire que pleurer. Et les sujets intéressants, comme le deuil et la culpabilité me semblent assez sous-exploités.

Et du coup, ça perd en impact. Ca reste assez fade, sur une histoire comme on en a vue tellement.