Ce tome suit la lancée du précédent, mais il approfondit davantage la relation entre Rider et Waver et j'ai trouvé cela très touchant. Cependant le répit est de courte durée car Caster est prêt à tout pour défier Dieu.
On sent que la confrontation contre Caster va être explosive ! Ce dernier prépare un gros coup et il semble inévitable une collaboration entre les servants et leur maître.
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Un tome 7 en demie-teinte, qui traîne un peu en longueur mais est indéniablement le tome du calme avant la tempête!
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Iskandar : Pour résumer... Je te déconseille de croire les écrits de ces inconnus quiboretendent t'enseigner l'Histoire alors qu'ils n'en connaissent rien.
Waver : Ça ne te vexe pas plus que ça ? Tous les hommes influents de l'Histoire tiennent pourtant à marquer la chronologie humaine. Je pensais que ça te mettrait en colère.
Iskandar : Certes, c'est en quelque sorte une marque de reconnaissance éternelle que je ne renie pas... mais que m'apporte-t-elle au final ? Si je devais opter entre voir mon nom inscrit pendant deux mille ans dans ces paperasses ou avoir ma vie rallongée ne serait-ce que d'un dixième de cette période, mon choix ne serait pas bien difficile.
Caster : Notre imagination s'oppose sans cesse à la haine provoquée par l'ignorance. C'est pour cela que nous ne devons pas nous attacher à nos oeuvres.
Toute réaction est vouée un jour ou l'autre à disparaître, c'est son destin. Nous autres artistes sommes censés éprouver de la joie et de la satisfaction non pas dans la contemplation mais dans l'élaboration de nos réalisations.
Gilgamesh : Cependant, il existe deux sortes d'arrogance. Celle dont font preuve les pleutres, et ils sont légions, et celle de ceux dont les utopies dépassent de loin l'entendement et le raisonnement humains. Et j'ai une affection particulière pour ces derniers.