Ce livre est une romance paranormale qui m'a fait passer un très bon moment. Cette histoire se lit très vite grâce à de nombreux rebondissements et des personnages que l'on apprécie dès les premières pages.
Je pense que la suite sera toute aussi intéressante voire encore mieux vu la fin de ce premier tome.
Zach et Noah sont amis depuis qu'ils ont cinq ans, ils ont toujours passé leurs été ensemble à faire les quatre cents coups. Il y a un an, Zach a eu le courage d'embrasser Noah dont il est amoureux depuis plusieurs années et Noah lui a rendu son baiser. le lendemain, alors que Zach est sur un petit nuage, Noah va lui briser le coeur en lui annonçant qu'il ne peut plus être son ami et qu'il ne peut plu le voir. Un an plus tard, ces deux là se retrouvent et finissent par s'avouer leurs sentiments. Pourtant tout n'est pas parfait car Noah semble cacher quelque chose. Zach va finalement réussir à le parler et va apprendre que ce dernier fait parti d'une famille de chasseur de vampires. Mais ce n'est pas tout, suite à une attaque, il a perdu ses parents et est devenu lui-même un vampire.
Zach et Noah sont très touchants, leur complicité due à leur longue amitié se ressent tout de suite dès qu'ils se retrouvent. On apprécie qu'ils ne se cachent pas leurs sentiments et qu'ils se protègent mutuellement. Au fur et à mesure on va apprendre comment chacun à vécu cette année de solitude et franchement on est triste pour eux.
La fin est très belle et montre que leur relation est simple, profonde et sans chichi.
L'auteur a sa propre vision du monde des surnaturels que l'on survole dans ce premier tome puisque l'on découvre les lycans, les vampires et les sorciers. J'espère que nous en apprendrons encore plus dans les prochains tomes.
Les amis de Noah sont aussi intéressants et intrigants notamment PC....
En bref, j'attends la suite!!!!
Boulimique des livres
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Nous parlions et écrivions des histoires, lisions des comics et rêvions de notre avenir. J’avais décidé que nous irions tous les deux à l’Université de New York après le lycée. Il avait accepté, et nous prévoyions de partager une chambre. J’étais si éperdument amoureux de lui à ce moment-là que j’avais atrocement hâte de passer chacune de mes nuits à quelques mètres de lui. Je me souvenais avoir souhaité que notre dernière année de lycée passe en un éclair pour que nous puissions être ensemble. De temps à autre, je ressentais un élancement douloureux à la pensée qu’il puisse rencontrer une fille.
J’aimais voir à quel point je me sentais à l’aise avec lui. Même quand nous étions entièrement vêtus et non plus en train de nous attaquer l’un à l’autre – même si je devais admettre que je n’étais pas contre –, il y avait cette agréable familiarité. Nous vivions l’étincelle et la flamme d’une nouvelle relation, sans la gêne qui les accompagnait.
La colère n’était pas vraiment la meilleure solution pour guérir l’insomnie. Pas plus que la frustration ni la douleur irréparable d’un amour à sens unique.