J'ai tué mes textes. Les ai étranglés de mes mains blanches privées du sang d'Espagne. Je suis de la lignée des Livides. De ceux à qui les plus lointains ancêtres de la plus lointaine Castille ont noué les veines, afin que leur corps ne prétende qu'aux épousailles des pierres.
Mon sort est de briser les pierres; de goûter la science du soleil et que fonde mon sang glacé.
Dans l'eau, les yeux, les doigts, les seins des femmes sont violacés.
Oui, ...
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