Le titre porte en lui la nouveauté du projet : on n’étudie pas ici le combat des héros, mais la face occultée de la guerre, son envers, et la manière dont les cités grecques n’ont cessé de la mettre en débat. Contrairement aux idées reçues, les Grecs ressentaient le choix de la guerre comme un échec qu’il fallait conjurer par certaines stratégies, protectrices ou défensives, par des institutions, des formes de discours, des comportements partagés, des projets politi...
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