Machine God est une énième lecture pour moi de cet auteur québécois que j'aime beaucoup.
Jean-Jacques Pelletier à la qualité de ne pas prendre ses lecteurs pour un idiot en écrivant ses romans. Ce qui donnes des récit touffus, dense auquel il faut s'attarder.
Ce roman, treizième depuis le début de sa carrière, est dans la continuité des précédents. Donc si vous n'avez rien lu de Pelletier, mon résumé de vous diras rien. le roman raconte l'histoire de dirigeants religieux qui se font tués à New York dans des mise en scène farfelus et dont les images se retrouvent dans les médias et les réseaux sociaux. Un enquêteur du NYPD, Nathalia et Gonzague Théberge seront amenés à collaborer ensemble quand tout les indices de ces meurtres se mettent à pointer vers Victor Prose, disparus depuis deux ans. Comme toujours, une histoire de mort, de politique, de religion mais aussi de sosie, de science, de métaphysique.
Comme dis au départ, j'adore les récits de
Jean-Jacques Pelletier qui ne nous prend pas, nous lecteurs, comme des êtres lobotomiser. Il y a de nombreux personnages qui évoluent d'un roman à l'autres et qui entre dans les domaines politique et policier de manière réaliste. Avec
Machine God nous sommes bien loin de la chick lit et cela me ravit.