J'aime pas mourir

Raymond n'a pas pu devenir apprenti boulanger puisque la fourgonnette du boulanger s'est fracassée contre un arbre...
Il retourne donc à l'école mais souffre tellement que son comportement ne peut plus passer inaperçu (il mange des craies et se tape la tête contre les murs...). L'instituteur recommande donc à ses parents de le placer dans une école spécialisée au bord de la mer avec d'autres enfants "marginaux".
Là-bas, Raymond va découvrir l'amitié et même l'amour et la tranquillité d'un environnement sans violence.
C'est le volume que j'ai préféré dans cette trilogie ( entre Les oreilles en pointe et Comme des adieux) mais malheureusement cette pause dans la pauvre vie du héros de saurait durer...

Lecture rapide de ce livre.
Rédigé à la première personne.
Les phrases sont longues.
C'est écrit de façon parlée d'un enfant : sans filtres ni syntaxe.
J'ai trouvé cette manière de rédaction adéquate : on a l'impression de lire le journal intime d'un petit garçon.
J'ai bien aimé cet ouvrage, surtout qu'il se déroule dans les Landes.