Ce pourrait être un livre ami. A défaut d'être vraiment ami avec son auteur Thierry Renard, son ouvrage
La nuit est injuste m'inspire tant d'empathie que je me suis lié d'amitié avec. Un ami-livre. Plus de deux cent cinquante pages de doute, de réflexion, d'indignation, de joie et de soleil. Un partage avec
Pasolini, Ungaretti,
Rimbaud, Camus, etc. Une « impudique pudeur » d'un « écorché vif » entre solitude et Italie, entre Amérique et écriture, entre lecture et révolte, toujours dans l'humanité. « Des pleurs sur un visage / c'est peut-être aussi ça / un poème » .