Sur la quatrième de couverture
(...) le squelette n'évoque pas la mort mais seulement sa représentation plastique et métaphorique. Seule la pourriture - pourriture exposée à la canicule et aux mouches,
pourriture humide dans la viscosité de la glaise - me suggère l'horreur de la mort. Or, le squelette est propre, lisse, joli comme un objet bien nettoyé et, de plus, passablement cocasse.
(...) je considère comme achevée, faute de combatta...
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