Fin de pentalogie en forme de lutte non-finale entre le bien et le mal. Enfin, si on admet que le mal, ce sont les brunes et les êtres cornus et à face animale (marrant cette représentation du mal sous forme animale...)
Et le bien, ce sont plutôt les blonds et les blondes avec éventuellement des ailes et des épées.
Donc voici ces deux forces qui s'affrontent autour du héros qui semble tiraillé entre elles, à l'image de l'humanité sans doute.
Graphiquement, c'est toujours réussi et le scénario, bien qu'un peu bavard, clôt correctement la série.
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- Les hommes ont trop besoin de moi ! Ton seigneur est peut-être le sel de la vie, mais moi, j'en suis le poivre. Que serait la passion sans la violence, la peur et la souffrance?