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EAN : 9782709659222
375 pages
J.-C. Lattès (31/01/2018)
2.62/5   8 notes
Résumé :
Helena Folsadu aurait dû dire non. Elle ne connaît pas cet homme qui s’adresse à elle au café. Mais, sans explication, et soudain inspirée par une force inconnue, elle dit oui. Peu après, elle se retrouve dans une tour à La Défense, dans un bureau désert, face à un ordinateur. Sa mission est de transmettre des e-mails – pour la plupart des combinaisons incompréhensibles de chiffres – à un certain Monsieur Bellivier. Le travail prendra trois semaines et en récompens... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Un livre plutôt lent mais qui tient en haleine jusqu'au dénouement final plutôt bien trouvé. Un bon livre que je recommande.
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Un épicier parisien qui doit surveiller son voisin d'en face, une femme qui accepte une drôle de mission pour une grosse société à la Défense. Que de mystère, quel est ce lien étrange qui les unit ??? Histoire prometteuse, malheureusement il ne se passe grand chose.

ça aurait pu être un petit roman choral sur des personnages qui se croisent dans la chaleur de Paris en été. Mais rien ne se passe. On a des pistes pour des histoires mais rien n'aboutit vraiment. On n'a pas beaucoup de sympathie pour les personnages.

Je dois bien admettre que j'ai regretté d'avoir attendu M. Belliver.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
La ville est schizophrène. Pour la découvrir, mieux vaut encore s’asseoir sur un de ses bancs. Rien de tel pour y observer ces millions d’êtres humains à la recherche d’une place dans l’existence.
Et s’il y a quelqu’un qui découvre chaque jour un peu plus Paris, c’est bien Mancebo, assis sur un tabouret solidement planté devant son épicerie, au 73, boulevard des Batignolles.
Les patrons de ces fameuses épiceries parisiennes, souvent originaires des anciennes colonies d’Afrique du Nord, pratiquent des prix plus élevés qu’ailleurs, des heures d’ouverture plus généreuses et vendent des fruits plus frais. À la caisse, on retrouve généralement les membres d’une même famille à différents moments de la journée. Pour un étranger, y acheter de quoi manger sur le pouce, dans la rue, ou une bouteille de vin à déboucher dans sa chambre d’hôtel, c’est exotique. Les Parisiens, eux, s’y sentent en confiance. Les « Arabes du coin » constituent un îlot d’intimité dans l’anonymat de la métropole.
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Le plus souvent, dans un contrat de travail, on vous demande d’inscrire votre nom en toutes lettres quelque part, mais pas dans celui-ci. L’homme prit le document et je glissai quelques commentaires sur la vue afin de détourner son attention de ma signature volontairement illisible. J’avais trop envie de poursuivre l’aventure.
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— Quel crime ?
— Avoir soigné les bourreaux, des gens qui ont ôté la vie à des millions de personnes ! Que peut-on faire de pire ? Et je suis le seul à oser la juger ! J’ai interdit à mes frères et sœurs de lui rendre hommage. Vous comprenez, maintenant, ce que vous avez fait ?
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Si les bouquets de fleurs avaient pour seul but de me distinguer de la masse, alors autant prendre le taureau par les cornes et provoquer une rencontre avec celui qui était censé m’identifier. Je m’assis sur un banc devant la tour, les fleurs bien en vue sur mes genoux. Le bouquet du jour était un des plus beaux que j’avais reçus – des fleurs des champs –, pourtant, il me faisait horreur. Je luttais pour refouler mes larmes. Se sentir seule et humiliée, et persévérer malgré tout, cela demande un certain courage. Je n’étais pas certaine de l’avoir.
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Même un vieux fou chétif peut attraper un objet contondant et s’en servir comme arme.
J’avais l’impression de me trouver face à un animal sauvage : calme – mais on ne sait jamais. Je reculai. Ses mains pendaient étrangement le long de son corps, il ressemblait à un pantin agonisant, en proie à ses dernières convulsions. Je trouvai le courage de faire volte-face, tant en jetant des coups d’œil derrière moi. Il tremblait à présent de tout son corps. Peu m’importait. Il n’avait qu’à convulser jusqu’à ce que mort s’ensuive.
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