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La Nef des Fous aurait pu être une bonne lecture pour mon début de vacances. Un roman de science-fiction avec un titre pareil offrait une belle promesse de péripéties enlevées, de personnages hauts en couleur, de retournement de situations, etc. Mais l'auteur, Richard Paul RUSSO n'a pas rempli le contrat. On suit un personnage qui sert de bras droit au capitaine d'un immense navire interstellaire, perdu dans l'espace depuis des centaines d'années, errant de systèmes solaires en systèmes solaires, rempli d'humains qui ne savent plus d'où ils viennent exactement (après une révolution le journal de bord a été détruit) ni où ils vont (ils cherchent d'autres communautés humaines mais sans enthousiasme). le navire est sous la tutelle d'une église conduite par un évêque calculateur et sans scrupules. Cet évêque se dit porteur d'une mission divine : convertir l'ensemble de la galaxie.
Ce navire croise d'abord une planète où l'on trouve des humains, mais tous morts. On quitte cette planète sans aucune explication sur la nature ou l'origine du drame. On se retrouve près d'un navire interstellaire encore plus grand, et d'origine alien. L'exploration du navire alien tourne bien entendu à la catastrophe. On voit comment le héros passe d'une idée et d'une stratégie à l'autre, comment le capitaine, les équipes du navire, l'église et tous les autres s'organisent pour s'en sortir, mais sans fil directeur, sans idée novatrice, sans propos vraiment original.
Les personnages secondaires sont comme le roman, on reste sur sa faim. Ils s'insèrent très bien dans l'histoire au début, et puis leur rôle tourne court.
Même une histoire d'amour pourtant prometteuse est conduite dans un cul-de-sac.
Je suis donc très surpris que ce roman ait reçu le prix Philip K. Dick. Il n'arrive pas au dessous de la voûte plantaire de cet immense auteur.
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Gros coup de coeur pour ce space opera qui m'a tenue en haleine du début à la fin. J'ai rarement été dans un tel état de stress en lisant un livre, j'ai été sous tension tout au long de ma lecture, on peut dire que Richard Paul Russo sait jouer avec les nerfs et le palpitant de ses lecteurs.
Le tour de force de l'auteur est d'avoir su créer un climat de peur psychologique, on ne sait absolument pas ce qui va se passer, on a peur mais on ne sait même pas de quoi, la peur de l'inconnu dans toute sa splendeur.
J'étais pourtant sceptique au début de ma lecture mais une fois dedans je n'ai pas boudé mon plaisir.
Si vous aimez la série Stargate Universe, il y a des chances pour que ce roman vous plaise. le concept de base est assez semblable, un vaisseau qui voyage à l'aveuglette de planète en planète pour se ravitailler et éventuellement trouver d'autres traces de vie humaine.

Imaginez un immense vaisseau transportant à son bord les derniers survivants de la Terre, des milliers d'êtres humains n'ayant connu que ce vaisseau depuis des générations, un vaisseau certes bien équipé puisqu'on y trouve d'immenses salles recréant les paysages terrestres, néanmoins on comprend facilement que ces gens ne supportent plus ce confinement et cherchent désespérément à fonder une colonie sur une planète viable afin de jouir enfin d'un milieu naturel et non artificiel comme ils l'ont toujours connu.
Ils pensent avoir trouvé leur bonheur lorsqu'ils tombent sur la planète Antioche mais celle-ci et l'espoir qu'elle aura réveillé en eux va les mener à bien autre chose. Et c'est à partir de là que les choses sérieuses vont commencer, on dévore les pages une à une avec avidité.

J'ai beaucoup aimé aussi les conflits entre les personnages, leurs doutes et leurs questionnements. On est vraiment plongé au sein de ce microcosme particulier, au sein d'une société totalement différente où une seule religion subsiste, où tous doivent cohabiter ensemble et où l'on s'aperçoit que, malgré ça, il est toujours aussi difficile d'accepter la différence, de même qu'il est difficile de garder intacts sa Foi et ses convictions.

Entre intérêt personnel et bien collectif, les personnages devront trancher. Russo nous amène à penser comme les habitants du vaisseau et on se prend au jeu.

Lien : http://booksandfruits.over-b..
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En lisant le résumé de ce roman, je m'attendais à retrouver quelque chose du magnifique "Destination Ténèbres" de Frank M. Robinson pour l'aspect "vaisseau générationnel", voire du très intéressant "Dominium Mundi" de François Baranger du fait des thématiques religieuses abordées... Finalement j'y ai surtout trouvé ce que j'attendais de "Rendez-vous avec Rama" d'Arthur C. Clarke, car, sans trop en révéler sur l'intrigue, celle-ci tourne principalement autour de la découverte et l'exploration d'un mystérieux vaisseau extraterrestre en apparence vidé de ses habitants... Mais à l'inverse de "Rama" qui ne m'avait fait ressentir qu'ennui et agacement, j'ai totalement adhéré à "La Nef des fous". Une narration efficace constituée de chapitres courts, une lecture prenante, sans temps morts... Je crois que c'est précisément ce dont j'avais besoin après avoir peiné sur les lourdeurs et les longueurs d'"ivanhoé" de Walter Scott. Résultat, j'ai dévoré "La Nef des fous" en deux après-midi. Et pourtant, ce n'est pas un roman que j'irais recommander à tous sans réserve, ayant bien conscience qu'il peut être assez clivant.

Il y a les lecteurs qui acceptent de se laisser mener en bateau par l'auteur, et ceux qui tiennent absolument à obtenir des réponses claires aux interrogations soulevées. Ces derniers feraient mieux d'éviter "La Nef des fous" sous peine de ressentir une terrible frustration. Car si Richard Paul Russo prend un malin plaisir, tout au long du roman, à nous lancer sur de nombreuses pistes, il faut savoir que la plupart d'entre elles ne trouveront aucune résolution une fois la dernière page tournée. D'aucuns y verront sans doute une facilité de l'auteur, qui renoncerait par paresse à refermer toutes les portes qu'il a ouvertes. Pour ma part, j'y ai plutôt vu un choix fort, tout à fait cohérent dans le cadre d'un récit à la première personne. Nous sommes littéralement dans la peau du narrateur, Bartolomeo : nous voyons ce qu'il voit, apprenons ce qu'il apprend et ignorons ce qu'il ignore. Bien des auteurs auraient sorti de leur chapeau la découverte d'un super-ordinateur ou la capture d'un prisonnier destinés à révéler aux explorateurs et, par conséquent, au lecteur, tous les secrets du mystérieux vaisseau alien ; rien de tout cela ici. de la même manière que Bartolomeo demeurera avec ses doutes, le lecteur demeurera avec les siens.

La rencontre de deux vaisseaux perdus dans l'immensité de l'espace : nous sommes évidemment dans un contexte de science-fiction, et pourtant, dans son esprit "La Nef des fous" penche du côté du fantastique. On a en effet une atmosphère glaçante, une tension permanente, avec cette menace extraterrestre que l'on ressent sans presque jamais la voir en action, et quelques scènes flirtant avec l'épouvante. Mais surtout, loin de donner des explications logiques à des phénomènes extraordinaires, Richard Paul Russo nous maintient sciemment dans le flou et, comme Bartolomeo, nous sommes amenés à envisager diverses hypothèses, allant du rationnel / scientifique au mystique / religieux, tout en sachant que ces phénomènes dépassent certainement les capacités de compréhension de l'être humain. Pour les lecteurs que de grands mots comme "métaphysique" risqueraient d'effrayer, il faut souligner deux choses  : d'une part, on reste dans le cadre d'une science-fiction de divertissement, inutile donc de craindre de longs développements philosophiques ou théologiques ; d'autre part, l'aspect religieux est important sans être envahissant, et son traitement demeure nuancé et équitable : on a ainsi parmi les protagonistes une figure cléricale négative en la personne de l'Évêque Soldano, homme ambitieux et cynique, et une positive, avec Père Veronica, femme aimable et compréhensive ; on a en outre un narrateur fondamentalement athée, mais qui aimerait trouver du réconfort dans la foi et regrette d'être incapable de croire.

En bref, "La Nef des fous" est un roman qui m'a beaucoup plu, et qui plaira sans doute à de nombreux lecteurs, férus de science-fiction ou non... mais qui, du fait de choix narratifs risqués, pourrait dérouter, voire laisser un goût amer à certains.
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L'Argonos est un vaisseau-cité sillonnant la Galaxie, comptant à son bord plusieurs milliers d'êtres humains. Habitants ou passagers ? La question se pose, car si cette odyssée a une origine et un but, tous deux se sont perdus dans les mémoires depuis plusieurs siècles.

La nef des fous est le récit des évènements qui constituent vraisemblablement la période la plus critique de l'Histoire de cette petite communauté.

J'ai passé un très agréable moment de lecture, sans pour autant avoir été scotché par l'ambiance ou l'histoire.
On est sur un récit d'aventures et d'exploration spatiale que je qualifierais vaguement de classique. L'action se déroule, tour à tour et de manière équilibrée, sur une planète inconnue, dans un vaisseau alien abandonné, et dans l'Argonos lui-même.

Déjà, il faut reconnaître que les 400 pages de ce roman se lisent sans aucun effort, ce qui compense largement la présence de certaines longueurs, pour ceux qui les remarqueraient. le style est sobre et agréable, axé sur le récit et les dialogues. Les chapitres courts et homogènes (10 pages) contribuent à la fluidité de la lecture. Point de twists, point de cliffhangers. Ici la tension narrative est assurée pas la seule mécanique de la lente exploration et du suspense qu'elle suscite, avec son lot de mystères et de dangers.

Le héros et narrateur de l'histoire – Bartolomeo Aguilera – a la particularité d'être né avec des bras atrophiés, handicap qu'il compense à l'aide de prothèses métalliques. Comme dans Roche-nuée, la difformité du héros fait de lui une personnalité atypique à l'esprit particulièrement brillant. Mais alors que dans le roman de Garry Kilworth, le background du héros est essentiel à l'histoire et particulièrement bien exploité, celui de Bartolomeo sonne un peu creux ou artificiel : j'ai passé les quatre-cinquièmes du roman à m'interroger sur ce choix précis de difformité, avant d'en comprendre la raison.

Puisque j'en suis aux personnages, à l'exception notable de Père Veronica je les ai trouvés tantôt ternes, tantôt inconsistants. C'est l'aspect qui m'a le plus gêné, sans être rebutant.
La rivalité opposant l'évêque Soldano et le capitaine du vaisseau – Nikos Costa – sert de fil conducteur. Pourtant, la lutte de pouvoir qui nous est vendue n'impressionne pas. Nikos semble manquer de force de caractère de manière récurrente, tandis que l'évêque tarde à démontrer sa dangerosité.
La relation entre Bartolomeo et Nikos (une vieille amitié trahie) avait du potentiel, mais je l'ai trouvée par trop erratique.
Finalement, c'est peut-être le personnage de Bartolomeo qui m'a le plus posé problème : héros à la personnalité atypique et insaisissable, malaimé mais confident de tous, ses propres motivations ne sont jamais explicitées, et ses choix parfois peu logiques.

Les grandes qualités de ce roman sont à mon avis :
- le récit d'exploration dont la progression savamment dosée parvient à maintenir constant l'intérêt.
- le thème du religieux, porté par les discussions très intéressantes entre Bartolomeo et Père Veronica, mais aussi et surtout par le vaisseau lui-même et la cathédrale qu'il abrite en son sein.

Le découpage en grandes parties est assez perturbant, car on a l'impression d'une juxtaposition sans fil conducteur. Heureusement, les cent dernières pages permettent de recoller les morceaux en offrant au moins une hypothèse explicative. Ces cent dernières pages sont par ailleurs particulièrement rythmées, avec une accélération de la tension et… oui : il se passe vraiment des choses à la fin, et l'auteur fournit certaines réponses aux questions posées, sans que le mystère autour des aliens soit complètement élucidé.

Dans la première partie, l'insurrection développe de manière significative la thématique de la lutte des classes au sein du vaisseau. Cette thématique m'a semblé un peu hors sujet avec le recul. Une histoire dans l'histoire.

Le thème de la confrontation avec une intelligence non humaine dont on ignore quasiment tout m'a rappelé les romans de Jean-Michel Calvez. En particulier, la question du choix d'attaquer le premier ou pas et ses conséquences, est traitée plus en détail dans l'Arène des géants, du même auteur.

Celles et ceux qui auraient souhaité une lutte pour le pouvoir plus appuyée peuvent essayer Pyramides, de Romain Benassaya. Je n'ai pas aimé ce roman, mais il est centré sur les intrigues, et traite par ailleurs des thèmes de l'exploration et de la colonisation.

J'ai aussi pensé à l'excellent Déchronologue, de Stéphane Beauverger, qui dans un univers complètement différent, tisse une histoire complexe autour d'un vaisseau très singulier. Aventures et exploration sont également au rendez-vous.
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Mon tout premier roman de science-fiction, et oui! Ça faisait vraiment longtemps qu'il prenait la poussière dans ma bibliothèque parce que je n'étais pas certaine d'apprécier. Finalement, ce fut une belle découverte, surtout pour la plume de l'auteur.
L'histoire était bien garnie d'action et de rebondissements. J'avais de la difficulté à arrêter de lire tellement j'étais plongée dans les événements.
Les personnages étaient très complets et m'ont étonnamment tous plu.
J'ai moins aimé le côté religieux, voir même fanatique, qui ne m'a pas du tout accroché. Certains moments étaient un peu long ou redondants.
Dans la généralité, c'était un bon livre et j'ai envie de découvrir plus de romans de ce genre.
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Très agréable moment de lecture.
Certes, le thème du vaisseau vide perdu dans l'espace n'est pas nouveau, mais il est magistralement exploité ici.
J'en veux pour preuve la difficulté que j'ai ressenti à m'en extraire afin de vaquer aux multiples impératifs, professionnels ou domestiques, de la vie réelle.
On veut absolument savoir mais l'auteur sait entretenir le suspense et ne ménage pas nos nerfs. Si Russo n'est pas Dostoïevski, ses personnages sont suffisamment bien campés pour êtres crédibles.

On pourra discuter de l'intérêt et du peu d'originalité des longs échanges philosophico-théologiques entre le narrateur et Père Veronica.
Reste aussi peu compréhensible l'utilité du personnage du jeune Francis et de son rôle, particulièrement vers la fin.
Mais au final, rien de rédhibitoire, à lire bien sûr.
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J'ai passé un bon moment avec "la nef des fous" mais je dois admettre être resté un peu sur ma faim. J'avais lu tellement d'éloge sur ce livre. Je m'attendais à quelque chose de plus oppressant. de plus terrifiant. Ceci dis, l'histoire est vraiment prenante. Un vaisseau arche perdu dans l'espace à la recherche de planète habitable. Des enjeux politiques entre différents protagoniste (ici le capitaine et l'évêque). le personnage principal et les secondaires sont très intéressant.
Conclusion, une bonne lecture mais il manque un je ne sais quoi pour en faire une lecture inoubliable.
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Enfin j'ai lu La Nef des Fous, un livre de plus sur ma quête du roman ultime avec pour sujet "vaisseau générationnel interstellaire".
Bon je n'irais pas jusqu'à dire qu'il m'a plu mais il se laisse lire, au moins il y a une vraie fin, une vraie trame, un personnage principal handicapé (ça c'est assez peu courant donc c'est cool)...
Le vaisseau est sympa quoique complètement improbable, sans explication logique ni description détaillée qui aurait pourtant été bienvenue.
Apres que dire, je n'aime pas les récits ou les trucs d'horreur donc certains passages m'ont déplu. Mais c'est le jeu aussi, je peux pas rester indéfiniment dans des lectures bisounours.
L'Humanité parle toujours Anglais, on est ravis de voir que les langues et les religions n'ont pas évolué.
Et pour finir le côté religion, placé là, j'ai pas capté le concept ni l'intérêt.
En résumé une lecture pas désagréable, sans plus.
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C'est le résumé très intriguant, ainsi que la belle couverture (qui est en totale adéquation avec le livre) qui m'ont poussée à lire ce roman et je dois dire que je ne regrette pas du tout.

On suit Bartoloméo, un personnage né avec des handicaps physiques dont il s'est parfaitement adapté et qui se décrit comme le conseiller officieux du capitaine de L'Argonos, un vaisseau qui abrite toute une population. Ils "errent" depuis des années de planètes en planètes n'ayant aucun but précis. Mais un vent de nouveauté va faire s'agiter tout ce beau monde quand ils interceptent un signal émis d'une planète. Ils vont alors vouloir découvrir qui émet et si une population subsiste dessus.

Dans l'ensemble, ce fût une agréable lecture. Si le début est assez lent, le rythme devient plus soutenu à partir de la découverte de la planète, l'auteur nous emmenant à en savoir toujours plus, attisant notre curiosité comme celle de Bartoloméo. J'ai vraiment été happée par toutes les découvertes et j'ai adoré ce sentiment face aux mystères et à l'inconnu. le récit est écrit à la première personne, nous immergeant totalement avec Bartoloméo.

Bartoloméo est un personnage que j'ai beaucoup aimé. Il évolue tout au long du roman. D'homme de l'ombre, il va commencer à prendre position et s'affirmer, même s'il s'en mordra les doigts face à des prises de positions qui auront des conséquences assez sombres. J'ai beaucoup aimé le traitement de ce personnage par l'auteur. Par contre, niveau personnages secondaires on est un peu en reste. Il y en a mais ils ne sont quasiment pas développés.

De même, même si j'ai passé un bon moment avec ce livre, je suis restée un peu sur ma faim. Il y a beaucoup de mystère dans ce roman. On ne sait pas d'où vient le vaisseau ni pourquoi il a été construit. Pas mal de points sont également assez flous et l'auteur ne répondra pas à toutes les questions que l'on peut se poser.
Autre point, on sent que l'auteur a voulu aborder des sujets importants comme la lutte des classes. Malheureusement, ça fait un peu un flop car au final il ne fait qu'esquisser sans réellement approfondir et à la fin du roman, on se demande franchement l'intérêt que cela a. C'est comme s'il avait absolument voulu parler de ce sujet, amenant une sous-intrigue dessus mais sans l'approfondir. Cela donne une impression de "tiens, je colle ça là et après on en parle plus".
Bref, si c'était pour le traiter comme ça, autant ne pas le mettre, ça n'apporte rien au récit au final.

Donc dans l'ensemble, une bonne lecture, intéressante, mystérieuse et assez addictive, avec malgré tout des points légèrement décevants comme des questions restées sans réponse, des personnages secondaires pas assez creusés et des sujets pas assez approfondis à mon goût.
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L'attente interminable.......

Que s'est-il passé sur Antioche ? Pourquoi une telle atrocité ? Et surtout, commise par qui ? : tels sont les questionnements que nous propose la quatrième de couverture de ce livre. En refermant ce livre vous arriverez à la triste conclusion que vous n'en savez toujours rien... quelle désolation !
On s'attend à une rencontre humains/extra-terrestres, mais celle-ci ne vient jamais. Frustrant !
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