Sa « conscience », sa partie positronique, se manifesta de nouveau.
Ce n’est pas correct… Un robot ne doit pas laisser souffrir un être humain. Or, toute l’humanité terranienne souffre à cause de l’aphilie.
Quelles pensées monstrueuses, presque blasphématoires !
Le biorobot de combat sentit le changement s’opérer en lui d’un instant à l’autre. Il se produisait une singulière transformation, qu’il tenta vainement de s’expliquer et contre laquelle il s’opposa violemment.
Cette lutte intérieure s’intensifia. Le protoplasme et la positronique s’affrontaient âprement pour obtenir le contrôle du corps de la machine.