Luis Sepulveda et son compagnon de voyage souhaitent prendre le
Patagonia Express. Mais ils apprennent que le train a été privatisé par de riches américains.
Impossible pour l'auteur et les habitants du coin d'utiliser ce moyen de transport vital tout ça pour que quelques oisifs puissent se distraire.
Difficile de ne pas être sensible à ce témoignage. Les rapports avec les touristes sont houleux, ceux avec les techniciens sont respectueux et empreints d'empathie.
L'auteur témoigne d'un monde qui se laisse dévorer par la cupidité et l'égoïsme d'une certaine classe.
Mon regret, que ce voyage soit si bref car les habitants d'el Maiten et les techniciens du Patagonia sont vraiment très sympathiques. Ils méritent soutien et compréhension.