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Michèle Valencia (Traducteur)
EAN : 9782714442956
372 pages
Belfond (06/11/2008)
2.78/5   29 notes
Résumé :
Pour célébrer leur mariage, Bill et Bridget ont décidé de rassembler leur ancien groupe d'amis. Un moyen de rattraper le temps, alors que les jours de Bridget sont comptés. Que rêvaient-ils d'être et que sont-ils tous devenus ? Vingt ans après, quels secrets brûlent-ils de dévoiler ou voudraient-ils garder enfouis ? Entre passions inavouées, drames refoulés, culpabilité et pardon, tous vont devoir affronter les blessures et les vérités qui les hantent depuis tant d'... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Une retrouvaille des anciens amis après 27 ans, ils se découvrent à nouveau non pas comme à fleur de l'âge où l'aube de la vie est encore une rosée pleine d'espoir mais là ils sont au crépuscules de leur vie, l'heure a sonné, ils se font une espèce de bilan de leur vie, ils reviennent sur certains souvenirs marquants, sur leurs divers parcours et leurs choix qui font d'eux ce qu'ils sont aujourd'hui...puis on attend autre chose mais on se rend compte qu'on vient de tout oublier car même la vie n'est pas aussi plate que ça, il se passe toujours quelque chose où l'homme doit inévitablement faire appel à ses réflexions, à se surpasser...Vraiment je n'ai pas accroché!
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Le résumé de ce livre me faisait envie: des amis du lycée se retrouvent après 27 ans au mariage de deux d'entre eux, Bill et Bridget qui est atteinte d'un cancer incurable.
Au bout de 27 ans certains sont un peu restés en contact, d'autres pas du tout.
Beaucoup de choses se sont passées pour eux : certains ont réussi leur vie professionnelle et/ou personnelle, d'autres pas du tout. Mais peu importe, ils ont tous envie d'en apprendre plus sur leurs amis et ce qu'ils sont devenus.

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, contée alternativement des points de vue de trois personnes : Harrison, Agnes et Bridget.
Dès le début j'ai eu du mal avec Harrison, le premier arrivé à l'auberge de Nora, qui a restauré la maison qu'elle avait avec son mari à la mort de celui-ci.
Je n'ai pas non plus vraiment apprécié Nora, elle n'est pas vraiment antipathique, mais je ne l'ai pas trouvée très sympathique non plus.
Bridget est la plus touchante, c'est peut-être la plus simple de tous, et son cancer et la réalité de sa maladie la rende tout de suite attachante.

J'aime les huis clos et je trouve cette situation propice aux révélations des secrets, aux règlements de compte, aux explications etc.
Mais j'ai été déçue par la tournure des choses dans ce livre.
Il n'y a rien de ‘spécial' et au final l'histoire d'un de leur camarade disparu, Stephen, est juste pathétique.

Tous les personnages se ressemblent trop, on dirait une seule entité, on a du mal à les différencier. C'est peut-être pour ça que je ne les ai pas trop appréciés.
Et toutes les femmes sont tristes d'une manière ou d'une autre, selon les cas : pas d'enfant, pas de mari, pas d'amour… Et on dirait que rien ne pourrait jamais les sortir de leur torpeur… malgré le petit « coup d'éclat » d'Agnes, qui n'est pas bien mené à terme non plus…

En bref j'ai un grand sentiment de raté en sortant de cette lecture : des vies plus ou moins ratées, dans un livre plus ou moins raté aussi.

Ce qui m'a le plus plu dans ce livre en fait c'est l'histoire qu'écrit Agnes !
L'histoire de cette explosion à Halifax, et du destin d'Innes Finch. J'aurai préféré lire 300 pages de cela plutôt que ce livre qui je le crains ne me laissera pas vraiment de grand souvenir.
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Pas mécontente d'avoir terminé.
Quel navet !
Sept amis se réunissent après plus de vingt ans pour le mariage de deux d'entre eux.
Un démarrage lent. Dès le début j'ai la sensation de perdre mon temps à cette lecture, mais, bon, je continue quand même.
Les dialogues sont insipides, la mise en scène des personnages approximative, l'intrigue des plus minimes.
J'avais bien aimé « La femme du pilote », du même auteur, mais là, je ne suis pas prête de continuer avec elle.
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j'ai lu ce livre dans le cadre d'une lecture commune sur le forum partage lecture.
très mélancolique ce livre joue à et si la vie avait été autrement, si j'avais su exprimer mes sentiments, si mon meilleur ami n'était pas mort...
on voit tour à tour le point de vue de trois personnages principaux mais finalement ce pourrait n'être qu'un tellement leur façon de penser sont proches, hommes ou femmes; une réunion d'anciens amis à l'occasion du mariage de deux d'entre eux vingt sept ans après, les trois quarts du livres sont la mise en place de scaractères, tout coule très lentement, la lecture est agréable mais bon ce n'est pas de la grande littérature.
ce qui m'a le plus dérangée c'est la position des femmes, je les toruve toutes très soumises à un homme, aucune n'a vraiment vécu sa vie mais fait en fonction de ...
ce qui est intéressant c'est vraiment l'expression des sentiments cachés, même si ils se rejoingnet tous, c'était une bonn eidée de départ.
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Un groupe de quadragénaire se retrouve à l'occasion d'un mariage. Pour la plupart, ils se sont perdus de vue et ignorent tout de leurs parcours respectifs. L'histoire est raconté par trois personnages : il y a Harrison qui marié et père de famille vit au Canada, Agnès qui enseigne dans leur ancien établissement et Bridget la future mariée, qui souffre d'un cancer du sein.
Au milieu de cette intrigue principale , se glisse, l'histoire que Agnès écrit sur un médecin qui a vécut à Halifax au moment d'une terrible catastrophe. Elle me semble plus intéressante, et aurait surement pu faire l'objet d'un roman plus abouti.
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Le premier jour de classe, Agnès expliquait toujours à ses élèves que l'histoire, ce n'était pas les dates et les batailles, mais plutôt les récits. Elle allait leur raconter des histoires, et ils écouteraient . Mais , en rangeant son carnet et son stylo, elle se posa la question suivante : l'imagination s'appuie-t-elle sur l'expérience, ou l'expérience est - elle influencée par l'imagination ?
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En général, l'histoire d'une vie, songea Agnès, c'était tout ce qui vous arrivait. La sienne, c'était au contraire tout ce qui ne s'était pas produit, c'était la somme de toutes les journées, de toutes les années que Jim et elle n'avait pas passées ensemble, des journées, des années qui ne reviendraient pas. Mais son histoire n'était pas encore terminée, pensa-t-elle. Des possibilités demeuraient. Parfois, Agnès se figeait dans l'attente d'une brillante destinée qui pouvait encore se concrétiser.
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Un mariage qui dure vingt-deux ans est une longue histoire, expliqua Nora. C'est ... c'est un déroulement temporel continu, avec des moments de drame, et des périodes d'un ennui stupéfiant. Des passages d'espoir fabuleux. Et des passages de résignation. Il n'est pas possible de raconter cette histoire. Aucun récit n'est capable de l'englober. Même un journal tenu quotidiennement ne pourrait pas t'apprendre ce que tu veux savoir. Qui pensait quoi à quel moment. Qui rêvait quoi. Pour le moins, une vie conjugale se situe à l'intersection de deux histoires, et l'une des deux restera à jamais ignorée. (p 200)
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Voilà comment les choses se passent. Par paliers. Au début, on a de grandes espérances. Puis, l'existence, peu à peu, se charge d'annihiler ces espérances, d'en souligner le côté naïf ou fou. On se rend compte que la vie conjugale n'est pas ce qu'on croyait. Que l'amour est au mieux sporadique. Que l'homme qu'on a épousé quand on était très jeune peut se révéler avoir un caractère difficile. Qu'espérer une intimité de tous les instants est bourgeois, pour utiliser un mot que Carl aimait employer. (p 371-372)
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Voilà ce que j'ai maintenant, songea Bridget : un mari, un fils et un avenir écourté, si bien que je dois vivre chaque heure comme si c'était la dernière.
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