- Monsieur Gundersen, je vous en prie, nous ne sommes plus au temps de la colonisation. Nous devons parler de Nildoror et de Sulidoror, pas de bestiaux. Ce sont des êtres doués d’une intelligence supérieure.
- Et cette planète n’est plus la Terre de Holman, elle s’appelle Belzagor, Monsieur Gundersen. La décolonisation a permis de rendre son nom à la planète, et la planète à ses habitants.
- Cas unique dans ex-colonies terriennes, deux espèces complètement différentes sont également intelligentes et coexistent pacifiquement.
- Planète rendue aux uns, volée aux autres. Personne ne s’est préoccupé de tous ces colons renvoyés sur Terre. Ils auraient pu transformer cette planète en un endroit où il aurait fait bon vivre.
Dans le 173e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente L’homme qui en a trop vu, histoire basée sur le témoignage du photoreporter Ali Arkady que met en scénario Simon Rochepeau, en dessin Isaac Wens et qui est édité chez Futuropolis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Les Beatles à Paris, un titre que nous devons au scénario de Philippe Thirault, épaulé par Vassilissa Thirault, au dessin de Christopher et c’est publié aux éditions Robinson
- La sortie de l’album Les herbes sauvages que l’on doit à l’auteur Adam de Souza et qui est édité chez Gallimard
- La sortie de l’album Delta blues café que l’on doit au scénario de Philippe Charlot, au dessin de Miras et que publient les éditions Grand angle
- La sortie de l’album Des femmes guettant l’annonce que l’on doit à Fedwa Misk pour le scénario, Aude Massot pour le dessin et qui est édité chez Sarbacane
- La sortie d’Après, le troisième et dernier tome de la série Cadres noirs, adaptation d’un roman de Pierre Lemaitre par Pascal Bertho au scénario, Giuseppe Liotti au dessin et c’est édité chez Rue de Sèvres
- La réédition dans la collection La bibliothèque de Daniel Clowes des éditions Delcourt de Pussey, album que l’on doit à Daniel Clowes
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