Second tome caricatural, pourtant cela part d'un bon constat. En effet l'extrême droite ne fait qu'aggraver des situations délicates où il y a de véritables problèmes et historiquement à chaque fois que l'extrême droite populiste arrive au pouvoir cela se termine mal voire très très mal.
L'extrémisme qu'il soit de droite ou de gauche s'érige sur la peur. C'est le cas depuis la nuit des temps . C'est un diptyque intelligent mais trop manichéen et c'est là que le bât blesse, de toute façon c'est d'une extrême complexité de montrer la montée de la droite extrême sans être caricatural (ils le sont tellement eux même que parfois ce n'est pas la peine d'en rajouter).
Les dessins quant à eux, sont rythmés privilégiant les visages.
Au final un diptyque inteligent qui me laisse cependant sur ma faim.
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Roman social qui plonge dans les groupuscules identitaires et de l'extréme droite française. En dépit de tout, Thierry Mongin, cherche à découvrir ce qui est arrivé à Moussa, jeune migrant pendu. Il va découvrir que l'origine du meurtre a de multiples origines (racisme, intolérance, politique, appat du pouvoir et du gain...).
Palpitant.
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« On est chez nous » : un diptyque intelligent, parfois un peu trop manichéen, mais qui prouve que la bande dessinée a tout à gagner à s’intéresser à la « vraie » vie !
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