Professeure en études russes et soviétiques, Cécile Vaissié retrace le parcours d’un « parfait idiot utile » de la propagande moscovite.
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Les processus d’aveuglement volontaire ont curieusement peu changé, et ils s’inscrivaient déjà, dans les années 1950 et 1960, dans la continuité de ceux obtenus grâce à la diplomatie culturelle soviétique des années 1920 et 1930. Là est la force terrible de la désinformation et de la propagande : celles-ci fonctionnent encore parfois des années.