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3,6

sur 2052 notes
J'ai fait l'effort de lire 261 pages du livre d' Aurélie Valognes La cerise sur le gâteau. Je me suis arrêté au commencement du chapitre 42 intitulé " Et ta soeur, elle bat le beurre ?
Une overdose de titres de chapitres tirés d'expression plus ou moins triviales à eu raison de moi..
Comme l'annonçait le chapitre 15 " C'est la fin des haricots"
Pourtant j'ai été persévérant. 261 pages sur 400.
Mais plus les pages se tournent, plus c'est caricatural.
Quelques exemples
Bernard 61 ans, directeur financier, vient de prendre sa retraite en fin Septembre
En quelques pages et en un mois, il aura eu le temps d'avoir été conseillé par son fils afin qu'il boive car il y a une canicule.
Dans le bus on lui aura laissé une place pour s'asseoir.
Avec sa femme, ils sont prêts à vendre leur maison pour prendre un appartement en rez de chaussée, ou encore mieux rentrer dans une " senioriale"
Et pourquoi pas tout de suite une aide à domicile ?

Quelle caricature ! Un directeur financier de 61 ans !
Tout t'est à l'avenant
Je ne vous parle pas de Bernard ne fait pas la cuisine , Bernard ne fait pas le ménage, Bernard fait du golf, Bernard achète une décapotable
Je laisse Bernard à ses nouveaux hobbies : potager et chasse aux plastiques.

Et comme le dit le titre du chapitre 50 : Mieux vaut être seul que mal accompagné
Alors bye bye !
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Pauvre Bernard ! Lui qui aimait tant son travail se fait remercier du jour au lendemain sans la moindre préparation ou anticipation. 61 ans et retraité, le voilà complètement perdu chez lui à se demander constamment comment occuper ses journées. Bon, il lui reste le télé-achat le matin, les mots croisés l'après midi, il peut même tenter de se parler à lui-même histoire de ne pas zapper qu'il est toujours vivant. Son épouse, Brigitte, déjà à la retraite occupe quant à elle très bien son temps. le bonheur des uns ne fait pas d'office le bonheur des autres. Entre toutes les activités de bénévole de Brigitte, Bernard se sent bien seul. Il n'attend qu'une chose, qu'on le rappelle au boulot. Jeté comme une vieille chaussette, même son ego ne dit mot tant Bernard se sent inutile.

Le temps passe et l'ennui s'amplifie pour Bernard. Ce qui génère pas mal de tensions dans son couple. Toute une vie de couple passée au boulot pour terminer du jour au lendemain cramponné l'un sur l'autre, ce n'est pas simple. Aurélie Valognes explore avec tendresse et humour ce tableau de retraités non préparés à vivre ensemble.

À côté de Bernard, il y a son fils Nicolas marié à Alice, père de deux jeunes enfants. Nicolas et Alice cravachent à longueur de journée entre leur boulot, leurs enfants et leur vie de couple. le stress est ambiant et le burn-out est proche. Il y en a certains qui ne demanderait pas mieux qu'une petite retraite anticipée.

Aurélie Valognes pose de délicates questions entre l'importance de se sentir utile, la dépendance professionnelle en guise d'échappatoire ou de sens à la vie. La pression, parfois indécente entre le temps qui manque cruellement et le temps qui n'inspire rien quand il manque de sens.

J'ai beaucoup souri, j'ai aimé ce flot de tendresse qui émane de ce roman. J'émets néanmoins un bémol sur le revirement de l'histoire en seconde partie où les personnages tournent à l'obsession écologique. On en perd un peu le sens du départ pour s'enliser trop facilement dans du remplissage vert et moralisateur.

Sinon, c'est un agréable roman plus souvent tendre que feelgood, plus souvent interrogateur que facile et léger.

J'ai apprécié lire le ressenti de l'auteure en fin de roman, son histoire personnelle, ses inspirations. On sent une bien belle personne derrière la plume avec des valeurs, de l'amour à profusion et un équilibre qu'elle semble trouver à travers l'écriture.

Une cerise sur le gâteau sinon rien bien sûr !

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Une véritable caricature !!!
Un trop plein de sucreries... Comme si le lecteur mangeait une chantilly, certes très légère, ultra-légère, mais au final très écoeurante !!!
Trop de leçons, de sentiments quimauves, de positivité, de feel-good, trop c'est trop.
Des personnages peu sympathiques. Bernard, le mari, est infâme. Brigitte est sans aucun intérêt, excepté son hyper-activité.
Bref, un roman qui m'ennuie ouvertement. Je stoppe ma lecture, je n'y vois aucun intérêt, aucune réflexion à en tirer.
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Pour Bernard, l'heure de la retraite signifie l'effondrement de son existence, jusqu'ici exclusivement centrée sur son travail. Comment va-t-il occuper le vide de ses journées ? Son comportement et ses initiatives, comme sa soudaine passion pour la protection de l'environnement, ne tardent pas à rejaillir sur l'ensemble de son entourage : son épouse Brigitte d'abord, mais aussi ses petits-enfants à qui il a désormais du temps à consacrer, et même ses détestables voisins avec qui l'affrontement va devenir inévitable...


De nombreux éléments autobiographiques ont inspiré cette histoire, qui met en scène des personnages proches de tout un chacun, aux prises avec des questionnements très contemporains et les mille petites difficultés de la vie de tous les jours. Tous les ingrédients sont ainsi réunis pour une comédie légère et satirique, censée rassembler un large public ravi de se retrouver dans un amusant miroir de ses propres préoccupations quotidiennes.


Et en effet, on arrive assez facilement à se représenter la vie et les tribulations de cette famille, que j'ai personnellement et avec persistance, vue évoluer sous les traits de Bernard Le Coq et d'Anny Duperey, comme dans Une famille formidable...


J'attendais toutefois bien plus d'humour et de clins d'oeil, de petits détails témoignant d'un regard juste et malicieux sur nos existences et nos travers contemporains : je suis restée sur ma faim, frustrée par une impression de survol sans grand piquant, parfois agacée par les répliques pas toujours crédibles dans la bouche des très jeunes petits-enfants de notre couple de retraités.


Au final, beaucoup de poncifs et une trame sans grande subtilité m'ont semblé affadir cette histoire qu'un humour trop discret ne parvient pas à rehausser : c'est gentil, facile et agréable, mais si tôt lu, si tôt oublié.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Brigitte est nouvellement retraitée de l'enseignement. Elle a déjà trouvé un équilibre entre ses heures d'animation à la maison de retraite, la natation, ses deux petits-enfants qui vivent à Paris et viennent passer leurs vacances chez eux.
Son fils Nicolas et sa femme Alice en profitent pour passer deux jours chez eux et repartent travailler. La vie se déroule comme du papier à musique.
Jusqu'au jour où Bernard, son mari, doit quitter son travail à 61 ans. Sa firme le remercie comme on le dit gentiment. Il a voué son existence à son métier mais aussi à assurer le bien-être matériel de sa famille sans s'occuper réellement d'eux.
Assez vite, il montre un intérêt pour le jardin et l'écologie mais sans se soucier de l'avis de sa famille. Il se rapproche pourtant de son petit-fils Paul dans ses projets.
Pas réellement d'histoire ni de drame dans ce roman écrit sur un ton très humoristique, léger. La vie quotidienne à un tournant de la vie d'un couple sans plus avec quelques longueurs cependant.
Je me suis beaucoup amusée au début, ennuyée par la suite.
Je peux affirmer que le récit est trop long pour son contenu.
Cependant, je ne le démolis pas car le style de l'auteure est très humoristique.
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Bernard est insupportable avec ces certitudes, ses mauvaises manies. Il est obligé de prendre sa retraite, poussé fortement par son directeur qu'il supplie en vain. Pourtant il se sent toujours jeune, compétent et peut encore transmettre son savoir à de jeunes recrues. Les bras chargés de cadeaux inutiles offerts par des collègues indifférents, se retrouvant sans téléphone portable et voiture de service, il prend définitivement le chemin de la maison. Brigitte, son épouse, retraitée depuis quelque temps déjà et avec un emploi du temps chargé en bénévolat et séances de bien-être, l'attend. La cohabitation ne va pas être évidente du tout. Bernard erre dans la maison, sans but, attendant que Brigitte rentre le soir pour lui faire des reproches. de surcroît, Il doit supporter les voisins, odieux personnages qui épient leurs moindres gestes, colporteurs de ragots en tous genres, chieurs patentés, méchants et stupides, destructeurs de la végétation et de la planète déjà bien amochée.

Leur fils Nicolas et sa femme vivent une crise de couple et les petits enfants supportent tant bien que mal la situation et se ressourcent chez Brigitte et Bernard pendant les vacances. Bernard a passé toute sa vie à travailler à l'extérieur, il va devoir apprendre à gérer la logistique d'une maison et s' il ne s'est jamais occupé de son fils, Nicolas, va aider Paul, son petit-fils, à trouver sa voie : l'écologie.

Il y a énormément de disputes, de fugues, de ruptures, d'échecs mais surtout des moments inexorables de bonheur, de joie familiale, de complicité et de respect.

J'aime ces histoires, qui mine de rien, font passer des messages importants. Les changements de vie sont parfois indispensables et salutaires, faut-il encore traverser cette période de crise et savoir apprécier les petits moments de bonheur. L'écologie et l'illusion de la facilité, trier, réduire ses déchets, récupérer, transformer, consommer moins et mieux, est un des thèmes de ce roman. le respect des chemins de vie des enfants est un autre thème, peut-être le plus difficile car on veut toujours le meilleur pour eux et ce n'est pas forcément leur choix, leur idéal et on est souvent dans la transmission générationnelle.

L'auteure met toujours une part d'elle-même dans ses romans, ce qui donne de l'authenticité, de la profondeur dans ses histoires. J'ai aimé le parcours de Bernard et de sa famille.

Ce livre est un cadeau et je suis touchée par le choix judicieux de cette histoire.


Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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VEILLER AU GRAIN
Dans la langue française, il ne faut pas prendre toutes les expressions au pied de la lettre.


ETRE LEGION
Aurélie Valognes aime les expressions françaises, et s'en sert allègrement pour titrer ses romans, et pour nommer ses chapitres.


L'ERREUR EST HUMAINE
J'apprécie moi aussi leur usage dans mon langage de tous les jours ; elles nous aident ainsi à imager nos idées, à les colorer d'une pointe d'humour qui ne peut que faciliter la compréhension de ce que l'on dit.


IL NE FAUT JAMAIS DIRE : FONTAINE, JE NE BOIRAI PAS DE TON EAU
Pourtant « Mémé dans les orties », « En voiture Simone ! » et les autres succès de cette jeune auteure m'avaient laissée indifférente, je n'étais pas du tout attirée par ces lectures, les ayant à tort cataloguées FEEL GOOD, genre littéraire qui ne me plaît pas.


ETRE DANS LES PETITS PAPIERS DE QUELQU'UN
C'était sans compter avec l'ingéniosité du hasard et les avantages de la prise de risque : je fus, le 5 mars dernier, invitée par BABELIO à rencontrer Aurélie Valognes à l'occasion de la sortie (le lendemain) de "La cerise sur le gâteau". Comment aurais-je pu refuser ? "Curieuse" de nature que je suis. Il me fallait pour cela m'acquitter de la lecture de son roman éponyme, en préambule.


SANS TAMBOUR, NI TROMPETTE
Au cours de la soirée, c'est avec intelligence, simplicité et don de soi, que cette auteure, en délicate écrivaine qui parle très peu d'elle et beaucoup des autres, a expliqué le lien entre son grand-père et l'usage fourni qu'elle fait des expressions françaises. Elle a aussi raconté la place de sa famille et de son cercle rapproché dans son inspiration romanesque. Ainsi, pudeur et sensibilité ont été au coeur des échanges, pendant que pointait malgré tout un peu de malice aussi, et juste ce qu'il faut d'énergie féminine, preuve de sa volonté de faire passer des messages dans ses écrits.


AVOIR DES YEUX DE LYNX
Dans son roman que j'ai (curieusement-finalement) beaucoup apprécié, chacun des personnages de la cerise sur le gâteau a été, à mon grand étonnement, finement dessiné, analysé… pouvant ainsi évoluer tout au cours de l'histoire avec une délicate précision à laquelle je ne m'attendais pas, et qui m'a beaucoup plu. le tout fut servi par une plume vibrante et travaillée (si, si). Là où je craignais tomber dans la lourdeur et dans le pathos (toujours le préjugé du FEEL GOOD ), j'ai relevé un juste équilibre entre les caractères des personnages, le rythme enlevé du récit, et les messages écolo à faire passer.


PRENDRE SON PIED
Cette lecture fut donc un vrai moment de plaisir livresque.
Oui Aurélie Valognes a une façon de raconter le monde qui nous entoure bien à elle, et maintenant, je sais que j'aime ça ! Vivre mieux avec moins, décélérer son rythme de vie au quotidien pour découvrir l'essentiel, entre " impossibilités et champ des possibles ", c'est ce que Bernard-le-sexagénaire-retraité-contre-son-gré nous narre. Tous les autres personnages sont parfaitement racontés (ah ... délicieuse Brigitte !). Je les ai tous adorés.


RIGOLER COMME UN BOSSU
Grâce à la portée écolo de son roman, sa jolie écriture, ses dialogues envolés et étonnamment vivants, ses situations amusantes, ses personnages inoubliables, les valeurs humaines transmises, et ce que j'y ai appris (le septième continent par exemple), ce texte assez jubilatoire, dans lequel l'humour s'immisce partout, laisse cependant transparaître à chaque instant l'humilité et la simplicité que j'ai ressenties chez Aurélie Valognes, lors de la soirée BABELIO.


TROUVER SON CHEMIN DE DAMAS Ce roman donne confiance dans la vie, dans la nature humaine et CERISE SUR LE GATEAU il est une ode à l'écologie dont chacun chacune peut se saisir dorénavant.


LA BALLE EST DANS MON CAMP
Reste, en ce qui me concerne à rattraper le temps perdu. Les yeux émerveillés des autres invités qui avaient lu tous les "Aurélie-Valognes-à-la-couverture-vintage" me laissant penser que décidément je suis passée à côté de quelque chose.


LA CRITIQUE EST AISEE, MAIS L'ART DIFFICILE.
Quatre romans aux couvertures vintage m'attendent. J'ai bien cru comprendre qu'ils seront DE LA MEME VEINE.
Merci à BABELIO (que ferais-je sans vous ?) pour l'opportunité de cette double découverte littéraire (auteure et publication) qui m'a été offerte.
Lien : http://justelire.fr/la-ceris..
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Brigitte est à la retraite depuis un an, et a commencé à s'investir dans des activités nouvelles, quand l'employeur de Bernard, son mari, lui notifie qu'il est atteint par la limite d'âge. Une retraite que Bernard, beaucoup plus investi dans son travail que dans sa vie de famille, n'a pas du tout préparée... Commence alors une période de cohabitation difficile entre une épouse qui commence à s'émanciper hors du foyer et un époux qui pantoufle et tourne en rond à la maison. Jusqu'à ces vacances où Paul, leur petit-fils, arrive avec un exposé à préparer sur le 7ème continent, cet amas de détritus qui flottent à la surface des océans. Bernard prend alors conscience des travers de sa consommation et, comme à son habitude, s'investit à fond dans un nouveau projet : atteindre le zéro déchet. Cela devient le coeur de sa vie de retraité, mais cédant à ses vieux démons, il oublie de demander l'avis de ses proches. Les tensions avec Brigitte s'exacerbent...

Il me semble que dans ce roman Aurélie Valognes essaie de faire passer deux messages : le premier sur les dangers du surinvestissement dans son travail ; le second sur la nécessité de mieux préserver l'environnement. Malheureusement ces deux messages, tout à fait pertinents, sont servis par des histoires et des personnages beaucoup trop caricaturaux : difficile de s'identifier aux héros de ce roman, sauf peut-être à Brigitte, et de croire aux péripéties et brusques changements d'orientation de leurs vies. La narration devient alors un peu lourde, barbante et peu émouvante, malgré l'indéniable qualité d'écriture et la verve de l'auteure.
J'avais trouvé "Né sous une boite étoile" "frais, drôle et émouvant" ; on en est très loin ici, et les messages passent mal. Heureusement les tous derniers chapitres viennent un peu corriger l'impression générale, mais trop tard !
Lien : http://michelgiraud.fr/2020/..
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Ce roman commence vraiment bien. Brigitte est à la retraite et, contre toute attente, l'employeur de Bernard (son mari) ouvre la porte de sortie à celui-ci, qui est contraint à une retraite non souhaitée et non préparée, alors qu'il était hyper investi dans son travail.
Je me dis d'emblée que le sujet est vraiment intéressant et j'ai hâte de voir comment Aurélie Valognes va le traiter, après son superbe "Au petit bonheur la chance !"
J'ai été très déçue. Entre l'évocation de la communication au sein de ce couple de retraités et de la place des petits-enfants dans cette nouvelle vie, le roman devient un mode d'emploi pour mener une vie respectueuse de l'environnement et pratiquer le "zéro déchet". C'est trop pour un roman sur le changement de vie, pas assez pour un manuel sur le zéro déchet.
Malgré tout, la lecture était agréable. Mais j'ai traîné à le lire, contrairement à tous les autres romans d'Aurélie Valognes... Je ne me suis jamais précipitée pour plonger dans le livre à chaque fois que j'avais un peu de temps pour lire.
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Appréciant les romans d'Aurélie Valognes, je n'ai pas résisté à m'offrir son tout dernier roman : La cerise sur le gâteau.
La vie est mal faite : à 35 ans, on n'a le temps de rien, à 65, on a du temps, mais encore faut-il savoir quoi en faire…
Bernard et Brigitte, couple solide depuis 37 ans, en savent quelque chose.
Depuis qu'elle a cessé de travailler, Brigitte profite de sa liberté retrouvée et de ses petits-enfants. Pour elle, ce n'est que du bonheur.
Jusqu'au drame : la retraite de son mari !
Et si la retraite n'était pas un long fleuve tranquille ?
La cerise sur le gâteau est un roman qui m'a énormément plu.
J'ai beaucoup apprécié le couple formé par Brigitte et Bernard. Ce dernier n'est pas facile, il a un sacré caractère mais par moment je l'ai trouvé très touchant. il m'a fait rire aux éclats à certains instants, et je trouve son comportement très crédible. Franchement, son épouse a du mérite lol Certes, c'est un roman mais je pense que certains hommes (ou femmes d'ailleurs) peuvent avoir un comportement proche du sien au moment de la retraite.
J'ai également beaucoup aimé leurs petits-enfants, très attachants. Nous avons là une jolie famille que j'ai aimé découvrir.
Même les voisins et leur comportement parfois très limite m'ont amusés.
J'ai trouvé ce roman charmant, j'ai aimé les personnages, l'histoire, l'épilogue. Tout m'a plu dans cet ouvrage. On trouve des passages pertinents sur comment protéger (enfin) notre planète, sur comment faire évaluer les choses, même si bien évidemment Bernard va prendre tout ça un peu trop à coeur (ce qui m'a parfois fait hurler de rire).
Ce n'est pas un grand livre, il est même simple car il parle d'une famille qui pourrait être la nôtre mais cela m'a beaucoup plu.
Ma note ? 5 étoiles, évidemment :)
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