« J'ai tort de vous faire parler puisque vous avez trop plus de grâces à vous taire ; et faut occuper désormais votre bouche à un autre usage, et en retirer quelque sorte de plaisir, pardonnant à la nature qui employant tout à polir le corps, n'a rien pu réserver pour l'esprit. » Dans ce bref et audacieux dialogue écrit en 1599, l'auteur avoue la plénitude de l'ébattement des corps, en un temps où la société vante un peu trop la pureté prétendue des amours chastes, ... >Voir plus