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3,3

sur 226 notes
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17 mars 2020 le confinement est décrété, c'est le début de notre histoire : « il fallait que la planète ferme pour que les coeurs s'ouvrent », le ton est donné, c'est une créature de rêve qui parle et nous embarque directement dans un autre monde. Ce roman issu du premier confinement lequel en est également le fondement, porte un regard critique sur plusieurs aspects de cette période : l'approche des autorités politiques et médicales souvent biaisée, les réactions du public et certains de ses excès. Mais cela n'est pas l'essentiel. Au travers de personnages bien campés comme Lucas ancien professeur de français fini à la rue, Audrey personnage double, ancien amour de jeunesse de Lucas, Amandine ex-épouse de Lucas, la colonelle ex-belle-mère de Lucas et psychiatre des armées.
On part du concret de la vie sur une bouche d'aération du métro parisien, pour se laisser emporter dans une vie fantastique où la fulgurance des réflexions philosophiques nous amènent à reconsidérer la réalité et le sens de la vie, mais surtout à nous faire vivre une histoire d'amour hors norme qui est d'autant plus irrésistible qu'on en perçoit toujours toute la fragilité. L'auteur, dans une écriture limpide, nous entraîne dans les méandres de certaines incertitudes existentielles qui sont les nôtres, tout en nous faisant entrevoir l'espoir de la joie de vivre. J'ai trouvé que cet exercice, cheminant entre réalité et fantastique, était réussi et qu'il nous invitait à mieux voir notre monde, pour mieux y vivre.
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Un livre qui se lit très vite, fort heureusement, parce que pas plus intéressant que cela, décevant même. L'intrigue et la rencontre initiale des deux personnages donne une certaine impulsion à l'histoire au début du roman. Cela se déroule pendant la période du premier confinement lié au Covid. Un homme cultivé et de bonne profession se clochardise et vit dans la rue à Paris, suite à une déception sentimentale. Il fait la rencontre d'une femme. Ils se lient d'amitié et elle lui propose de l'emmener vivre la période de confinement dans une demeure abandonnée à la campagne.
Ensuite, le roman perd de son allant et fini par retomber comme un soufflé. On a envie de dire : "tout ça pour ça" en refermant le livre. Bref, on reste sur sa faim.
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C'est le premier roman que je lis de cet auteur.
C'est un récit court, plaisant ; une fable qui nous entraîne dans une réflexion philosophique agrémentée de fantastique, non dénuée d'humour. Il se lit rapidement et finit sur clin d'oeil amusant.
Distrayant.
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Tout avait pourtant bien commencé : une histoire un peu déjantée au style léger, rafraîchissant, comme je l'ai souvent apprécié dans de précédents romans de Didier van Cauwelaert. Mais pourquoi bifurque-t-il vers le fantastique ? Peut-être pour nous permettre de rêver malgré l'ambiance pesante et morose dans laquelle nous vivons actuellement ? Mais ce changement de cap ne convient pas à la rationnelle que je suis. Dommage...
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L'auteur nous propose une histoire bien particulière, entre anticipation, théorie du complot, écologie à deux balles. Tout y passe. Lucas, ancien professeur déchu, devenu SDF est le héro malgré lui de cette aventure. En se faisant renverser; il va vivre deux histoires assez rocambolesques. Heureusement que l'auteur a fait court, on peut aller jusqu'à la fin.
Encore un auteur qui se lâche sur le président et ce dès le début de l'histoire ; ainsi en page 9 : "Et puis, le jour de gloire est arrivé. le robot ménager qui nous servait de président avait annoncé...". Ça ne plaira pas à tout le monde ;-)
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C ‘est ma première lecture sur le thème de la pandémie et du premier confinement, qui d'ailleurs, ne sert que de cadre. Pas désagréable à lire et même assez prenant. C'est tout de même une drôle d'histoire qui verse dans le surnaturel et la fin laisse le lecteur perplexe, mais je pense que c'est intentionnel. Néanmoins, ce roman nous livre un certain nombre de réflexions sur notre société, en virant de temps en temps vers le complotisme, et reprenant des réflexions récurrentes trouvées sur les réseaux sociaux.
Les 3 dernière lignes du résumé de l'éditeur me paraissent bien exagérées, mais ce roman, bien écrit, se lit facilement, et très vite (168 pages).
Lien : https://marie-livres.wixsite..
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venant de terminer l'inconnue du 17 mars je vais vous en parler "à chaud". le jour du confinement de Mars 2020, un sans-abri se fait écrasé par une voiture. Puis, on bascule dans un décor de maison de campagne avec une femme très bizarre. Après avoir basculé dans l'irréel, nous voilà ppresque 20 pages avant la fin du roman, on revient vers la réalité le sans-abri était resté à l'hôpital car il avait sombré dans le coma. Mais la vision de cette maison campagnarde dans son coma est-elle vraie? Il faut lire les 20 dernières pages pour comprendre.
Il y a beaucoup de confusion dans le livre de van Cauwelaert à tel point qu'à la fin on ne sait plus qui est qui. Ce roman rend nostalgique ceux qui n'ont pas supporté le confinement de Mars 2020 comme moi e tnous fait rendre amer ce livre...
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Je garde un merveilleux souvenir de mes lectures de jeunesse de cet auteur: "L'éducation d'une fée" et "La demi-pensionnaire" alors quand j'ai vu ce nouveau titre, je me suis emballée d'autant que la 4ème de couverture était prometteuse. Je vous laisse juger :

"Le 17 mars 2020, par la grâce d'un virus, un sans-abri se retrouve confiné avec une créature de rêve. Est-ce la femme qui jadis enflammait son adolescence, une mythomane, une perverse manipulatrice, ou une ultime chance de survie? Et si le sort du genre humain dependait de la relation qui va se nouer, dans une maison à l'abandon, entre ancien prof de 38 ans brisé par l'injustice et une exilée en manque d'amour?".

Et puis, au terme des 170 pages, je suis perplexe. Je ne sais pas dire si j'ai aimé ou non. L'écriture est belle et agréable, comme toujours avec cet auteur d'ailleurs, mais l'histoire part un peu dans tous les sens.

Tout y passe dans ce roman, le sans-abri, la d'échéance sociale, le virus lancé dans le seul but de remettre l'humain sur le droit chemin, les créatures surnaturelles, le complotisme, le réchauffement climatique, la 5G...cela fait beaucoup pour moi en si peu de pages.

Ce roman est présenté comme un conte philosophique et c'est peut-être bien ce qu'il est, en mêlant fantastique et sujets d'actualité. L'auteur nous force ici à repenser nos habitudes de vie, notre système de consommation dans le seul but de préserver notre joli monde.
Plus que l'histoire en elle-même, j'ai apprécié les réflexions qu'elle amène et c'est cela que je retiens !

Ce n'était pas une lecture coup de coeur, mais ce n'était pas non plus une mauvaise lecture 🙃

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Lucas, qui approche de la quarantaine, est SDF à Paris. Alors que le président de la République vient de déclarer le confinement national suite au coronavirus, Lucas lui se moque des parisiens qui quittent précipitamment la capitale. Mais il n'avait pas prévu de se faire renverser ce 17 Mars 2020 par une jeune femme qu'il semble très bien connaître....

Un roman que j'ai lu cet été mais qui suite à mon retard ne se voit chroniquer qu'aujourd'hui.

Ce récit, totalement dans l'air du temps puisqu'il se déroule pendant le premier confinement, nous apporte du mystère et de la légèreté en cette période pourtant très pesante.
L'auteur a su faire profit de la situation exceptionnelle qu'a vécu la planète pour écrire une histoire à la fois captivante et touchante.
Moins de 200 pages mais un condensé de questions, une réalité qui flirt avec le fantastique et la science fiction, le tout paré de réflexions philosophiques qui donne une profondeur inattendu au roman.

Une lecture que j'avais su apprécier au grand air les fesses dans le sable et les pieds dans l'eau.
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