Critiques filtrées sur 3 étoiles
Une jolie surprise! Constellé de clichés, sans une once de vraisemblance, d'une mièvrerie confondante: en général, je lâche au bout des 100 pages fatidiques. Pourtant, j'ai continué, et même avec plaisir. C'est souriant, plein. de gentillesse, réconfortant, et parfois, un petit peu de guimauve, de douceur et de sucreries se laissent grignoter . Merci à l'amie qui me l'a mis entre les mains un soir de pluie et de tempête.
Alice vient juste de s'installer à Paris avec son chat, David. Elle cherche un travail et se fait embaucher contre toute attente, dans une start up dirigée par Chris Lemoine. L'entreprise travaille au développement d'une application visant à….réunir les chaussettes orphelines. Chris y croit dur comme fer, persuadé de la viabilité du concept. Alice n'ayant aucune expérience dans ce domaine, reste toutefois assez sceptique, mais bon, il faut bien qu'elle paye ses factures et toutes ses candidatures se sont soldées par un refus. Donc, elle accepte le poste.
Alice est un personnage vraiment mystérieux. Les chapitres alternent entre présent et passé, dans lequel nous découvrons des passages du journal intime d'Alice, dont l'écriture lui a été conseillée par son psy. L'Alice d'aujourd'hui donne le change, a l'air d'aller bien, malgré les nombreux TOC rythmant son quotidien et les crises d'angoisse la menaçant à chaque instant. Peu à peu, grâce à son journal, le lecteur découvre des morceaux de sa vie et trouve un début d'explication.
« Je ne crois pas au hasard, ni à la chance. Je crois à l'enchaînement des événements tel que l'univers l'a prévu, à l'ordre implacable du monde où chaque mini-engrenage a sa place et son rôle à jouer et où la moindre poussière peut dérégler le mécanisme. le battement d'ailes d'un papillon à Tokyo qui déclenche un cataclysme à l'autre bout du monde. »
J'ai beaucoup apprécié Alice. On peut facilement se reconnaître (plus ou moins) en elle. On traine tous nos casseroles, on tente tous de vivre avec, de bien faire, de s'en sortir.
Les personnages secondaires sont totalement excentriques, ou déjantés, ou dingues, c'est au choix. Jeremy est antipathique à souhait, Chris m'a gonflée avec son optimisme à tout épreuve, c'est vrai quoi, même lorsque tout est plié, il y croit encore, c'est agaçant lol ! Scarlett, quant à elle, décide d'aller au bout de ses rêves, quoi qu'il lui en coûte. Sa détermination laisse admiratif, mais il est vrai que les conséquences seront lourdes.
La plume de Marie est très légère et fluide. Elle ajoute une touche d'humour au récit, le rendant agréable. Mais néanmoins, pas suffisant pour contrebalancer la morosité d'Alice. La construction est linéaire, chronologique, autant sur le présent que sur le passé. L'emploi du « Je » nous rapproche d'Alice, permettant de savoir précisément ce qu'elle ressent.
Les thèmes abordés sont intéressants et développés avec beaucoup d'émotion. Maire s'empare de la maternité, du désir d'enfant, des relations fraternelles et creuse ces sujets avec beaucoup d'empathie. « La vie rêvée des chaussettes orphelines » est bien loin d'être aussi léger qu'on puisse le croire. Car derrière ce qu'Alice souhaite absolument effacer de sa vie, se cache un drame humain qui prend aux tripes.
J'avouerai que je me suis essoufflée à un moment, la cause peut-être justement à cette construction trop plate à mon goût. Et aussi au personnage d'Alice, vraiment au fond du trou, elle a failli m'y emmener avec elle….J'ai manqué lâcher l'affaire et abandonner ces chaussettes orphelines en pleine crise pour aller plier mon linge…Et puis, un rebondissement incroyable est survenu au dernier quart. Arrivé à point nommé, il a relancé ma lecture, que je n'ai pas pu lâcher jusqu'à la toute fin. Même si cette fin paraît quand même alambiquée et improbable, elle joue son rôle.
Une lecture très émouvante, un brin philosophique, mais aussi rafraîchissante. Une lecture qui change, que je vous conseille, si vous avez besoin d'une petite pause au milieu du tumulte de la vie. Attention toutefois si vous avez le moral dans les chaussettes (notez le jeu de mots lol).
« La vie est courte, on devrait toujours commencer par le dessert. »
#MarieVareille #lavierêvéedeschaussettesorphelines #CharlestonPoche
Lien : https://soniaboulimiquedesli..
Alice est un personnage vraiment mystérieux. Les chapitres alternent entre présent et passé, dans lequel nous découvrons des passages du journal intime d'Alice, dont l'écriture lui a été conseillée par son psy. L'Alice d'aujourd'hui donne le change, a l'air d'aller bien, malgré les nombreux TOC rythmant son quotidien et les crises d'angoisse la menaçant à chaque instant. Peu à peu, grâce à son journal, le lecteur découvre des morceaux de sa vie et trouve un début d'explication.
« Je ne crois pas au hasard, ni à la chance. Je crois à l'enchaînement des événements tel que l'univers l'a prévu, à l'ordre implacable du monde où chaque mini-engrenage a sa place et son rôle à jouer et où la moindre poussière peut dérégler le mécanisme. le battement d'ailes d'un papillon à Tokyo qui déclenche un cataclysme à l'autre bout du monde. »
J'ai beaucoup apprécié Alice. On peut facilement se reconnaître (plus ou moins) en elle. On traine tous nos casseroles, on tente tous de vivre avec, de bien faire, de s'en sortir.
Les personnages secondaires sont totalement excentriques, ou déjantés, ou dingues, c'est au choix. Jeremy est antipathique à souhait, Chris m'a gonflée avec son optimisme à tout épreuve, c'est vrai quoi, même lorsque tout est plié, il y croit encore, c'est agaçant lol ! Scarlett, quant à elle, décide d'aller au bout de ses rêves, quoi qu'il lui en coûte. Sa détermination laisse admiratif, mais il est vrai que les conséquences seront lourdes.
La plume de Marie est très légère et fluide. Elle ajoute une touche d'humour au récit, le rendant agréable. Mais néanmoins, pas suffisant pour contrebalancer la morosité d'Alice. La construction est linéaire, chronologique, autant sur le présent que sur le passé. L'emploi du « Je » nous rapproche d'Alice, permettant de savoir précisément ce qu'elle ressent.
Les thèmes abordés sont intéressants et développés avec beaucoup d'émotion. Maire s'empare de la maternité, du désir d'enfant, des relations fraternelles et creuse ces sujets avec beaucoup d'empathie. « La vie rêvée des chaussettes orphelines » est bien loin d'être aussi léger qu'on puisse le croire. Car derrière ce qu'Alice souhaite absolument effacer de sa vie, se cache un drame humain qui prend aux tripes.
J'avouerai que je me suis essoufflée à un moment, la cause peut-être justement à cette construction trop plate à mon goût. Et aussi au personnage d'Alice, vraiment au fond du trou, elle a failli m'y emmener avec elle….J'ai manqué lâcher l'affaire et abandonner ces chaussettes orphelines en pleine crise pour aller plier mon linge…Et puis, un rebondissement incroyable est survenu au dernier quart. Arrivé à point nommé, il a relancé ma lecture, que je n'ai pas pu lâcher jusqu'à la toute fin. Même si cette fin paraît quand même alambiquée et improbable, elle joue son rôle.
Une lecture très émouvante, un brin philosophique, mais aussi rafraîchissante. Une lecture qui change, que je vous conseille, si vous avez besoin d'une petite pause au milieu du tumulte de la vie. Attention toutefois si vous avez le moral dans les chaussettes (notez le jeu de mots lol).
« La vie est courte, on devrait toujours commencer par le dessert. »
#MarieVareille #lavierêvéedeschaussettesorphelines #CharlestonPoche
Lien : https://soniaboulimiquedesli..
Alice, une jeune femme à la nationalité française et américaine, débarque en France pour trouver du travail dans la finance. Ne débusquant rien du tout, elle se fait embaucher par Chris, un patron loufoque qui en est à son 19e lancement de start up raté, pour travailler sur une appli mobile permettant aux chaussettes orphelines de se retrouver. Mais Alice est dépressive, insomniaque, en proie à des TOC et a des très grosses crises d'angoisses.
Par alternance de chapitre, on lit son journal intime, 7 ans en arrière.
Il y a quelques passages humoristiques mais ça reste très très léger, à peine de quoi sauver les meubles.
Alice est à moitié américaine, donc on insiste LOURDEMENT sur ça : elle ne sait pas convertir les degrés Fahrenheit en des Celsius (ba oui elle est AMERICAINE), ni les miles en kilomètres (car elle est toujours AMERICAINE), elle ne trouve pas de bagel comme elle aime et qu'elle avait aux ETATS-UNIS, bref tout lui manque. Heureusement qu'elle travaille en COWORKING, à faire des FEEDBACKS grâce à une HYPE dans une START-UP etc etc
De temps en temps, les chapitres sont précédés d'une citation musicale de Scarlet (en américain évidemment !), sa soeur, artiste qui a percé dans le rock. Et en fin d'ouvrage on trouvera une PLAYLIST en accord avec la personnalité de la protagoniste.
Allez, un énième cliché pour la route : elle a une amie (américaine of course) qui est vegan, une autre ultra extravagante, un autre qui parle mal anglais (normal il est français, il a FORCEMENT des difficultés).
Il y a bien Jéremy, le brun ténébreux au regard océan dans lequel on peut savoir tout ce qu'il pense (j'exagère même pas en écrivant ça) qui réussit à la percer à jour, qui s'intéresse à elle (franchement, y a que dans les romans qu'on peut sortir la crise d'angoisse majeure comme atout séduction mais bon, au moins c'est amusant). C'est ce qui m'a donné envie de poursuivre la lecture parce que franchement les cent premières pages, faut s'accrocher.
Je n'ai pas mentionné le journal intime qui est juste un supplice à lire. Il raconte l'intégralité des souvenirs d'Alice et comporte à 90% des discussions autour de l'enfant qu'elle n'arrive pas à avoir. J'ai fini par le passer systématiquement en le survolant quand même à vitesse grand V, ayant encore un espoir de trouver quelque chose d'intéressant dedans.
Et le retournement de situation finale, on peut en parler. Il est étonnant, c'est vrai.
Je m'attendais à lire un feel-good avec une belle petite histoire d'amour gnangnan à souhait dont je raffole (et oui, on ne choisit pas ses goûts ! ) et j'ai eu de la littérature pour ado à destination d'adultes avec des sujets hyper déprimants à la clé : deuil, difficulté à avoir un enfant.
J'avais déjà lu cette auteur, en jeunesse avec la passeuse d'âme, ne m'en souvenant plus je ne suis pas en mesure d'en parler. En tout cas, ce livre ne m'aura pas laissé une très bonne impression. Je mets quand même quelques étoiles car j'ai bien aimé Jérémy le gars sûr (en plus quand j'ai dressé son portrait, j'ai oublié de dire qu'il était riche, un vrai prince charmant le mec ) & qu'il y a quelques touches d'humour.
Par alternance de chapitre, on lit son journal intime, 7 ans en arrière.
Il y a quelques passages humoristiques mais ça reste très très léger, à peine de quoi sauver les meubles.
Alice est à moitié américaine, donc on insiste LOURDEMENT sur ça : elle ne sait pas convertir les degrés Fahrenheit en des Celsius (ba oui elle est AMERICAINE), ni les miles en kilomètres (car elle est toujours AMERICAINE), elle ne trouve pas de bagel comme elle aime et qu'elle avait aux ETATS-UNIS, bref tout lui manque. Heureusement qu'elle travaille en COWORKING, à faire des FEEDBACKS grâce à une HYPE dans une START-UP etc etc
De temps en temps, les chapitres sont précédés d'une citation musicale de Scarlet (en américain évidemment !), sa soeur, artiste qui a percé dans le rock. Et en fin d'ouvrage on trouvera une PLAYLIST en accord avec la personnalité de la protagoniste.
Allez, un énième cliché pour la route : elle a une amie (américaine of course) qui est vegan, une autre ultra extravagante, un autre qui parle mal anglais (normal il est français, il a FORCEMENT des difficultés).
Il y a bien Jéremy, le brun ténébreux au regard océan dans lequel on peut savoir tout ce qu'il pense (j'exagère même pas en écrivant ça) qui réussit à la percer à jour, qui s'intéresse à elle (franchement, y a que dans les romans qu'on peut sortir la crise d'angoisse majeure comme atout séduction mais bon, au moins c'est amusant). C'est ce qui m'a donné envie de poursuivre la lecture parce que franchement les cent premières pages, faut s'accrocher.
Je n'ai pas mentionné le journal intime qui est juste un supplice à lire. Il raconte l'intégralité des souvenirs d'Alice et comporte à 90% des discussions autour de l'enfant qu'elle n'arrive pas à avoir. J'ai fini par le passer systématiquement en le survolant quand même à vitesse grand V, ayant encore un espoir de trouver quelque chose d'intéressant dedans.
Et le retournement de situation finale, on peut en parler. Il est étonnant, c'est vrai.
Je m'attendais à lire un feel-good avec une belle petite histoire d'amour gnangnan à souhait dont je raffole (et oui, on ne choisit pas ses goûts ! ) et j'ai eu de la littérature pour ado à destination d'adultes avec des sujets hyper déprimants à la clé : deuil, difficulté à avoir un enfant.
J'avais déjà lu cette auteur, en jeunesse avec la passeuse d'âme, ne m'en souvenant plus je ne suis pas en mesure d'en parler. En tout cas, ce livre ne m'aura pas laissé une très bonne impression. Je mets quand même quelques étoiles car j'ai bien aimé Jérémy le gars sûr (en plus quand j'ai dressé son portrait, j'ai oublié de dire qu'il était riche, un vrai prince charmant le mec ) & qu'il y a quelques touches d'humour.
L'histoire d'une jeune femme au passé lourd, qu'elle cherche à fuir en venant en France et à cacher. Pour cela, elle verrouille tout et cherche à contrôler le maximum. Mais ça, c'est la théorie. En pratique, sauf à rester ermite, la vie vient au devant. Et comme un filet d'eau, elle s'infiltre progressivement et reprend le dessus.
Concernant le livre lui-même, il est parfois un peu attendu. C'est à dire qu'on voit venir les événements.
Pour moi c'est un livre feel-good avec les bons cotés de cette littérature et avec les moins bons. Parfois on a besoin de lire ce genre d'histoires, mais si on cherche quelque chose de plus fort, de plus marquant alors pour moi ce n'est pas là qu'on le trouve
Concernant le livre lui-même, il est parfois un peu attendu. C'est à dire qu'on voit venir les événements.
Pour moi c'est un livre feel-good avec les bons cotés de cette littérature et avec les moins bons. Parfois on a besoin de lire ce genre d'histoires, mais si on cherche quelque chose de plus fort, de plus marquant alors pour moi ce n'est pas là qu'on le trouve
Perplexe....Je ne m'attendais pas à ça, je m'attendais à un roman feel-good, à la découverte des autres et des tranches de vie. Ce roman alterne entre Alice en 2012 et en 2018, le rythme est fluide et les personnages sont sympas. Cependant j'ai trouvé que l'histoire manquait un peu de "bonne humeur" et était finalement assez lente, sans oublier que je n'ai vraiment pas adhéré à la fin. Il n'empêche que le livre est bien écrit puisque je l'ai lu en 2 jours, donc pour résumer mon avis : perplexe....
J'ai commencé à lire un livre qui parle du deuil et du désir de maternité. Des thème fort, traités avec élégance. Je fais un peu l'impasse sur les persos assez clichés et je me laisse prendre. Franchement, je passe un bon moment même si certaines choses me paraissent grosses comme une maison tels que l'intérêt amoureux de l'héroïne dès qu'il apparaît dans l'histoire.
bien survient un retournement de situation vraiment invraisemblable, pour se conclure à la toute fin par un choix de l'héroïne tout aussi invraisemblable en plus d'être franchement grotesque.
Ça m'a donné l'impression d'être trahi par la promesse du livre, et les thèmes importants et sensibles du début de roman sont balayés par ce twist franchement ridicule. Et le nom de deux personnages, à un moment, le personnes l'ayant lu verront de quoi je parle... en en discutant avec une proche qui l'a lu, elle m'a dit "mais on n'appellerait même pas des chiens comme ça !" : ça illustre bien mon opinion sur ce point.
Ceci étant, je pense que l'autrice a de quoi faire de jolies choses au niveau psychologie des personnages, j'en tenterai peut-être un autre.
Je précise pour mon avis que je n'ai pas choisi ce titre, on me l'a offert.
Un mot sur l'édition, je l'ai en poche, imprimé sur du papier-cul et un choix de police bien compliqué si on a des problèmes de vue. L'objet-livre n'est franchement pas agréable. Mon exemplaire, en tout cas, finira sa carrière à la médiathèque ; je doute qu'il survive longtemps au traitement.
bien survient un retournement de situation vraiment invraisemblable, pour se conclure à la toute fin par un choix de l'héroïne tout aussi invraisemblable en plus d'être franchement grotesque.
Ça m'a donné l'impression d'être trahi par la promesse du livre, et les thèmes importants et sensibles du début de roman sont balayés par ce twist franchement ridicule. Et le nom de deux personnages, à un moment, le personnes l'ayant lu verront de quoi je parle... en en discutant avec une proche qui l'a lu, elle m'a dit "mais on n'appellerait même pas des chiens comme ça !" : ça illustre bien mon opinion sur ce point.
Ceci étant, je pense que l'autrice a de quoi faire de jolies choses au niveau psychologie des personnages, j'en tenterai peut-être un autre.
Je précise pour mon avis que je n'ai pas choisi ce titre, on me l'a offert.
Un mot sur l'édition, je l'ai en poche, imprimé sur du papier-cul et un choix de police bien compliqué si on a des problèmes de vue. L'objet-livre n'est franchement pas agréable. Mon exemplaire, en tout cas, finira sa carrière à la médiathèque ; je doute qu'il survive longtemps au traitement.
C'est le troisième roman de cette auteure que je lis. Si les deux précédant m'avais enchanté et bouleversé, se n'est pas le cas pour celui ci. Plusieurs raison à cela.
La première j'ai trouvé que les personnages manquaient de développement, si Alice et Scarlett sont bien présente j'ai trouvé les personnages secondaire un peu absent, notamment les collègues d'Alice, nous les suivons tout au long de l'histoire mais il faut attendre la fin du roman pour les connaître et les abandonner aussitôt.
La seconde c'est parce que j'avais deviné la fin. Et qu'elle frustration !!! A partir du moment où j'ai compris le dénouement, j'ai survolé les pages.
La troisième si dans les autres romans de Marie Vareille j'avais eu une boule dans la gorge au moment de refermer le livre, je n'ai cette fois pas ressenti cette émotion qui te fais penser que maintenant ta vie elle est nulle parce que tu as terminé ce roman.
En bref ce roman ne me restera pas en mémoire, j'ai passé un bon moment, c'était une lecture simple et rapide pour ce début d'année.
La première j'ai trouvé que les personnages manquaient de développement, si Alice et Scarlett sont bien présente j'ai trouvé les personnages secondaire un peu absent, notamment les collègues d'Alice, nous les suivons tout au long de l'histoire mais il faut attendre la fin du roman pour les connaître et les abandonner aussitôt.
La seconde c'est parce que j'avais deviné la fin. Et qu'elle frustration !!! A partir du moment où j'ai compris le dénouement, j'ai survolé les pages.
La troisième si dans les autres romans de Marie Vareille j'avais eu une boule dans la gorge au moment de refermer le livre, je n'ai cette fois pas ressenti cette émotion qui te fais penser que maintenant ta vie elle est nulle parce que tu as terminé ce roman.
En bref ce roman ne me restera pas en mémoire, j'ai passé un bon moment, c'était une lecture simple et rapide pour ce début d'année.
Je suis surpris des notes obtenues par ce bouquin et progressivement je me rends compte que j'aimerais bien avoir accès aux avis du comité de lecture. Ce qui a poussé la maison d'édition à pousser ce projet.
Dire que je me suis ennuyé serait malhonnête. J'ai suivi l'histoire, l'évolution des personnages, l'histoire d'amour, de famille. C'est à la fois touchant et en même temps trop lisse. Les notes dans le journal d'Alice, cher journal, je t'ai délaissé…
Il m'a manqué un petit quelque chose. Dans l'écriture peut-être, de l'humour, de la folie. le rythme est lent. J'aurais aimé avoir peut-être des indices me permettant de réfléchir à ce retournement de situation que je ne n'avais pas vu venir. Il faut l'admettre. Des éléments autres que Alice a subi un drame… Quand le voile se lève, sur quelques pages, on comprend ce qu'il s'est passé mais sans l'effet waw d'un twist réussi.
J'ai par contre détesté cette fin, les 10 dernières pages, le côté happy ending, même si je suis ravi que chaque personnage y trouve sa voie.
Dire que je me suis ennuyé serait malhonnête. J'ai suivi l'histoire, l'évolution des personnages, l'histoire d'amour, de famille. C'est à la fois touchant et en même temps trop lisse. Les notes dans le journal d'Alice, cher journal, je t'ai délaissé…
Il m'a manqué un petit quelque chose. Dans l'écriture peut-être, de l'humour, de la folie. le rythme est lent. J'aurais aimé avoir peut-être des indices me permettant de réfléchir à ce retournement de situation que je ne n'avais pas vu venir. Il faut l'admettre. Des éléments autres que Alice a subi un drame… Quand le voile se lève, sur quelques pages, on comprend ce qu'il s'est passé mais sans l'effet waw d'un twist réussi.
J'ai par contre détesté cette fin, les 10 dernières pages, le côté happy ending, même si je suis ravi que chaque personnage y trouve sa voie.
J'ai découvert Marie Vareille par son blog et son livre-méthode d'écriture de roman. J'ai donc lu son ouvrage le plus connu par curiosité, pour voir si elle avait une légitimité ou s'il s'agissait d'un énième ouvrage du type "comment gagner au loto" ou "comment devenir millionnaire", bref, de ces auteurs dont on se demande pourquoi diable ils n'appliquent pas leurs propres conseils puisqu'ils sont si efficaces.
Rien de tel ici, l'auteur applique scrupuleusement ses recommandations. Son roman est méthodique, structuré et utilise les "bons" ingrédients, ceux qui plaisent au plus grand nombre.
Le résultat est un fromage au lait pasteurisé d'un rayon de supermarché : ça n'a pas beaucoup de goût mais faute de mieux ça se laisse manger et si ça ne provoque pas de grand enthousiasme, ça ne risque pas de révulser autant qu'un Camembert au lait cru bien fait.
On est dans un style mi-feel good mi-romance, et bien que ce ne soit pas mon fond de commerce préféré c'est assez bien écrit malgré les multiples lieux communs donc ça se laisse lire. le plus gênant à mon sens est que l'on sent les rouages de la méthode en filigrane mais on sent également un certain talent pour raconter des histoires donc par curiosité je lirai son dernier opus qui selon les critiques est bien meilleur.
Au final ce qui "m'inquiète" le plus, c'est bien la note globale de cet ouvrage car clairement on n'a pas à faire à un chef-d'oeuvre et j'espérais trouver un peu plus de discernement dans une communauté de lecteurs assidus quand Camus et Stendhal ne dépassent pas 4...
Rien de tel ici, l'auteur applique scrupuleusement ses recommandations. Son roman est méthodique, structuré et utilise les "bons" ingrédients, ceux qui plaisent au plus grand nombre.
Le résultat est un fromage au lait pasteurisé d'un rayon de supermarché : ça n'a pas beaucoup de goût mais faute de mieux ça se laisse manger et si ça ne provoque pas de grand enthousiasme, ça ne risque pas de révulser autant qu'un Camembert au lait cru bien fait.
On est dans un style mi-feel good mi-romance, et bien que ce ne soit pas mon fond de commerce préféré c'est assez bien écrit malgré les multiples lieux communs donc ça se laisse lire. le plus gênant à mon sens est que l'on sent les rouages de la méthode en filigrane mais on sent également un certain talent pour raconter des histoires donc par curiosité je lirai son dernier opus qui selon les critiques est bien meilleur.
Au final ce qui "m'inquiète" le plus, c'est bien la note globale de cet ouvrage car clairement on n'a pas à faire à un chef-d'oeuvre et j'espérais trouver un peu plus de discernement dans une communauté de lecteurs assidus quand Camus et Stendhal ne dépassent pas 4...
La vie rêvée des chaussettes orphelines
Marie Vareille
Charleston Poche
480 pages
J'ai connue l'auteure grâce à son dernier livre, Désenchantées. Qui m'a éblouie. J'ai donc poursuivi avec Ainsi gèlent les bulles de savon que j'ai beaucoup apprécié.
Je reconnais tous les multiples talents de Marie Vareille dans celui là.
L'humour, le sens des dialogues, des sujets hyper documentés, et je suis concernée donc je tire mon chapeau, un final très inattendu...
Malgré tout je n'ai pas compris pourquoi ce détour que j'ai trouvé très, trop, long, par EverDream et cette histoire de chaussettes.
Ça m'a plu au début car c'est très drôle, mais pfft... j'ai abandonné plusieurs fois ma lecture, j'ai été encouragée à continuer, donc j'ai repris le livre et lu en diagonale pour arriver plus vite au final.
Les personnages sont très bien campés, je m'en souviendrai, il y a tellement de vérité en eux.
Mais je n'ai pas été emportée comme les autres fois.
Marie Vareille
Charleston Poche
480 pages
J'ai connue l'auteure grâce à son dernier livre, Désenchantées. Qui m'a éblouie. J'ai donc poursuivi avec Ainsi gèlent les bulles de savon que j'ai beaucoup apprécié.
Je reconnais tous les multiples talents de Marie Vareille dans celui là.
L'humour, le sens des dialogues, des sujets hyper documentés, et je suis concernée donc je tire mon chapeau, un final très inattendu...
Malgré tout je n'ai pas compris pourquoi ce détour que j'ai trouvé très, trop, long, par EverDream et cette histoire de chaussettes.
Ça m'a plu au début car c'est très drôle, mais pfft... j'ai abandonné plusieurs fois ma lecture, j'ai été encouragée à continuer, donc j'ai repris le livre et lu en diagonale pour arriver plus vite au final.
Les personnages sont très bien campés, je m'en souviendrai, il y a tellement de vérité en eux.
Mais je n'ai pas été emportée comme les autres fois.
Les Dernières Actualités
Voir plus
Chick-lit : le tour du monde
iris29
79 livres
Feel really good!
Sabrina_Chchch
18 livres
Autres livres de Marie Vareille (22)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Elia, la passeuse d'âmes tome 1
Quel âge a Elia au début de l'histoire ?
16
14
17
18
9 questions
29 lecteurs ont répondu
Thème : Elia, la passeuse d'âmes, tome 1 de
Marie VareilleCréer un quiz sur ce livre29 lecteurs ont répondu