Je termine "Alias M.D.O."
Une aventure de Bob Morane, lue en 1h54... avec une pause café entre.
Bon, j'avais acheté ce bouquin du temps de ma jeunesse. À le relire (on pense parfois retrouver sa jeunesse!!!) je ne sais plus très bien pourquoi je l'avais acheté. Peut-être pour faire comme les copains qui me trouvaient trop intello. (Le pire, faut pas trop le dire, j'en ai acheté 2!!!).
Je dois dire que je n'en garde pas un souvenir très marqué et je me garderais de faire un commentaire. Autant c'est le genre de bouquin qui donne peut-être à certain l'envie de lire. Plus tard. Allez savoir. Mais soyons honnête, ça vide la tête et des fois c'est tout ce qui compte.
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Bob & Bill se trouvent aux Philippines à affronter le Smog pour empêcher de kidnapper un agent de la CIA pour avoir des infos sur les États-Unis. Ils devront-ils utiliser force et astuce pour contrecarrer les plans des méchants du Smog. Bonne histoire et j'aime l'aventure qu'ils ont vécus.
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A force d'entendre Indochine nous raconter les histoires du « vrai héros de tout les temps » ; j'ai eu envie d'en lire une. Et bien pas déçu mais ne cherchez pas une grande littérature. Juste ce qu'il faut pour passer un bon moment de lecture en se laissant bercer par l'action. Et en lisant on ne peut pas s'empêcher de fredonner « et soudain surgit face au vent, tintintin, tintintin.... ».
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Calle Chino appartenait à un quartier infect, au sud de la ville, adossé à la fois à la mer et à la jungle basse qui insinuant ses longs serpents à travers les champs, descendait des collines, lançant ses mauvaises herbes dans les rues que la mangrove proche imprégnait d'humidité. Les maisons - plutôt des cases -étaient construites en bois et montées sur des pilotis bas afin que les planchers ne soient pas en contact direct avec le sol pourri que, parfois lors des tempêtes, la mer recouvrait. Tout un peuple obscur, composé en majorité de Chinois, vivait là sans que l'on pût dire exactement d’où il tirait sa subsistance.
Henri Vernes 3 romans méconnus