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3,88

sur 5489 notes
Hey Pascal... Ca fait longtemps... Meilleurs voeux !!
- Euh oui, Bonne Année à toi aussi !!! Et l'intelligence surtout... Parce que la santé, tu l'as déjà …
- Merci, merci. Tu veux bien souhaiter une très bonne année à tous tes copains du site, là... Bab el oued ?...
- Babelio, oui, ben voilà qui est fait... J'allais justement y faire un tour pour poster un petit billet.
- Ha oui ? Un bouquin qui t'a plu ?
- Carrément... Mais tellement de choses ont été écrites dessus... je voulais juste affirmer que j'ai beaucoup aimé et remercier ceux qui m'ont poussé à le lire...
- C'est quoi ? Encore un truc érotique ?
- Mais pas du tout !!! C'est Delphine de Vigan, « d'après une une histoire vraie »...
- Ha oui, je la connais elle, elle a écrit « Noémie » et... « Osez Joséphine », c'est ça ?
- Presque... « No et moi » et « Rien ne s'oppose à la nuit »... Mais t'es pas tombé loin...
- Ha ouais, peut-être... En tout cas, moi ça me barbe un peu cette mode qu'ont les auteurs d'écrire sur leur vie et leur histoire au lieu d'en inventer, des histoires...
- Ben justement, il est là le noeud du livre : Delphine s'interroge, aimerait revenir à la fiction, mais L. n'est pas d'accord...
- Comment ça, elle n'est pas d'accord ??
- Ah Delphine, si... elle veut à fond... Mais c'est L. qui n'est pas d'accord...
- Euhhh Mais qui, elle ?
- Ben justement, il est là le noeud du livre...
- Je te signale que ça fait un double noeud !!!
- Oh, il y a plein de choses à dénouer dans ce roman, jusqu'au dénouement qui m'a m'a pris aux tripes...
- Je vois, Hé hé... ça t'a fait un noeud à l'estomac... Hé hé... Bon et alors ? A la fin, elle meurt ?
- Ben non, puisqu'elle a écrit le bouquin.
- Mais qui ? C'est qui qui a écrit ce bouquin, c'est elle, non ?
- Ben justement, il est là le noeud du livre... Elle nous balade... Finalement elle nous manipule comme L. la manipule...
- Euuuuh mais euhhh... c'est qui elle ? C'est Elle ?
- Ben justement, il est là...
- Ha non hein !!! Stop ! Prends moi pour un demeuré, je dirai rien !
- Ok, ne dis rien alors... Je crois que c'est pas franchement un livre pour toi...
- Bon, du moment que ça amuse tes copains de Labello... Mais dis-moi, pour finir, ce roman est vraiment tiré d'une histoire vraie ?
- Ben justement, il est.... Heyyy !! Tu vas où ?... Mais reviens...
- Je peux pas... Je file... Je sens l'inspiration qui monte... Je vais te pondre un chef d'oeuvre... Un docu-fiction autobiographique romancé dans lequel tout serait vrai mais pas que... Ça va s'appeler « Moi et Lui »... L'histoire d'un amour impossible entre un homme moderne et son magazine... Et il y aura plein de noeuds...
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Nouvel épisode de ma saga personnelle "Est-ce que les prix littéraires vont forcément aux meilleurs livres ou pas ?" Et ce cru Renaudot 2015 est un millésime qui a une sacrée tenue !

L'auteur parvient très habilement à mélanger les genres autobiographie-autofiction, thriller, et caetera... on a du mal à coller une seule étiquette. Le livre est surtout l'occasion d'une réflexion profonde sur le présent et l'avenir de la littérature, entre fiction et réalité. La grande habileté de l'auteur est de l'avoir distillé tout au long d'un livre qui ne paraît au départ pas formaté pour habiter de tels questionnements.

Le livre aura été aussi pour moi l'occasion d'une expérience inédite. Il contient en effet un mystère, que le lecteur ne peut s'empêcher de chercher à résoudre au fil de sa lecture. Or, (et ce n'est pas pour m'autocongratuler car c'est assez rare pour moi), vers le premier tiers du livre j'étais déjà certain d'avoir trouvé le dénouement de ce mystère. J'ai craint du coup de perdre de l'intérêt pour la lecture mais cela a au contraire été l'occasion d'observer le talent de l'auteure pour à la fois dissimuler mais aussi révéler par petites touches des indices au lecteur. Il est difficile d'en dire plus de peur de déflorer ce qui fait toute la saveur de l'ouvrage mais je vous promets au final un page turner rempli d'intelligence et avec un style qui, sans atteindre au sublime, est totalement maîtrisé. Cela ressemble donc à une oxymore, c'est tout simplement un prix littéraire mérité !
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Un livre tout chaud, tout récent, d'une écrivaine que j'apprécie beaucoup (et je suis loin d'être la seule)
Je dois avouer que cette oeuvre m'a énormément troublée. En cela, je dirais que le pari de l'auteure est réussi. Lorsque je l'ai refermé, je n'ai pu m'empêcher de me poser cette question lancinante, qui rythme tout le roman : est-ce une histoire vraie ? En cela, Delphine de Vigan a totalement réussi a parvenir à ses fins : dès que je l'eut terminé, je n'avais qu'une envie : me précipiter sur Internet pour savoir si cette histoire était vraie ou pas (j'ai néanmoins attendu d'écrire cette critique avant de le faire).
La réflexion autour du vrai, du réel dans les livres est passionnante. Elle est développée dans les discussions entre Delphine et L. Il y a une vraie remise en question de la part de l'écrivaine, un vrai recul et un vrai questionnement sur le rôle de l'écrivain. La fin est vraiment très bien trouvée, elle m'a laissée comme suspendue aux lèvres de l'auteure.
Le style est toujours aussi agréable, sans nul doute. J'ai ainsi pu dévorer ce roman très vite, comme cela avait été le cas avec les autres livres de cette auteure (Jours sans faim, No et moi) La relation entre l'auteure et L. est captivante, très complexe et bien relatée. Elle nous permet de nous interroger sur la manipulation et ses diverses formes.
Cependant, je ne sais que penser de ce roman. Je ne sais pas non plus si je l'ai adoré, bien que j'ai pris plaisir à le lire. Pendant tout un temps je l'ai trouvé très autocentré, très "l'écrivain et ses angoisses, quel malheur !" (bien que l'auteure ne cesse de relativiser ses problèmes). J'avais l'impression que l'écrivaine nous racontait sa vie, nous parlait de ses enfants, de son conjoint... sans réel enjeu, sans réelle profondeur. Je ne parvenais pas toujours à trouver un réel intérêt au récit des épisodes de la vie de de Vigan. Néanmoins, je crois que la fin m'a permis de mettre toutes les pièces du puzzle à leur place, elle sauve véritablement le roman.
Je regrette de ne pas avoir lu Rien ne s'oppose à la nuit avant celui-ci, il semble en être réellement la suite logique.
Au final je suis très contente d'avoir pu lire ce livre, bien qu'il soit l'un de ceux qui m'ont le plus troublée et questionnée. J'ai réellement du mal à exprimer mon avis sur cette oeuvre !

Lien : http://lantredemesreves.blog..
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Ce roman, entre fiction et réalité, m'a laissé un sentiment étrange.
J'ai menée ma lecture jusqu'au bout, bien que tentée plusieurs fois d'abandonner. Et j'ai été déçue, car la fin n'en est pas vraiment une. Au lecteur de choisir se version – ou alors je suis vraiment passée à côté.
Je n'ai pas adhéré à cette histoire d'auteure qui s'auto-apitoye en permanence, mal à l'aise dans son petit univers d'intellos parisiens.
Je vais laisser passer un peu de temps avant de lire un autre roman de cette auteure. En espérant être agréablement surprise.
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Comme un funambule entre fiction et réalité, le lecteur ne sait de quel côté pencher. La fiction peut-elle être pure ? Un roman autobiographique n'a-t-il pas une part de fiction ?

L'auteur laisse forcément son empreinte dans les mots qu'il laisse sur la page. Il y met ses failles, sa fragilité, sa perception du monde. C'est à cela qu'on le reconnaît, à sa touche personnelle.

Peut-on faire la différence entre réalité et fiction, l'auteur peut-il nous duper ? Est-ce si important de raconter des faits réels ? N'est-il pas plus confortable de s'abriter derrière la fiction pour raconter des instants de vie ?

Plus confortable pour l'auteur, qui ne s'expose pas ainsi aux remontrances de la part de son entourage, à l’œil critique du lecteur sur son intimité et à son avidité de confidences. Plus confortable pour le lecteur, qui ne se considère pas comme un voyeur, s'immisçant dans l'intimité de l'auteur. La fiction permet plus de liberté, autant pour l'auteur que pour le lecteur.

J'ai apprécié ce thriller psychologique, qui nous embarque délicatement là où on ne s'y attendait pas.
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Comment écrit-on après un best-seller ?
Delphine de Vigan avait connu un immense succès en 2011 avec "Rien ne s'oppose à la nuit", un roman largement autobiographique qui m'avait enthousiasmé et enthousiasmé avec moi des milliers voire des millions de lecteurs.
On imagine aisément qu'un tel succès inhibe. Comment écrire un nouveau livre sans qu'il soit fatalement comparé au précédent ? Comment ne pas décevoir un lectorat impatient ? Nombreux furent les écrivains qui ne réussirent pas à relever ce défi : Harper Lee, Salinger...
Delphine de Vigan le relève avec un sacré culot.
En nous racontant, à la première personne, les mois qui ont suivi. le succès aussi inattendu qu'écrasant. L'angoisse de la page blanche. Et la rencontre de L., une inconnue qui devient une amie, une confidente, un double.
Dès le départ, l'auteure nous alerte, au risque de tuer le suspense : l'amitié de L. est suspecte, dangereuse, toxique. le roman devient celui de la chronique annoncée d'une insidieuse opération d'asservissement amical.

Mais - c'est ce qui fait sa richesse - "D'après une histoire vraie" est bien plus que cela. En nous racontant ses échanges avec L., Delphine de Vigan nous livre ses réflexions sur l'art du roman. L. l'exhorte à creuser la veine de "Rien ne s'oppose..." en écrivant un nouveau pan de son autobiographie. C'est ce qu son public attend qui, de nos jours, ne jure plus que par les égo-romans et les récits inspirés "d'une histoire vraie". Mais Delphine renâcle : le roman, dit-elle, n'est pas le miroir du réel et, s'il s'en inspire, c'est pour le tirer vers la fiction.

L'exposition de ces théories - au demeurant stimumantes - serait terriblement aride si elle n'était pas entrelacée dans un récit. Milan Kundera l'avait montré dans "L'insoutenable légèreté de l'être" avant de l'oublier dans ses derniers livres d'un dictatisme pontifiant.

L'habileté de Delphine de Vigan - les moins indulgents parleront de rouerie - consiste à jeter progressivement le doute dans l'esprit du lecteur. Ce récit est-il, comme tout le laissait penser dans les premières pages, inspiré d'une histoire vraie ? Ou bien est-il né dans l'esprit fécond de son auteur ? Une troisième hypothèse, proprement époustouflante, est envisagée dans les toutes dernières pages du roman. Jusqu'à un "point" final qui ne résoud rien mais éclaire tout.
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Après avoir été conquise pas Un soir de décembre ou Les heures souterraines, je retrouve avec plaisir la plume de Delphine de Vigan. Et je dois dire que j'ai adoré ce nouveau roman que j'ai écouté en version audio.

L'auteur se met en scène, son dernier roman a eu énormément de succès et elle se demande ce qu'elle peut écrire après çà. Jusqu'à la c'est plutôt autobiographique, mais elle tisse doucement une fiction qui prend des allures de thriller et qui fait froid dans le dos.

L'intrigue est vraiment très reussite. Il y a énormément de questionnement : quelle est la part du réel et la part de fiction ? le personnage de l'auteur Delphine est vraiment attachante tandis que le personnage de L. prend de plus en plus de place dans sa vie. On sent de le début que la pression monte, qu'il va se passer quelque chose mais j'étais loin d'imaginer la fin que l'auteur donne a son roman et qui nous laisse bouche bée.

Comme je le disais plus haut, c'est la version audio que j'ai écouté. Je dois dire qu'il y a des livres plus propices que d'autres à écouter. Celui-ci est une pure merveille. Il y a quelque chose d'intime dans ce roman ou l'auteur choisi de mêler le vrai et le faux et le fait d'écouter renforce ce sentiment. On a l'impression d'écouter une confession. Marianne Epin prête sa voix et je lui tire mon chapeau car la lecture est un exercice difficile qu'elle relève avec brio. Et puis petit bonus, l'édition audio se termine par un entretien avec l'auteur que j'ai beaucoup aimé.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Prenez le livre de Delphine de Vigan, "d'après une histoire vraie", véritable best seller depuis sa sortie et qui s'est vu couronner du prix Renaudot la semaine passée… ce roman là, forcément très attendu pour tous ceux qui comme moi avec beaucoup aimé « Rien ne s'oppose à la nuit » son précédent livre, j'ai eu la chance de lire en vacances en Bretagne, quelques semaines avant qu'il ne sorte en librairie et connaisse ce triomphe assuré et hautement mérité et je m'étais juré d'en dire tout le bien que j'en pensais dès que je reviendrais chez moi…

Et puis, finalement pour pas mal de raisons- un gros problème de santé à mon retour, l'envie de parler de livres aux sorties plus confidentielles, la difficulté d'écrire parfois sur certains livres, j'ai remis la publication de cette chronique aux calanques grecques, mettant à chaque fois une nouvelle date de publication sur ce post dans la liste de mes billets venir…

Après le prix littéraire qu'il a reçu la semaine passée, et même si j'aurais préféré que ce soit le Goncourt qui le couronne, tant pour moi ce livre avait tout pour obtenir la récompense suprême, car ce roman est tout ce qui pour moi constitue de la grande littéraire : à la fois accessible et exigeant, intelligent et divertissant, captivant et cérébral, bref en un mot comme en cent, on est pas loin du chef d'oeuvre!!

Dans ce « d'après une histoire vraie », Delphine de Vigan nous interroge, comme le titre du livre l'indique sur les notions de vérité, de biographie, d'autobiographie en nous interrogeant sur le rapport des lecteurs à la fiction : est ce que la fiction, à l'heure des séries et de sa profusion narrative reste encore d'actualité dans la littérature et si elle arrive encore à passionner comme avant le lectorat ? « Je croyais que les gens avaient seulement besoin que les histoires les intéressent, les bouleversent, les passionnent. Mais je m'étais trompée. Les gens voulaient que cela ait eu lieu, quelque part, que cela puisse se vérifier. Ils voulaient du vécu. »

Mais parallèlement à ces interrogations, De Vigan- qu'on préfère largement en romancière qu'en cinéaste- nous donne également à réfléchir sur d'autres vérités, celle du rapport à soi et de celle de la relations aux autres.

Dans ce roman qui jongle avec une maîtrise et une habileté folle entre autobiographie et fiction, la frontière entre les deux, sera parfaitement entretenu par l'auteure et ce jusqu'à la dernière phrase.

Mais "D'après une histoire vraie" est loin de n'être qu'une profonde réflexion sur la création littéraire, est surement avant toute chose un roman psychologique d'une densité exceptionnelle, une histoire de prédation flirtant avec l'usurpation d'identité qui finit en huis clos oppressant de ces intrigues, qui renvoie au meilleur du genre- on pense beaucoup au Misery de Stephen King, surtout dans sa dernière partie,...chronique en intégralité sur le blog...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Qu'il est difficile de venir dire sa déception alors que, déjà, de nombreux avis sont plus que positifs.

Panne d'écriture pour Delphine de Vigan et le hasard lui fait rencontrer L. dont elle va devenir très proche, tellement proche que cette L. va avoir une emprise très importante sur l'auteur de ce livre.

Roman, fiction ? en tous cas une grosse déception pour moi.
Je n'ai pas aimé que tout tourne autour de l'auteur, tout le temps, moi moi moi... je je je..... les deux tiers du livre m'ont paru bien long.

J'avoue que la dernière partie m'a plus intéressée et qu'il a fallu que je le finisse d'une traite pour en connaître l'issue.... et re-déception, du déjà vu, déjà lu, des idées prises dans des livres ou des films, rien de bien original.

Je reconnais que je ne suis pas tendre dans mon avis, mais je n'aime pas ce nombrilisme d'auteur.

Et contrairement à ce qui est dit de nombreuses fois dans ce livre, je préfère quand Delphine de Vigan écrit de la fiction, de la vraie de vraie, vivement la prochaine ! parce que malgré tout j'aime son écriture.
Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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Après avoir voulu rendre compte de la vie des autres, celle de sa mère bipolaire en particulier dans Rien ne s'oppose à la nuit, c'est maintenant la sienne que Delphine de Vigan fait semblant de mettre en scène dans Une histoire vraie.
En faisant le choix de conserver son prénom, ainsi que celui de son compagnon, la maline Delphine de Vigan semble se placer sur le terrain de l'authenticité.

Avec une construction en trois parties - séduction, dépression, trahison - l'auteure, en se rapprochant d'un drame en trois actes, manie brillamment le faux-semblant et l'ambiguïté et laisse monter le suspens  dans une histoire de domination intellectuelle et de manipulation mentale.

Dans ce roman aux nombreuses pistes, j'ai aimé cette manière de jouer avec la littérature ; en en faisant un substrat surprenant de la construction de l'intrigue, elle rappelle ainsi certains passages de Misery de Stephen King.
Ce qui donne son intérêt au roman c'est donc, au-delà de la tension palpable, l'opposition  entre les deux personnages à propos des enjeux de la littérature.
Au cours de leur compagnonnage, Delphine, la narratrice, et L. divergent sur le choix à opérer entre le vrai et la fiction.
Se fondant sur le succès du précédent livre de Delphine, dans lequel celle-ci avait dévoilé son intimité familiale, L. encourage son amie à aller toujours plus loin dans la vérité pure, même si elle conduit à la solitude.
Consciente (et intéressée !) de la fragilité psychique de son « amie », elle l'affirme : « […] c'est le sort de l'écrivain, creuser la fosse autour de lui, je ne pense  pas qu'il y ait d'autre voie, l'écriture ne répare rien […]....

Un bémol cependant....comme dans d'autres titres de cette écrivaine, et bien que la langue utilisée soit agréable et stylisée, j'ai trouvé certains passages redondant, quelques pages en moins auraient apporté un peu de respiration à ce roman.

Lien : http://justelire.fr/dapres-u..
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