Arrête ton train Volodine ! C'est le
terminus Radieux, mon cul oui…
Je vais me faire descendre par mes potes bablio's mais alors fallait pas m'inviter. C'est quoi ça ?
Bon donnez-moi un doliprane, j'ai mal à la tête.
Descendez- moi à la prochaine étape… Je ne peux plus marcher. Irradié jusqu'à la moelle…
Allez je laisse tomber. C'est pas pour moi. Mais il y a en qui aime ? Bon ça, au moins c'est rassurant. La littérature n'est pas une soupe au goût parfaitement homogène qui ferait qu'on aime tous la même chose, avec ce petit quelque chose d'identique de bout en bout.
Marc Levy sous prozac. C'est pas un pléonasme ?
C'est même réjouissant de trouver des romans qui divisent, qui ne font pas l'unanimité. Même lorsqu'on aime la littérature sous toutes ses latitudes, on peut se retrouver avec une porte close, alors que pleins d'autres lecteurs sauront, rentrer par delà les murailles, d'une cité-livre.
Alors j'aime pas, mais c'est bon signe quand je vois ceux qui savent en parler avec talent. Je me dis que la diversité existe encore, que le sang des
écrivains n'est pas encore totalement sur les linéaires des grandes surfaces en attente de coagulation.
Terminus Radieux ? Arrête ton char Volodine ! Tu déconnes. Non ? Bon, je te promets, que je reviendrais vers toi, parce qu'à lire la critique de Michfred je me dis, « c'est pas possible, je suis passé à côté d'un truc, j'ai du trop fumer la moquette la semaine ou je l'avais entre les mains, bu trop de Volka, mangé trop de moussaka… »
Le pire dans tout ça, c'est qu'il y a certaines critiques de Babelio qui vous font vous mordre les doigts de ne pas aimer. Merde ! Mais franchement certains d'entre vous, vous êtes trop fort. Vous donnez tellement envie de lire un livre qu'après, ben si on est déçu, on est doublement déçu.