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3,28

sur 1989 notes
Et si les chats nous remplaçaient?.. Quelle merveilleuse idée .
Un très bon livre, très juste et drôle sur mes frères anarchistes
Du coup je vais lire très vite les deux autres pour affiner ma prochaine conférence sur la liberté des poilus



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Le début de ce livre m'a fait rire et, notre personnage principale, Bastet, est assez drôle et se prend vraiment pour la déesse Bastet (ce qu'elle n'est pas, du moins dans ce tome là, puisqu'elle est un chat "domestiqué" vivant dans un appartement parisien avec sa servante humaine).
Mais j'étais moins emballée par les passages concernant la fin du monde, la guerre civile. J'ai quand même continué à lire attentivement jusqu'à un passage qui m'a retourné l'estomac vers le milieu du livre. de ce fait, j'ai lu en diagonale la second moitié du livre car j'étais curieuse mais j'avais moins d'entrain pour le lire car c'était un peu répétitif et longuet à certains moments. Beaucoup de passages retracent la relation entre les humains et les chats ce que jai trouvé intéressant au début mais qui était trop pour le genre de lecture que je souhaitais au bout d'un moment.
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Encore un nouveau coup de coeur ❤

Dans "Demain les chats", Bernard Werber nous plonge dans la vie de Bastet qui vit avec sa servante humaine à côté d'un nouveau voisin intriguant, Pythagore. Ces deux chats vont avec leur force de caractère et leur intelligence avoir un effet postif sur le monde des humains qui ne cesse de se détruire.

On y retrouve toute la philosophie de Bernard Werber avec délice. Il a, selon moi, bien réussi à décrire la nature des chats. Les deux, et plus particulièrement Bastet qui est la narratrice, sont assez reconnaibles en termes de comportement.
Le livre se lit aisément et réussi à faire éprouver au lecteur diverses émotions comme la peur, la révolte, la tristesse, le bonheur, ...L'humour est également au rendez-vous.

Amis des chats, si vous avez toujours rêvé de vous plonger dans la tête de votre compagnon préféré, ce livre est fait pour vous! 🙂 🐱
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J'adore les chats.
Enfin non, en vérité je les idolâtre et ils sont au centre de ma vie.
Donc forcément ce livre m'attirait depuis longtemps.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, et globalement mon impression va vers le positif mais je reste un peu sur ma faim.
Je garde un tel souvenir de la trilogie des fourmis ( désolée d'avance pour l'auteur a qui on doit constemment offrir cette comparaison) que je m'attendais à la même puissance version minets.

D'abord lire du Werber c'est accepter de lâcher prise pour adhérer à ses idées... farfelues !
Ici les chats parlent mais pas que...Ils philosophent, s'instruisent et veulent dominer le monde, entre autre.

J'avoue avoir eu un peu de mal par moment avec le contexte du livre qui se superpose presque à la perfection à l'actualité du moment.
Dur de ne pas faire le parallèle entre la peste du livre et " notre " COVID, et celui de la guerre civile du roman avec la guerre en Ukraine qui fait rage actuellement.
Et comme j'aime lire pour oublier ce qui est dur dans la vie de tous les jours j'étais pas en joie d'avoir constemment sous les yeux ce rappel à la réalité.

Ceci étant j'ai adoré l'esprit donné par l'auteur aux chats. Leurs réflexions et attitudes sont amusantes.
Bastet m'a particulièrement plu. Pythagore un peu moins....En tout cas globalement les personnages manquent un peu de mordant.
Quelque chose qui m'a par contre vraiment plu: retrouver pleins d'anecdotes sur la place du chat dans L Histoire.

Pour les aspects négatifs il y a aussi le tempo. Cest quand même un peu plat par moment et on pourrait vite être tenté de sauter des lignes, voir survoler des pages. La fin est d'ailleurs peu passionnante. Je m'attendais clairement à mieux.

Si je devais utiliser quelques adjectifs pour décrire cette lecture je choisirais : amusante, mignonette et plutôt originale.


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Après être passé durant des années à côté de cet auteur, je débute la lecture de mon premier roman de Bernard Werber avec « Demain les chats » et non avec son célèbre cycle des fourmis. Deux raisons à cela : J'aime les chats et la référence au livre « Demain les chiens » de Clifford D. Simak attisait ma curiosité. de plus, assister à une apocalypse à travers le regard et l'esprit d'une jeune chatte n'était pas pour me déplaire.


Le livre part donc avec un bon concept. Mais ce qu'en tire Bernard Werber… Il ne m'a pas fallu beaucoup de pages pour déchanter et me rendre compte que le romancier ne maîtrisé pas son sujet. L'impression de le voir déballer, de manière forcée, une tonne de lieux communs sur nos amis félins. Ces clichés à la pelle lassent et alourdissent le récit.


Ensuite vient le traitement de sa protagoniste à quatre pattes à la psychologie peu travaillée, qui raisonne beaucoup trop comme un humain… et ceci dès le début de l'histoire ! Werber se plante donc sur l'essence même de son histoire et cela va empirer à mesure de son avancement, créant d'ailleurs de nombreuses incohérences. Il se rate aussi sur le contexte pre-apocalyptique avec de vagues propos et réflexions pseudo-philosophiques et politiques qui ne vont pas creuser bien loin. L'écrivain se contente là aussi du minimum.


Ce minimum se ressent aussi dans l'intrigue qui suit un chemin ultra-convenu avec une imagination proche de zéro.


Enfin, une grosse déception quant à l'écriture. Je ne peux malheureusement comparer avec aucune de ses autres oeuvres mais pour ce qui est de « Demain les chats », je retrouve un style proche d'un mauvais roman pour ado. Une écriture simplette et lourde que je n'imaginais pas venant d'un écrivain aussi réputé.


Pour conclure, en points positifs, on retiendra l'originalité du concept et quelques passages sur l'Histoire des chats (malgré quelques erreurs!). le reste empeste la paresse, le manque de passion voire le roman alimentaire. Je ne le conseille pas.
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Conte de philosophie fiction, genre littéraire que Bernard Werber a inauguré à l'aube des années 90 avec sa trilogie des Fourmis", "Demain les chats" met en scène une chatte nommée Bastet qui rencontre un un chat de laboratoire répondant au nom de Pythagore. Ensemble il vont lutter contre les rats avec l'aide de quelques humains rescapés de la peste et de guerre civile, une meute de chiens, plusieurs centaines de congénères et même un lion échappé d'un zoo pour sauver l'humanité de sa folie destructrice. Même s'il reste agréable à lire, ce roman n'a pas la profondeur de réflexion que l'on trouve dans les volumes qui mettent en vedette Chli-pou-ni, la Reine de Bel-o-kan et 103683e, la courageuse guerrière. Autre écueil que l'auteur a du mal à éviter, l'humanisation de la gente féline y est trop poussée. Mais mon amour des chats pardonne à Bernard Werber cette facilité quelques fois indigne de son talent et je lirai sans doute la suite des aventures de Bastet et Pythagore.
Pour finir, un petit aparté en lien direct cependant avec le bouquin : on oppose souvent les chiens et les chats comme l'eau et le feu, on dit même que les gens qui préfèrent les chats ont un caractère à l'opposé de ceux qui préfèrent les chiens. Il doit y avoir du vrai là dedans quand on connait le système de pensée des deux animaux de compagnie : le chien pense : les hommes me nourrissent, me protègent m'aiment, ils doivent être des dieux. le chat pense la même chose, seul l'épilogue varie : c'est lui le dieu des humains.
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Voici quelques temps que le livre de Werber autour des chats, « Demain les chats », me fait de l'oeil ! Après avoir traité avec autant d'efficacité et de talent le monde des fourmis, j'ai toujours eu envie de voir comment il allait traiter le monde de nos félins favoris. A la sortie du second tome de la saga, je me suis enfin lancé dans l'aventure. Alors, verdict ?

A l'inverse des fourmis, Werber nous offre ici un roman dont le narrateur est exclusivement un chat parisien du nom de Bastet. Un chat qui, il faut le dire, n'est pas très aimable (pour ne pas dire détestable). Alors la première moitié du livre est assez longue, voire peu passionnante. On ne retrouve pas ces petites anecdotes culturelles, si ce n'est via Pythagore, ce chat étrangement savant, qui font la renommée des livres de Werber.

Malgré tout, l'auteur parvient à nous plonger dans l'enfer terroriste. On sent que la période d'écriture y est pour beaucoup et le cauchemar se transforme vite en situation, on ne peut plus absurde. On se retrouve ainsi avec une seconde partie complétement folle où j'ai davantage retrouvé l'auteur.

Prendre le chat comme personnage principal est un sacré défi, tant le chat, par définition, n'est pas un animal qui a tendance à nous mettre en avant. D'ailleurs ici, peu de surprise et beaucoup de situations tournent autour de la situation dominant/dominé inversée.

Allez, ce ne fut pas une lecture pénible mais je l'ai dévoré beaucoup moins rapidement que les autres romans. Je me lancerai prochainement dans le nouveau tome « Sa majesté des chats » pour ne pas rester sur une faim qui met tant en appétit !
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Bastet, jeune chatte, souhaite communiquer avec les autres espèces en établissant un contact psychique. Sa cible, Sophie sa "servante. Si cette dernière est apaisée, relaxée lorsque Bastet se love dans ses bras, elle n'en comprend pas les besoins élémentaires du félin. Notamment quand Sophie allume une cigarette, ou qu'elle se retrouve enfermées sans une pièce pendant des heures.
Mais un soir, sur le balcon voisin, Bastet rencontre Pythagore , ce qui va changer la donne. Chat cobaye, celui grâce à une manipulation, s'est vu implanter sur le crâne un port usb. Il peut apprendre l'histoire, avoir accès à la connaissance, mais il ne peut pas communiquer avec les humains.
Pendant que le monde s'écroule, Bastet poursuit son enseignement auprès de Pythagore, quitte à devenir une chatte philosophe. Mais tout ceci n'a qu'un temps, car le sort de l'humanité est en jeu;
Ici Bernard Werber nous adresse une sorte de conte philosophique, où la "leçon" nous est donnée par des chats.
C'est également une source de connaissances sur l'histoire des chats et leur comportement.
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Depuis ma lecture de la trilogie " les fourmis ", toutes mes lectures de Bernard werber m'ont parues fades, sans substance. J'en suis même à ne plus écraser les fourmies (petit aparté ;) ).
La déception que je ressens vis à vis de ce livre "demain les chats" est peut-être le fait d'une attente d'une certaine approche du sujet non assouvie.
Certes, il met en évidence certains comportement de notre société, parfois incompréhensible, mais le regard porté par les 2 protagonistes de cette histoire : pythagore et Bastet est trop " humain ".
Seule chose intéressante, à mon sens, est la mise en évidence de l'émergence d'un nouveau mode de pensé : "On pense quantique"
Finalement, n'ai-je pas été trop naïve de penser que les Hommes pouvaient savoir ce que les chats pensent ?!

Ce n'est pas un livre que je conseillerais mais rien de mieux que de se faire sa propre opinion.

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Bernard Werber me déçoit malheureusement de plus en plus. Il était mon auteur préféré d'adolescente avec les fourmis et les Thanatonautes. La magie a disparue. L'auteur est moraliste et nous livre une histoire aseptisée sur l'histoire des chats depuis l'Antiquité. Je ne pense pas être une lectrice difficile à satisfaire mais j'ai vraiment détesté ce livre. J'espère de tout cœur que l'auteur va trouver le courage de prendre le temps d'écrire de bons romans quitte à en publier un tous les dix ans comme George R. R. Martin
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demain les chats .

Avec quel autre animal Bastet essaye-t-elle de communiquer en premier au tout debut du livre sans succès ?

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