Vous l'attendiez, le rendez-vous du vendredi : Conversation dans le noir #5 - Samouraï et tatami. Dans cet épisode, Charles Haquet nous emmène avec lui au pays du Soleil levant. On parle voyage, art ancestral du judo et évidemment toujours de littérature. Une invitation à l'évasion et à l'aventure, qui on l'espère vous plaira !
Bonne écoute
Oeuvres citées :
Le Pavillon d'or - Yukio Mishima
Dans l'oeil de Jaya - Jean Ely Chab
Cette chose étrange en moi - Orhan Pamuk
La cantine de minuit - Yaro Abe
CREDITS : Conversation dans le noir est un podcast des editions du Masque.
Realisation : Paul Sanfourche.
Generique : Longing - Joachim Karud.
Abe YaroLa cantine de minuit tome 12 sur 15
Miyako Slocombe (Traducteur)/5 20 notes
Miyako Slocombe (Traducteur)/5 20 notes
Résumé :
« Mon restaurant est ouvert de minuit à sept heures du matin environ. On le surnomme "la cantine de minuit", mais pour certains c'est plutôt "la cantine de l'aube" ».
Dans cette petite gargote situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vo... >Voir plus
Dans cette petite gargote situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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Douzième tome de cette série qui nous emmène au Japon dans un tout petit restaurant qui sert de minuit à sept heures du matin.
Ce volume se passe durant la crise du Covid, avec toutes ces histoires de distanciation sociale, de port du masque et de confinement.
Les personnages sont attachants et on ressent bien la solitude de ces personnes qui vivent souvent seules, et pour eux ce petit restaurant est une véritable bulle d'oxygène car plus qu'un repas, il leur offre un moment de chaleur humaine pendant cette période difficile.
Ce volume se passe durant la crise du Covid, avec toutes ces histoires de distanciation sociale, de port du masque et de confinement.
Les personnages sont attachants et on ressent bien la solitude de ces personnes qui vivent souvent seules, et pour eux ce petit restaurant est une véritable bulle d'oxygène car plus qu'un repas, il leur offre un moment de chaleur humaine pendant cette période difficile.
Je ne me lasse pas de cette série. J'ai trouvé ce 12ème tome particulièrement touchant, peut-être car il touche la crise sanitaire du covid... de temps en temps ça fait du bien de se réfugier chez le patron pour manger, boire un coup et surtout voir des visages familiaux.
C'est toujours un petit plaisir de lire un tome de la Cantine de Minuit. Celui-ci reprend la période Covid, le patron devant s'adapter aux règles mises en place pour contenir l'épidémie. Il disparaît également à un moment, laissant les habitués inquiets. On découvre de nouvelles histoires drôles, tristes ou émouvantes, de nouveaux plats surprenants et délicieux : un petit régal.
Citations et extraits (2)
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- Que ce soit 7 ou 8, on s'en fiche, non ? Vous ne jouez pas loto... Allez, mangez ce plat et reconciliez-vous !
Et voilà votre happôsai.
-Mais oui ! Patron, on peut avoir des petites assiettes ?
- ...
- Il a raison. Mangeons tant que c'est chaud.
- ...
Après ça, Moriboshi à complètement arrêté... D'être obsédé par le chiffre 7. Et ce n'est pas plus mal...
Et voilà votre happôsai.
-Mais oui ! Patron, on peut avoir des petites assiettes ?
- ...
- Il a raison. Mangeons tant que c'est chaud.
- ...
Après ça, Moriboshi à complètement arrêté... D'être obsédé par le chiffre 7. Et ce n'est pas plus mal...
- La femme de Furuya est venue se plaindre, mais elle s'est trompée de jour.
- C'est pas sympa de te traiter de voleuse.
- Oui, alors que je n'ai aucune intention de lui voler son mari ! Je l'ai juste emprunté.
- Quoi ?!
- C'est pas sympa de te traiter de voleuse.
- Oui, alors que je n'ai aucune intention de lui voler son mari ! Je l'ai juste emprunté.
- Quoi ?!
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