Cette fois-ci, le pouvoir étant en quelque sorte vacant du fait du très jeune âge de la shogun, les complots de l'intendant du pavillon d'un côté et surtout du veuf de la précédente shogun prennent une tout autre ampleur pour donner chacun la place à sa favorite. Il y a encore une fois ce qu'il faut d'action et de méchants sournois qu'on aurait bien envie de gifler.
On ferme la parenthèse du retour en arrière ouverte au premier tome et retrouvons la nouvelle shogun au caractère bien trempé et à la fibre aussi bien économique que politique, fort précieuse étant donné l'état assez calamiteux du pays. J'ai trouvé les quelques pages qui lui sont dédiées intéressantes et rafraîchissantes par rapport aux scénarios un peu redondants des précédents tomes. Dommage pour moi, la bibliothèque n'a pas poursuivi la série donc je vais devoir m'arrêter là, sans savoir si ce vent de fraicheur se poursuit.
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