L'histoire se passe dans la cathédrale médiévale de Reims .Mathieu un ouvrier couvreur manque de tomber, suite à l'accident Mathieu à d'étrange hallucination. Avec Marcias ils pensent tout deux détenir un secret concernant la cathédrale.
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Mathieu, un couvreur, doit travailler sur le toit de la cathédrale de Reims. Lorsqu'il manque de tomber, il se rattrape à un objet planté dans la structure de la cathédrale. A la suite de cet incident, il est victime d'étranges hallucinations, où il suit Macias, un tailleur de pierre lors de la construction de la cathédrale. Macias semble détenir un secret que Mathieu désire alors découvrir...
Je n'ai pas tellement aimé cette histoire car je n'ai pas accroché au style de l'auteur, je ne suis pas rentrée dedans. J'ai fini le livre sans réelle envie de connaître la fin. Dommage pourtant, car le scénario était prometteur, mais l'auteur n'a pas réussi à me faire aimer les personnages et j'ai trouvé, au final, qu'il n'y avait aucun suspense !
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Moi qui aime l'histoire médiévale même l'histoire en générale ce livre. On rentre dans les origines de la cathédrale de Reins.
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Reims, sa cathédrale, le sacre des rois, la gastronomie ..... mais ce polar donne la place belle à l'architecture à travers le temps, on suit le protagoniste comme lors du compagnonnage des ouvriers du bâtiment jusqu'au dénouement final se passant de nos jours.
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Croyant ou non-croyant, le respect des lieux saints est inscrit dans nos gènes. Vieille réminiscence d'un ordre social et naturel, lié au religieux. Encore qu'aujourd'hui, on n'ait plus peur de dieu. Il y a bien longtemps qu'il ne nous a pas envoyé la foudre, la peste ou l'Inquisition! Mais une fois passées les premières secondes de révérence à l'égard du sacré, tous les instincts refluent. On peut les observer. Il y a ceux qui y croient. Ceux qui y croient un peu - on ne sait jamais! Ceux qui n'y croient pas. Et ceux qui ostensiblement - et ils le montrent- n'en ont vraiment rien à foutre...
Mais la vérité est double. Il y a celle qu’on veut bien dire et celle qu’on veut bien entendre. Le menteur détient pour lui la vérité, s’il a pour lui le nombre, la force ou s’il se trouve à la croisée d’intérêts partagés...
À partir de là, nous n’avons plus échangé un mot, campés sur nos « ego », ruminant, chacun dans son coin, des sentiments qui n’en finissaient pas de se croiser, de s’éviter, de s’entrechoquer. Sans jamais parvenir à s’apaiser, à se rencontrer... à s’entrelacer.
Nous avions tellement cherché le contact, sans vouloir céder un arpent de nous-mêmes, que notre histoire aurait pu se terminer aussi bien par un adieu, dans un sursaut d’orgueil! Amers et dépités, nous aurions quitté la scène. L’amour est un combat qu’il faut savoir livrer. Parfois avec soi-même...
Le vent plaquait ses cheveux sur son visage. Elle était encore plus jolie, embroussaillée. Et plus séduisante défaite que parfaite.