L'art de la tricherie porté à son sommet par l'élève Ducobu face au redouble instituteur Monsieur Latouche.



Quelle débauche d'énergie pour tricher au lieu de l'utiliser pour apprendre et comprendre ! Ducobu se révèle être très ingénieux et cherche par tous les moyens d'abuser de sa voisine, la brillante Léonie Gratin. Il se montre même brillant mais ses stratagèmes ne vont pas toujours au bout, il est parfois dépassé par sa malice.



Comme souvent la majorité des gags est traitée en une planche. Certains gags sont développés sur plusieurs pages mais, à mon avis, ce ne sont pas les meilleurs.



Monsieur Latouche a une belle part comme Léonie et Néness le squelette.



Cela se laisse lire sans effort et on peut largement sourire. On peut aussi s'étonner de la diversité des productions en scénarios de Zidrou et de sa capacité à passer de la série Ducobu à celle de Shi. Cela demande une certaine créativité et une plasticité intellectuelle indéniable.

Revoici notre cher cancre Ducobu ! En vert, je ne sais pas, mais contre tous, c'est certain, rien ni personne ne peut repêcher notre héros.

Je connaissais les films mais pas trop les BD de Ducobu.

Du coup, la lecture du livre m'a surprise, l'action est bien présente, certes, mais elle est moins pétillante, à mon humble avis que dans les films qui m'ont fait beaucoup plus rire.

Le film donne de la chair à la BD, les comédiens extra et Elie Semoun n'y sont pas pour rien. Je constate que le film est une adaptation assez libre et édulcorée de la BD.



La BD n'est pas mauvaise, mais elle me parait un peu comme une pièce de théâtre à incarner pour lui donner le peps qu'elle mérite.

Les vignettes, assez linéaires, et quelques peu répétitives montrent les personnages principaux en gros plan, Ducobu et son acolyte forcée, souvent, c'est un peu lassant.



La dictée, on est d'accord avec Ducobu, est une sorte de harcèlement scolaire venue d'un professeur obsédé par le texte et l'exercice, il s'agit de la même dictée tous les jours .

On comprend ce pauvre Ducobu qui dénonce les faits, à juste titre. L'élève qui n'arrive pas à percer malgré tous ses efforts pour trouver des triches toutes plus ingénieuses les unes que les autres, qui est le génie au fait, la première de la classe ou le petit inventeur, qui sait ?



La BD est un peu à l'image de ce qu'elle semble vouloir montrer, la psychorigidité du système scolaire, le statu quo, le rejet, contre la créativité, avec la touche d'humour en plus, bien sûr, et le comique de situation permis par les facéties de Ducobu et le professeur fou, tous deux caricaturés y compris la première de la classe et son obsession pour l'étude et uniquement l'étude pour n'évoquer que les personnages principaux, le reste des protagonistes n'est guère plus reluisant sous la plume de Zidrou et son illustrateur .



Pour les amateurs du genre.

Ducobu, En vert et contre tous ! nous fait passer de bons moments en proposant toujours gags préférés, de la dictée en passant par les copies d’interro sans vergognes de Ducobu, mais une légère lassitude pourrait nous faire avoir envie d’un petit changement dans l’univers peut-être un peu trop répétitif proposé pour le plus célèbre des cancres et ses petits camarades.
Lien : https://lesamisdelabd.com/en..

Dans "pas vu, pas pris", les auteurs nous permettent de retrouver les deux héros, Ducobu et Léonie Gratin, dès la maternité et nous découvrons que dès la maternité, le nourrisson Ducobu cherchait à s'inspirer de Léonie, jusqu'à échanger les bulletins de santé !



Ce potache de Ducobu dépense toute son énergie, non pour apprendre, mais pour tricher et tirer avantage de sa place à côté de Léonie, la première de la classe. Il ne manque pas d'ingéniosité.



Zidrou et Godi mettent en jeu leurs personnages favoris : Ducobu, le cancre, Léonie, la première de la classe, Monsieur Latouche, instituteur intraitable, Néness, squelettique de son état et compagnon de coin de Ducobu et parfois le père de Ducobu et la mère de Léonie, Madame Gratin.



Notre cher Ducobu a parfois des remarques pleines de bon sens, il a même parfois des propos poétiques. Il arrive à faire perdre son flegme à Monsieur Latouche et à le déstabiliser avec sa logique parfois fracassante.



Les auteurs utilisent toutes les caricatures ou les images d'Épinal que l'on peut avoir de l'école communale. Ils reprennent beaucoup de clichés, en s'appuyant sûrement sur leur passé d'élèves. On retrouve un peu l'univers de Jean-Charles avec ses perles de cancre.



Le graphisme est simple mais pas simpliste. Le principe des gags en une ou deux pages fonctionne bien, ce qui donne une lecture agréable qui fait rire les plus jeunes mais aussi sourire les plus anciens.

958 gags que Ducobu n'a pas eu le temps d'étudier ! C'en est fini pour Léonie qui estime que toute absence de travail mérite misère ! Le cancre de l'école de Saint-Potache ne sait plus quoi faire, la solution viendra-y-elle de monsieur Kitrish ? En effet, Il aurait trouvé l'arme absolue afin que Ducobu ramène enfin un point au cours de l'année scolaire. Enfin.. à voir car la réforme scolaire promet bien des surprises aux élèves ! 





Ce 28è scénarisé par Zidrou, imagé par Godi et mis en couleur par sa fille Laure est de nouveau hilarant. Les gags se renouvellent sans cesse car le scénariste déploie des trésors d'ingéniosité pour que Ducobu puisse continuer à nous faire sourire. Comme à chaque album, un nouveau personnage fait son apparition. Cette fois-ci, c'est un peintre en bâtiment qui va en faire voir de toutes les couleurs au professeur Latouche. Enfin, à l'occasion de la sortie du film qui porte le même titre que cet album “En vert et contre tous !” est joint un dossier avec quelques photos des acteurs, des dessins inédits ainsi que des informations humoristes sur le thème qui sera évoqué. 

0️⃣ Tome 3 des aventures du jeune écolier au pull rayé jaune et noir, à la collection de 0/10 et de bonnet d'âne, que je lis en compagnie de mon petit garçon qui, heureusement pour lui et moi, n’accumule pas les notes de Ducobu.



0️⃣ L’avantage avec les aventures de Ducobu, c’est qu’on peut les lire dans le désordre, on ne s’y perd pas. Ducobu triche, Léonie aime l’école et accumuler les 10/10. Néness et un très bon soutien de coin de Ducobu et Latouche peut crier très fort lorsqu’il n’en peut plus.

Par exemple, lorsqu’il fait venir un plombier, James Bonde (fallait y penser !) pour installer un lavabo dans un angle et qu’il reçoit la facture finale avec installation de jacuzzi. Ben oui, l’angle est privatisé par Ducobu et Néness. C’est un coin 3 étoiles seulement pour moi.



0️⃣ L'imagination de Ducobu est sans limite et il vaut mieux vu le nombre d'albums qui vont suivre. Par contre, je trouve que pour nous, qui lisons ces aventures depuis un moment, ça finit par être redondant !

Suivant ou pas, l’avenir nous le dira.

Comment se retrouve-t'on à lire une Bd relative aux exploits de l'élève Ducobu ? Parce que l'on participe à un challenge BD et que l'on doit trouver une BD où le personnage principal va à l’école ! Alors va pour Ducobu.



Le principe est le suivant (en majorité) : une page, un gag. La temporalité va des vacances d'été aux vacances d'été. Les héros principaux sont Ducobu, sa voisine Léonie Gratin, l'instituteur M.Latouche. On trouve aussi des personnages secondaires qui apparaissent de temps en temps : le père de Ducobu et Ernest, le squelette.



Ce brave Ducobu est un cancre fini qui cherche à tricher en copiant, plutôt qu'en apprenant. Il est attendrissant car l'énergie dépensait pour copier lui servirait grandement pour progresser par lui-même. Léonie est une vraie chipie, prototype de la bonne élève, qui peut se montrer hostile au mauvais élève mais qui cache, en vérité, un grand cœur.



C'est bon enfant, un peu connoté dans le temps (la première édition date de 1998). le comportement des élèves, ici, rappelle ceux des écoliers des années soixante. Les élèves d'aujourd’hui ont des moyens plus modernes pour apprendre mais aussi pour tricher.



Le graphisme est simple, rappelle celui des "Femmes en blanc". Peu de détails dans les cases, des grandes touches de couleur. Tous les gags ne sont pas du même niveau. La lecture reste cependant agréable et ou procurer une récréation au milieu d'autres ouvrages. Zidrou, qui produit beaucoup, a heureusement scénarisé des BD beaucoup plus intéressante.