AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Henri Troyat (884)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Tant que la terre durera, tome 5 : Le sac e..

j'aime bien l'auteur
Commenter  J’apprécie          00
Aliocha

Un magnifique roman sur l'amitié, l'immigration, et le respect de ses origines qui, au-delà de captiver le lecteur, l'emmène dans un monde parallèle où l'amitié qui lie deux personnages est plus forte que tout. Je le recommande fortement pour sa rapidité de lecture, sa belle fin et son intrigue qui nous envoûte du début à la fin !

Très bon livre.
Commenter  J’apprécie          00
Marina Tsvetaeva : L'éternelle insurgée

Quelle descente aux enfers que cette biographie.

La poetesse Tsvetaeva brûle et se consume depuis petite.

Génie au caractère entier et passionné son itinéraire est un long chemin vers elle même qui se finit au bout d'une corde en l'absence de son fils et de ses voisins.

On se surprend à penser que c'était sans doute la seule issue quand on est confronté à ces propres démons et à ceux d'une époque mortifère.

On découvre grâce à mrTroyat qui nous embarque comme dans chaque biographie dans une époque et tout ce qui fait celle ci : personnalités...

On découvre donc une multitude d'écrivains et la communauté russe à Paris. Des noms oubliés ou à redécouvrir.

On découvre aussi des poèmes hallucinants de modernité et de puissance.

Comme si elle tirait d'elle même la lumière et la violence de ces écrits.

Poétesse à plein temps on peut dire que Tsvetaeva était possédée par l'écriture et sans concession pour elle même et les autres.

Absolue et attachante comme peu d'écrivain cette biographie est à découvrir si on ne connait pas ou peu cette artiste;
Commenter  J’apprécie          00
Tant que la terre durera, tome 3

Ce troisième tome est principalement consacré à Vladimir Bourine et bien sûr Tania. On suit l'histoire avec autant d'intérêt que les deux premiers tomes, on s'attache aux personnages... Toujours aussi bien écrit.
Commenter  J’apprécie          00
Anne Prédaille

bien
Commenter  J’apprécie          00
Le Bruit solitaire du coeur

je crois un des plus beaux romans de henri troyat ,tout ses romans reflètent une vérité ,une écriture qui prends ,on vis a travers ses écrits cette vie ,il n y a pas de mots assez forts et puissants pour décrire les émotions ressenties ,,
Commenter  J’apprécie          00
La lumière des justes, tome 2 : La Barynia

toute la série est un souvenir ,une saga d'un pan de vie ,d'une époque ...
Commenter  J’apprécie          00
Le geste d'Eve

Tout simple, mais j'ai adoré.
Commenter  J’apprécie          00
L'étage des bouffons

J'ai emprunté ce livre car il s'agissait d'un livre de Troyat et que la quatrième de couverture m'avait appâtée. mais quelle déception. c'est un roman très court surr la vie d'un nain engagé comme bouffon auprès de la tsarine. j'ai trouvé que l'histoire n'avait pas été suffisamment fouillée et manquait de rythme.
Commenter  J’apprécie          01
Terribles tsarines

Je suis tombé sur ce livre à la bibliothèque la dernière fois. Le résumé me plaisait mais c'est surtout l'auteur qui me plaisait. C'est un auteur que. Je l'ai lu certains de ses livres dans des registres différents mais là c'était la première fois dans ce registre là. A certains moments, j'ai décroché mais j'ai vite raccroché grâce à la plume sublime de l'auteur. Il m'a donné envie d'en apprendre plus sur ces trois tsarines.
Lien : http://leschroniquesdemilie...
Commenter  J’apprécie          00
Nicolas II, le dernier tsar

Je m'intéresse beaucoup à cette dynastie russe. J'ai appris beaucoup de choses notamment la triste fin de cette famille impériale. J'ai appris comment ce tsar a amené le pays a se révolter. Le seul inconvénient est la difficulté à lire cette biographie est très intense en informations mais on en retient l'essentiel.
Lien : http://leschroniquesdemilie...
Commenter  J’apprécie          00
Les semailles et les moissons, tome 1

j'étais jeune ado quand j'ai lu toute cette saga... je les ai dévoré !! j'en ai un souvenir extra !!!! de vrais destins de femmes qui vivent, se battent, aiment....
Commenter  J’apprécie          00
Aliocha

Je me laissais emporter dans ce deux pièces, prise avec le narrateur dans les états d'âme de ce jeune garçon à la culture, à l'héritage ambivalent, tailladé entre son désir d'être Français et le souhait de ses parents de le voir Russe.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Commenter  J’apprécie          00
Le geste d'Eve

J'ai beauocup apprécié ces 7 petites nouvelles un peu fantastiques, mais qui nous parlent à tous. Elles sont très jolies.
Commenter  J’apprécie          00
Le fils du satrape

Ce récit paru en 1998 raconte l'amitié entre le jeune Léon Tarasoff qui est loin d'être le futur Henri Troyat, et Nikita, un immigré plus aisé, Russe comme lui. De par leurs liens tissés autour du passé de la Russie et de leur jeunesse, ils se décident à écrire un roman ensemble, dont le titre, choisi en prenant un mot au hasard dans le dictionnaire, est "Le fils du satrape".

Les deux écrivains en herbe font lire leur oeuvre à leur entourage respectif. On ne les encourage guère.

Au fil des ans, les deux amis se perdront de vue sans renoncer à leur amour de la littérature. Léon, devenu Henri Troyat, reverra la veuve de son ami Nikita. Elle lui remet le manuscrit commun de leur jeunesse. Après l'avoir relu, il le jugera sans intérêt, et procédera à un autodafé volontaire. Au-delà du récit de jeunesse, l'auteur propose une réflexion sur la création littéraire et la tentation qu'a l'auteur de s'auto-censurer.
Commenter  J’apprécie          00
Namouna ou la chaleur animale

Dans ce roman publié en 1999, on découvre un personnage typique des oeuvres de cet auteur. Henri Troyat nous présente le personnage de Jérôme Petitberthier. Ce héros nonchalant est marié avec la belle Alix et suite à un concours de circonstances, ils deviennent éleveurs de petits lévriers italiens. Jérôme, comme la majorité des personnages d'Henri Troyat est quelqu'un qui ne connaît pas et n'a jamais connu de problèmes sur le plan matériel. Faut-il y voir un reflet de la propre vie de l'auteur ? Certes, il y a peut-être des échos de sa vie personnelle, mais là n'est pas le plus important. Les lévriers deviennent d'abord ce qui unit le couple, puis va causer une séparation provisoire. Leur existence va à nouveau être le ciment de leur couple. Ils sont symboliquement les enfants qu'ils ne désirent pas avoir. Jérôme finit par comprendre que ce qu'il rejetait chez sa femme est devenu ce qui la rend séduisante à ses yeux.
Commenter  J’apprécie          00
Le fils du satrape

Autobiographie d'Henri Troyat. Lettre T de mon Challenge ABC critiques Babelio.



La famille Tarassof a fui la Russie bolchévique. Les parents, le jeune Léon, ses aînés Alexandre et Olga, la grand-mère et la gouvernante française arrivent en France. "Nous arrivions, à bout de souffle et d'argent, de la lointaine Russie, après un exode périlleux qui nous avait promenés en zigzag à travers le pays déchiré par la révolution bolchévique. [...] Il fallait fuir, passer à l'étranger, perdre sa patrie pour sauver sa peau." (pp. 7 et 8) À Paris, la famille Tarassof vit chichement, bien loin du faste de sa vie bourgeoise en Russie. "Maman avait raison: il fallait se restreindre sur tout quand on avait choisi de vivre à la française." (p. 37) Il retrouve le jeune Nikita Voïevodoff, rencontré sur le bateau qui les emmenaient tous loin de la Russie. Les jeunes garçons décident d'écrire un roman d'aventure, intitulé Le fils du satrape, d'après des principes idéalistes: "Si tu veux intéresser, il faut mentir." (p. 45) ou "Tant qu'une histoire est rêvée, pensais-je, on a le droit de la prendre pour un chef-d'oeuvre. C'est en l'écrivant qu'on risque de la gâcher." (p. 59) L'écriture de ce roman fait ressurgir des souvenirs de la fuite, certains nourrissent la jeune histoire des deux amis. Léon grandit et devient plus qu'un émigré russe, il devient français, jusqu'à sa demande de naturalisation, jusqu'à la reconnaissance de son talent d'écrivain et son changement de nom. Léon Tarassof devient Henri Troyat quand Plon accepte de publier son premier roman Faux-jour. "Le titre était de moi, le texte était de moi, mais l'auteur était certainement quelqu'un d'autre. Son nom - Henri Troyat - ne me disait rien. En me faisant naturaliser, j'avais fait naturaliser mon livre. Sous cette identité d'emprunt, il ne m'appartenait plus. Il était l'oeuvre de n'importe qui." (p. 136) Henri Troyat relate avec tendresse et nostalgie sa vie d'exilé, d'enfant et ses débuts d'écrivain.



Le fils du satrape, c'est un roman d'adolescent à jamais inachevé, parce qu'entrepris avec trop légèreté et parce que la vie a pris soin de séparer les amis en dépit de leur pacte d'écriture. Le satrape, c'est un "dignitaire qui, dans l'ancienne Perse, exerçait une autorité despotique sur une province." (p. 46) Le fils du satrape, c'est surtout Henri Troyat, malmené par l'Histoire, chassé de Russie et accueilli par la France, mais ni vraiment russe ni jamais complètement français.



Henri Troyat parle de son père avec beaucoup de tendresse. Il se rappelle les illusions de celui-ci et ses rêves de retour en Russie, ses ambitions bafouées d'homme valeureux. Il mesure aussi la fracture qui s'opère entre eux. Alors qu'il prend son envol vers une autre réalité et une autre patrie, son père s'accroche à ses souvenirs et à ses regrets. "Pendant qu'il relisait ces papiers qui n'étaient plus que des trompe-l'oeil, il se donnait l'illusion de prendre, pour quelques heures, une juste revanche. C'était sa façon à lui de jouer au Fils du satrape. Je le trouvais ridicule dans son entêtement à remuer ce tas de feuilles mortes et, en même temps, j'avais envie de l'embrasser pour lui demander pardon d'être jeune et de ne pas souffrir autant que lui d'avoir perdu ma patrie. Entre maman qui tirait l'aiguille [...], et papa qui additionnait infatigablement des roubles de fumée et des certificats factices, je me sentais doublement en exil. Séparé de mon pays d'origine, je l'étais aussi de la réalité. Je flottais entre deux univers." (p. 67)



Dans cette courte autobiographie, on découvre la naissance de la passion d'écrire qui a animé très tôt le jeune Léon. La découverte des auteurs français et la lecture des grands génies de la littérature russe font bouillonner en lui le besoin d'écrire. Son changement de nom, pour des raisons commerciales, est vécu comme un affront faits aux écrivains russes qui ne percent pas en France. Tout en pudeur, il exprime ses aspirations d'écrivain et ses débuts timorés.



Henri Troyat est connu pour être un biographe prolixe. En lisant son autobiographie, je craignais qu'il n'use des mêmes ficelles que celles employées dans ses récits biographiques. Mais il évite l'écueil et j'ai retrouvé ici la fine plume de l'auteur qui m'a conquise avec son recueil Le geste d'Eve et son roman L'araigne.
Lien : http://lililectrice.canalblo..
Commenter  J’apprécie          00
Etrangers sur la terre, tome 1

Saga de "Tant que la terre durera" tome 7
Commenter  J’apprécie          00
Etrangers sur la terre, tome 1

Saga de "Tant que la terre durera" tome 6
Commenter  J’apprécie          00
Tant que la terre durera, tome 5 : Le sac e..

Saga de "Tant que la terre durera" tome 5
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Henri Troyat Voir plus

Quiz Voir plus

Henri Troyat

Né Lev Aslanovitch Tarassov en ...

1891
1901
1911
1921

12 questions
80 lecteurs ont répondu
Thème : Henri TroyatCréer un quiz sur cet auteur

{* *}