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Critiques de Herbjørg Wassmo (461)
Un verre de lait, s'il vous plaît

Un roman très difficile qui raconte la prostitution. Dorte est une jeune fille de seize ans, lituanienne, qui vit avec sa soeur et sa mère veuve, dans un tout petit village, à la campagne. Un peu de naïveté et une grande envie de s'en sortir la pousse, à accepter, un soi disant travail de serveuse en Suède. La voilà embarqué dans les méandres de la prostitution, de souffrances, de misère et d'enfermement. Le roman raconte cette nouvelle vie violente, entrecoupé de ses souvenirs d'enfance.
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Cent ans

non terminé.

pas aimé
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Fils de la providence, tome 1

Benjamin est le nouveau narrateur. On ne sait pas combien de temps a passé depuis la trilogie précédente mais la narration est étrange. Je me suis trop habituée à la façon de parler de Dina ! Mais qu'est-elle devenue ? Et la fin de dernier tome est un tel suspence ! Là on a d'abord aucune réponse ! Mais on se prend tout de même au fil de l'histoire et au conteur qu'est devenu Benjamin.
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Un verre de lait, s'il vous plaît

Un roman dérangeant mais j'ai trouvé que le personnage de Dorte manquait d"épaisseur. On suit tout ce qui lui arrive mais on ne sait pas ce qu'elle pense et ressent.
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Le Livre de Dina, tome 3 : Mon bien aimé est ..

belle découverte... une Dina exceptionnelle...des personnages bien trempés...

J'ai beaucoup aime
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Le Livre de Dina

je ne rêve plus que d'une chose, c'est partir sur les îles lofoten

lisez le livre de Dina, vous ne le regretterez pas, passionnant, personnages troublés, touchants. et ne vous fiez pas au film qui en a été tiré, le livre est au dessus, et largement
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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

voilà un bon livre qui combine à la fois une histoire passionnate et un style recherché. On s'accroche à ce personnage dès la 1ère page et lorsque l'on arrive à la fin, on reste avec un gros suspens... il ne me reste qu'à me précipiter sur le tome 2!
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La fugitive

Écrivain, Sanne vit seule à Oslo. Elle a une liaison avec Frank, un antiquaire marié. Un jour, elle retrouve, par hasard, Frida, ex-pensionnaire de l’orphelinat où la jeune femme a grandi. Celle-ci la pousse à quitter sa vie morne pour traverser l’Europe avec elle…

Le résumé de l’histoire me paraissait plutôt tentant : exploration de la vie d’une auteure norvégienne, voyage… Mais ma deuxième rencontre avec Herbjørg Wassmo (après "La Septième Rencontre") a été une déception. Si tous ces thèmes sont en effet bien présents, ils sont en effet traités d’une manière qui m’a semblé très plate. De plus, les personnages n’ont guère de chair (on n’en sait pas grand-chose de plus à la fin qu’au début, même si le personnage du « Hanneton » est un peu plus intéressant), ce qui fait qu’ils m’ont laissée complètement indifférente. Je n’ai jamais réussi à rentrer véritablement dans le roman, même si j’ai apprécié les (trop rares) passages en italique, qui semble être des souvenirs de Sanne ou des extraits de ce qu’elle écrit. Ce texte m’a donc laissée sur la faim.

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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

Sombre mais envoûtant ! Outre l'extravagance de Dina que l'on peut ne pas aimer, une belle peinture de la bourgeoisie norvégienne au 19e siècle.
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Ciel cruel

Ce dernier volet commence juste là où se termine le tome 2.

Le schéma exposé pour le tome 2 se reproduit ici: on croit que Tora va s'en sortir. C'est bien plus clair que dans le tome 2, car elle parvient à vivre normalement, à laisser un homme l'aimer, à affronter le péril, à parler à sa mère (même si elle ne dit pas tout), à extérioriser. Après avoir fait preuve d'une immense force de caractère, et tout affronté seule, elle se montre encore forte pour dire le mal qu'on lui a fait, et pour se révolter plus précisément qu'avant. Il lui a fallu l'aide de Rakel, aide qu'elle a fini par accepter. Elle ose même demander à Ingrid des précisions sur son père. Et elle ose s'avouer que sa mère n'a pas été une bonne mère, et qu'elle ne lui porte aucune affection.

Seulement, quelque chose se passe, quelque chose qui fait que le fragile équilibre de Tora est menacé.



L'histoire est réaliste, pleine de moments sombres, mais également traversée d'éclairs de bonheur. Certains personnages, outre Tora, évoluent de manière positive, comme Ingrid, même si son évolution est infime.

[...]

Lire la suite sur:
Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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La septième rencontre

On peine un peu, au début, à entrer dans ce livre. Il s’ouvre par cette fameuse septième rencontre. Celle de la dernière chance pour nos deux héros. Mais comme on n’a aucun recul sur leur histoire pour l’instant, on est un peu perplexe devant ce qui se joue. On a du mal à comprendre. Surtout que sans crier gare, l’auteur enchaîne par l’enfance de Rut. Et c’est à partir de ce deuxième chapitre qu’on va finalement se laisser porter tout doucement par l’histoire.



Rut, fille d’un prédicateur qui n’en a que le nom et d’une mère soumise, subit depuis sa plus tendre enfance le poids des responsabilités. Responsabilité d’un frère jumeau qui, privé quelques secondes d’oxygène à la naissance, nait avec une déficience mentale. Sur leur petite île, loin de la civilisation, elle est son guide, sa confidente, la seule qui le comprenne et puisse l’aider à avancer dans la vie. Mais comment dans ce cas, réaliser son rêve à elle, faire des études et peindre ? Elle n’a qu’une envie c’est de partir, fuir cette île qui l’étouffe et où sa vie est déjà toute tracée.



Gorm lui vient d’un milieu aisé. Son père est propriétaire d’un des plus grands magasins de la ville, sur le continent. Seul fils de la famille, petit protégé d’une mère hypocondriaque, délaissé par un père taciturne qui ne lui parle jamais, on attend tout de même de lui qu’il reprenne le magasin familial. Gorm suit la voie toute tracé pour lui, par défaut. Jusqu’au jour où il décide de tout plaquer, de vivre sa vie.



En alternant chapitre après chapitre l’histoire de Rut et celle de Gorm, on va les voir grandir, évoluer, souffrir, se révolter, s’apaiser et se rencontrer au fil de leur vie. C’est une histoire d’amour qui se joue, mais il y a aussi en tram de fond la Norvège, ses paysages, ses habitants, ses coutumes. Il y a aussi des luttes pour sortir des carcans imposés par le sexe, la culture, son origine.



On a commencé sur la septième rencontre, on finit sur cette septième rencontre, celle qui devrait peut-être changer leur vie. Un roman où on se retrouve assez vite emporté par l’histoire, même si on ne comprend pas toujours les choix des protagonistes. Un roman qui reste néanmoins un peu en dessous de Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil de Haruki Murakami qui aborde plus ou moins les mêmes thèmes et que l’on retrouvera très vite sur ce blog.
Lien : http://www.tulisquoi.net/la-..
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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

Une merveille, un bijou, une saga où les personnages nous enveloppent sans que nous ne puissions les quitter. Une approche également psychologique de la notion de transmission de génération en génération, sans que la description en soit trop lourde, permettant ainsi au lecteur de s'intéresser à la suite, notamment "Le fils de la providence" et enfin l'histoire de la petite fille (le livre de Dina étant à mon avis le meilleur). amandine
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Le testament de Dina

Dina a péri dans l'incendie qui a ravagé la grande maison de Reinsnes. À ses funérailles et à sa demande, sa petite fille Karna a révélé ses crimes. Depuis, la jeune fille s'est murée dans le silence et ses crises d'épilepsie et de rage ne cessent de gagner en intensité. « Elle se voit comme le témoin de ce qui ne peut être dit. » (p.292) Pour tenter de soigner l'enfant, mais aussi pour se libérer d'un mariage où l'amour a trop souffert, Anna part avec Karna à Copenhague. Dans la capitale danoise, l'adolescente est enfermée dans un asile où personne ne sait comment la soigner. « Parfois, elle n'était pas sûre que cet endroit d'où elle venait existât réellement. Peut-être était-ce juste un rêve qu'elle avait fait et qui, depuis, la poursuivait. En réalité, ses pensées étaient sa vraie maison. Et elles, elle les emportait partout où elle allait. » (p. 87) Confrontée à la laideur de l'âme humaine et à la mesquinerie du monde adulte, Karna ne veut plus grandir. Toujours visitée par les fantômes du passé et de Reinsnes, elle finit cependant par s'ouvrir au chef de clinique, Joakim Klim. De son côté, Peder Olaisen continue de l'aimer passionnément. Ses études achevées, il reprend les chantiers de la famille Gronelv et il poursuit deux objectifs : que son frère paye enfin pour les souffrances qu'il fait endurer à ses femmes et retrouver Karna pour toujours. « Elle lui était aussi indispensable. Tout en elle l'était. Absolument. » (p. 107)



Benjamin, privé en peu de temps de sa mère, de sa fille et de son épouse, est désemparé. Il lui faut repenser son existence et ses décisions. « Il se rendit compte qu'il s'était bien trop rarement vu obligé de faire un choix. Il avait préféré se laisser porter par les impératifs et le désir. » (p.157) Toujours fou d'amour pour Anna, il comprend que pour l'aimer vraiment, il devra peut-être la laisser vivre sa vie sans lui. « Je pleure les mortes. Mais surtout je pleure les vivantes. Anna et Karna. Je m'aperçois que je les ai peut-être toutes les deux perdues. » (p. 183)



Dans l'épilogue de cette superbe saga, les derniers protagonistes quittent la scène, jamais en silence, mais toujours un fracas indicible. Rien ne semble pouvoir tenir depuis la mort de Dina. « Reinsnes était devenu un lieu auquel il manquait son ombre. » (p. 252) Les derniers vivants doivent réapprendre à vivre dans un monde sans elle, mais aussi dans un monde où tout le monde connaît ses meurtres. Chaque pas, chaque décision, chaque renoncement est lourd, et l'espoir lui-même invite à la prudence. Le final m'a plongée dans un chagrin immense : une fois encore, l'innocence a payé le prix fort.

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Fils de la providence, tome 2

Benjamin est toujours au coeur de l'intrigue. Nous sommes désormais à Copenhague, en étude de médecine et en pleine vie étudiante. Des divergences politiques entre Danois et Norvégiens, quelques lâchetés... Les premières pages sur la guerre sont terribles. Benjamin reste toutefois un personnage un peu pâle par rapport à Dina. Je pense que le manque d'interaction entre les personnages, par rapport aux premiers tomes de la saga, m'a gêné. Et c'est là que je préfère l'auteur.
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Le Livre de Dina

(juin 2007)



L'Histoire commence par la voix intérieure de Dina "Je suis Dina, qui regarde le traîneau et sa charge dévaler la pente". Femme d'un sang-froid à vous glacer le vôtre …



J'ai aimé ce livre d'une surprenante originalité et ponctué des citations de la Bible. Le livre de Dina est une saga en trois volets (Les Limons vides suivi de Les vivants aussi et Mon bien-aimé est à moi ). C'est un tableau brossé au vitriol, dans les fraîcheurs de la Norvège, celle du nord, hostile aux allures de fin du monde, et qui raconte l’histoire d’une enfant abandonnée et livrée à elle-même qui devient une jeune femme impétueuse et obstinée.



Déjà toute enfant, j'étais fascinée par l'Omelette Norvégienne. Cette appellation est magique, l'allure du gâteau improbable, ses goûts rêvés comme le mélange détesté. L'Omelette norvégienne sans alcool n'existe pas … et enfant, je ne pouvais donc que regarder ce fabuleux dessert et m'imaginer l'engloutir.

Depuis, je me suis mise au régime ;-D, et je lis Le Livre de Dina, l'Omelette norvégienne de la littérature …



J'ai été fascinée par le personnage de Dina.

Tour à tour, femme-enfant, enfant sauvage, déesse démoniaque, toujours imprévisible et insatiable, Dina au destin tragique, gare aux hommes qui la quittent, Dina est une femme d'action ! Et voilà le tour de force littéraire qui rend l'horreur de Dina si respectable … Dina a peu de paroles, elle ne s’exprime qu’à travers ses actions et ne raconte rien. Elle régit sa vie, elle régit les êtres, elle lit dans les pensées, elle s'affranchit des conventions, elle lit la Bible comme le diable le ferait, elle y trouve ce qu’elle y cherche. Elle est étonnamment libre ! à faire peur …



Vous l'aimerez aussi

En plus de l'incroyable originalité de ce personnage, en visitant la Norvège du XIXème, on découvre par le "Nord du Nord" les prémices de notre Europe comme ceux de la Russie, les liens obligés entre l'homme et la nature, l'homme et les saisons polaires. C'est une réflexion par le haut à laquelle nous sommes peu habitués.



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L'héritage de Karna

L’héritage de Karma, est la suite du livre de Dina. Entre les deux, il y a Fils de la Providence ( que je n’ai pas lu)

J’ai été désorientée par le premier tome, car j’y voyais un trou dans la chronologie après le livre de Dina ( trou peut-être éclairci par Fils de la Providence)

Le Benjamin a fait un saut de l’enfance au doctorat. Il a vécu à Copenhague, on n’en sait presque rien, sinon qu’il revient au domaine avec une petite fille Karna qu’il a eue avec une femme morte en couches. Cette petite est épileptique ( et moitié chamane)

Dina est à Berlin ( ?) . Elle vit apparemment avec un jeune homme ami de son fils.

Il y a deux Hanna-Anna.

C’est confus.

Le second tome est plus intéressant, surtout dans les portraits de femmes. N’oublions pas la petite Karna qui grandit, observant tout autour d’elle avec son langage à elle ( j’aime ces sauts de style). Anna est une femme lumineuse, Hannah une femme blessée et anéantie.

Les hommes sont ambigus. Benjamin est ( il faut bien le dire) lâche et pitoyable et l’autre, le Wilfred est violent, ambitieux, fourbe, puissant et faible.

N’oublions pas Dina qui revient. Dina femme puissante, Dina assise sur son trône. Je l’aime bien Dina. Elle fume, boit, couche. Et joue du violoncelle. Dina tire les ficelles.

Le troisième tome est vraiment très fort. J’en suis encore imprégnée, bouleversée. Il se termine en feu de joie, non en brasier, c’est une sorte de « Portrait de la jeune fille en feu » sauf que ce n’est plus une jeune fille. C’est une femme qui revoit sa vie, comme tout le monde.

Dans les trois tomes et surtout dans le dernier on assiste à la mutation industrielle du pays, l’apparition des bateaux à vapeur, la fin de la pêche comme ils la pratiquaient, c’est un monde, leur monde qui disparait. Cette dimension historique, la Norvège comme on ne la connait pas, est intéressante.

On savait Herbjorg Wassmo préoccupée par la relation homme-femme. Dans cette trilogie, Il y est question de trahison dans l’amour ( doit-on ne pas vouloir savoir ce que l’on sait…et quand enfin, on sait, que faire ? renier, oublier, disparaître, continuer ? ) L’auteure ne fait pas non plus l’impasse sur l’amour à l’envers. (Femme battue, doit-on se taire ? ).

Dina, héroïne du XIX° S, qui au nom de la liberté alla jusqu’à supprimer ses entraves est féministe avant l’heure. Et l’aveu qu’elle fait à la fin de sa vie est sans regret « Moi, Dina, j’ai de mes propres mains fait en sorte que le traîneau tombe dans le gouffre et provoque la mort de Jacob... » A l’image de sa vie entière, elle assume crânement ses choix. Et j’aime bien ça.

Wassmo est une écrivaine qui me plait. Pour ses positions, pour la poésie du Nordland qu’elle décrit si bien, pour la mer, les barques et la pêche et pour son écriture.

Je continuerai à la lire.

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Cent ans

Dans le nord de la Norvège, l'auteure nous raconte la vie de sa mère, sa grand mère et son arrière grand mère entre 1842 et 1942. Cent ans. Le livre est constitué de 6 cahiers qui ne suivent pas de structure chronologique. Ces femmes suivent le destin typique de leur époque. Elles se marient et ont des enfants. On sent que pour chacune d'elle, la maternité est parfois un poids. Des femmes intelligentes et courageuses qui auraient voulu voir le monde mais qui sont enfermées dans leur quotidien. On découvre dans ce roman, la vie quotidienne dans le nord de la Norvège. l'auteure nous montre aussi comment les changements de la fin du XIXe à la moitié du XXe affectent la vie des Norvégiens. Le style est simple et pure. On s'attache à ces femmes, on s'identifie à elles.
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Cent ans

livre qui m’a été offert… si je n’avais pas eu d’autres livres en attente, peut-être que je l’aurais terminé ? je me suis arrêtée à la moitié. Je n’ai pas envie de poursuivre ce livre ne m’a pas trop apporté… peut-être d’apprendre que les femmes scandinaves étaient robustes physiquement et psychologiquement et que le climat scandinave est rude…
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Le Livre de Dina

Le livre de Dina comporte trois tomes, Les limons vides http://partageonsnoslectures.over-blog.com/2019/01/les-limons-vides-herbjorg-wassmo.html , Les vivants aussi et Mon bien-aimé est à moi.



J'ai retrouvé avec plaisir le style incisif et direct de Herbjorg Wassmo que j'avais découvert il y a quelques mois avec la première partie de la saga.



Dina devient peu à peu la maîtresse incontestée du domaine de Reinsnes; elle grandit sous le regard et dans l'affection de mère Karen. Elle découvre la passion, les voyages en mer, la vie. Elle grandit, mais s'assagit-elle ou s'endurcit-elle, alors qu'elle découvre l'amour, le commerce et la politique russe?



Au rythme des citations du Cantique des Cantiques Herbjorg Wassmo conte le destin, dans le Nord de la Norvège, d'une femme sauvage du XIXè siècle, alors qu'éclate la guerre de Crimée.
Lien : http://partageonsnoslectures..
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Trilogie de Tora - Coffret 3 volumes

Une trilogie tragique, qui décrit la vie de Tora, fille d'une Norvégienne et d'un soldat allemand, pendant la guerre de 39-45.

En partie autobiographique, un livre magnifique, plein d'ombre, de tempêtes, et de lumière, dans une île de pêcheurs, au nord du cercle polaire, peut-être les Lofoten.

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