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EAN : 9782382920794
336 pages
Bouquins (27/01/2022)
3.97/5   51 notes
Résumé :
Et si le propre de l’Homme n’était pas le rire, le langage ou l’aspiration à l’éternité, mais son pouvoir de destruction ?
Dérèglement climatique, hausse des températures, montée des eaux, pandémies… nous allons droit à la catastrophe. Le responsable de cette catastrophe est l’humanité elle-même. À force de grandir et de recouvrir toute la surface de la Terre, elle se comporte comme un cerveau géant et surpuissant, doté d’une infinité de connexions.
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Human Psycho-Comment l'humanité est devenue l'espèce la plus dangereuse de la planète - Essai - Sébastien Bohler - Éditions Pocket - Lu entre octobre 2023 et janvier 2024.

J'ai lu Human Psycho de Sébastien Bohler, entre autres, Docteur en neurosciences, au compte gouttes. Cet essai est plus terrifiant qu'un livre d'épouvante et il pose question si tant est que nous ne nous en posons pas depuis longtemps mais sans tenter de trouver des solutions.

Pour Sébastien Bohler, l'Humanité dans son ensemble est psychopathe. Vous savez de quoi est capable un psychopathe individuel n'éprouvant pas de sentiment, pas de compassion et ne vivant que l'instant présent sans se soucier des conséquences de ses actes les plus cruels soient-ils.

L'auteur décrypte le comportement de l'Humanité avec l'habileté et la détermination d'un médecin légiste qui cherche la cause d'un décès, il nous explique que tout se passe dans le cortex orbitofrontal, zone clé de la psychopathie, et cela n'a vraiment rien de drôle. L'ego de l'homme est surdimensionné, depuis la nuit des temps, il se croit supérieur à toutes les autres créatures de la terre, de la faune et de la flore.
N'a-t-il pas été "créé à l'image de Dieu" ?

Et fort de cette supériorité auto-proclamée, il va en profiter pour s'approprier à peu près tout ce que la Terre peut donner, à utiliser comme bon lui semble la nature et les animaux jusqu'aux pires actes, sans aucune empathie, sans aucune compassion, sans se poser la question de ce qu'il adviendra de notre Terre nourricière. Il faut absolument tirer profit de tout, tout de suite, nous vivons dans l'immédiateté.

Jusque là, Sébastien Bohler n'a pas tort et il est plus que temps d'agir, chaque ligne fait réfléchir, cela donne la chair de poule parce que ce n'est pas de la fiction. Il explique très bien qu'il est possible d'en sortir mais encore faudrait-il que l'Humanité ne se voile plus la face, et ce n'est pas gagné.

Ce livre est étonnant et il faut le lire ! Notre planète est en train de mourir par notre faute et notre manque total de réflexion.

Mais il y a un passage qui est dérangeant dans son livre, certaines de ses propositions pour en sortir sont quelque peu autoritaires et frisent la dictature.

Le monde va droit dans le mur, "Game over" écrit Sébastien Bohler et il a raison, son livre est brillant et percutant, il fait mention d'une multitude de références psychologiques, médicales, sociétales, historiques, religieuses.

Puissent nos instances supérieures ouvrir les yeux et le coeur, et chacun-e d'entre nous à notre petite échelle individuelle faire ce qu'on peut pour sauver notre Terre Mère.

"Il faut soigner de toute urgence notre humanité malade"

A LIRE ABSOLUMENT (mais ce n'est que mon humble avis)

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« Ce livre postule que l'humanité est une entité qui se développe, qui agit et « pense » de manière autonome. Son fonctionnement est potentiellement très différent de ce lui des individus humains ».
D'emblée, Sébastien Bohler nous explique de quoi il s'agit. Il compare l'action de l'humanité envers la nature à un psychopathe envers ses victime. C'est cette thèse qu'il va brillamment exposer tout au long de son livre. Pourquoi, comment, en sommes-nous arrivés là ? Avec beaucoup de références médicales, historiques, économiques, sociales… Il va nous prouver que l'humanité arrive à sa fin, par notre faute collective, mais non individuelle. Je n'ai pas lu les précédents livres de l'auteur, mais je trouve celui-ci très convainquant. Enfin, moi je suis convaincu. (Même déjà avant de lire le livre, d'ailleurs!). En parcourant les avis des autres lecteurs, je note que le livre est jugé « alarmiste ». Et qu'il est parfois redondant et que ses exemples ne sont pas tout à fait exacts… En fait je crois que c'est toujours dérangeant de s'entendre dire, que notre mode de vie concoure à notre perte. Vu que l'on est incapable d'en changer, même individuellement. On se rend bien compte que la planète suffoque par notre faute, mais ? Il faudrait toujours ne recevoir que des encouragements et surtout ne pas se sentir culpabilisés, un peu comme les psys qui encouragent leurs patients dépressifs à ne lire que des livres où il est question de bonheur, mais surtout pas de propos négatifs. OK , continuons comme ça ! Ces propos illustrent malheureusement très bien la pensée de l'auteur. Alors, tenons-nous prêts à la grande finale prévue dans quelques décennies. Comme le dit l'auteur, ce sera « game over » pour l'humanité.
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Après « Le bug humain » qui nous a fait découvrir le striatum,
Après « Ou est le sens? » qui nous a fait comprendre le rôle du cortex cingulaire,
Sébastien Bohler nous fait pénétrer dans le cortex orbitofrontal avec « Human psycho ».
Normal, il est neurobiologiste et donc spécialiste des boyaux de la tête.
Il est aussi écolo ce qui n'est pas vraiment un défaut.
Le sous-titre du livre est « Comment l'humanité est devenue l'espèce la plus dangereuse de la planète » beau slogan mais qui pose question.

Le postulat de base est est que l'humanité est un système composé d'éléments humains. Les ensemblistes-identitaires comme les nomme Castoriadis ont découvert que les propriétés d'un système sont le plus souvent totalement différentes de celles de ses composants.
« Ce livre postule que l'humanité est une entité qui se développe, qui agit et qui ‘pense' de manière autonome. … La question est de savoir comment. … J'ai donc postulé que l'humanité possède un psychisme. Qu'elle a des émotions, un langage, une vie mentale et déploie un certaine nombre de comportements qui lui sont propres. »
Ainsi les quatre caractéristiques fondamentales de l'humanité selon Bohler sont :
1 Elle a une haute opinions d'elle-même. Elle se définit comme supérieure aux plantes et aux animaux. Voir Descartes : « L'homme, maître et possesseur de la nature ».
2 « L'humanité a un talent infaillible pour instrumentaliser la nature ».
3 « Troisièmement, sur le plan émotionnel, l'humanité se caractérise par un manque profond d'empathie. Homo Sapiens se comporte à l'égard de la planète et de toutes les formes de vie qui l'habitent avec une totale absence de compassion. »
4 « Enfin, la quatrième caractères de l'humanité est sa tendance à agir en fonction d'impératifs ou de réactions instantanées dans le but de tirer de cette action un profit immédiat. »
L'humanité aurait donc un égo démesuré; elle serait obsédée par la manipulation, dénuée d'empathie et totalement impulsive. C'est exactement le portait du psychopathe.
Donc, l'humanité est psychopathe.
La démonstration est brillante, évidente, parfaitement documentée avec plein d'expériences scientifique. On serait tenté d'y croire.
Mais que fait-on du psychopathe?
Là, les choses se gâte un peu. On sent pointer des tendances autoritaires. Une bonne petite dictature écolo, ce serait pas mal. D'ailleurs, voyez les antivax, ces connards qui refusent de protéger l'humanité!!!??? tiens donc.
On pourrait aussi avoir un super ordinateur impartial évidemment qui jugerait de tous les projets sur le long terme. Génial.
On pourrait en même temps limiter les communications numériques des individus.
On pourrait aussi mettre en place un machin comme l'ONU mais c'est vrai, ça ne marche pas.
Ces trois propositions tiennent sur les trois dernières pages.
Un peu léger le Bohler.
A sa décharge, il est neurobiologie mais pas anthropologue ni historien.

Qu'est ce qui ne marche pas dans sa démonstration?
C'est d'abord son postulat. Est-ce que l'humanité est un système?
La réponse est évidemment négative.
Un système est un ensemble organisé de principes coordonnés de façon à former un tout scientifique ou un corps de doctrine.
Il existe des systèmes politiques, économiques, philosophiques, industriels, médiatiques et les humains y existent ou y survivent comme ils peuvent.
Mais cela n'effleure pas l'esprit de Bohler. Bien qu'il écrive tout de même « Les principes de la doctrine économique néolibérale sont à la fois la libre concurrence et la libre circulation des biens et des personnes. Ces principes entraînent mécaniquement une accélération des rythmes de production et de consommation des biens. La concurrence globale ne peut pas produire de ralentissement ni prendre en compte le futur. » Il faut lui reconnaître çà. Mais pas question d'interroger ces systèmes ni ceux qui les dirigent.

Dommage.

A lire tout de même surtout si on est ignare comme moi en neurobiologie.
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Les mots que vous pourrez lire dans cet écrit sonnent comme un électrochoc et m'ont frappé de pleins fouet alors même que j'étais préparée à ça. Comparer l'humanité à un psychopathe, voir que l'on fait tous parti de ce système qui nous manipule et dont on ne peut pas, seul, y échapper, ça fait mal ; surtout en sachant que c'est nous, en sommes, qui lui avons donné vie. Sébastien Bohler, dans son essai, avec une profusion de références médicales, sociales ou encore historiques pour appuyer ses propos, nous explique comment nous en sommes arrivés là : l'humanité devenant le bourreau qui écrase, blesse, afflige toujours plus sa proie, la planète, la nature et tous les êtres vivants, hors humains, qui l'habitent. Tel un psychopathe, il la viole et s'en fiche, ça ne lui fait rien de toute façon, puisqu'il ne ressent rien, puisqu'il ne voit pas où est le mal, il en est incapable, son cortex orbitofrontal (nouveau mot dans mon vocabulaire un plaisir), est détérioré. En lisant cet exposé très clair de l'humanité psychopathe, j'avoue que ça m'a fait froid dans le dos, et à chaque ligne que je lisais, je me répétais « merde, c'est vrai. », l'avenir m'est apparu encore plus sombre qu'il ne me semblait déjà… Parce qu'en réalité, ici, c'est écrit noir sur blanc, et on ne peut pas faire semblant de ne pas voir, on ne peut pas se raccrocher à de faux espoir, car si le psychopathe continue d'agir, dans quelques décennies, se sera « game over » et l'auteur n'hésite pas à l'écrire très nettement dès le départ. C'est peut-être étrange de dire que j'ai adoré ce livre en voyant à quel point il dresse un portrait effroyable de notre société et de notre futur, pourtant j'ai l'impression qu'il pourrait nous aider, si il tombait entre les mains de beaucoup de personnes, de ceux qui ont les yeux fermés, de ceux qui ne veulent rien entendre. Peut-être que ça ferait réagir, parce qu'un tel constat DEVRAIT les faire réagir… ou alors ils sont tous psychopathes, et là on est vraiment mal barré ! Mais même si tout le livre nous montre à quel point l'humanité se croit supérieure par rapport à tous les êtres vivants, souhaite manipuler tout ce qui l'entoure pour arriver à ses fins, se montre dénué d'empathie, et ne pense pas une seule seconde au futur, il existe toujours des moyens de faire disparaître le psychopathe, et l'auteur nous montre lesquels. J'ai beaucoup apprécié cette partie parce qu'elle montre tout de même qu'une porte de sortie est possible, qu'elle existe, encore faut-il qu'on veuille bien l'emprunter… et bon j'avoue là aussi on est mal barré et je crois qu'on préfère les murs alors on va continuer de foncer droit dedans, la tête baissée. Mais j'y crois quand même. Parce que sinon qui va le faire ? Bref, je ne peux que vous conseiller de découvrir ce livre qui nous présente la réalité de notre société tel qu'elle est aujourd'hui, sans filtre, et oui ça fait peur, oui ça fait mal, mais c'est nécessaire, parce que ce n'est pas parce qu'on décide de croire qu'il n'y aucun problème, que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on ne veut pas entendre la vérité, que ce n'est pas en train d'arriver.
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Quel est le point commun entre Ted Bundy, tueur en série américain, et l'Humanité ? Tous deux sont des psychopathes. Voici la thèse effrayante du docteur en neurobiologie, Sébastien Bohler. Dans ce livre d'un peu plus de 250 pages, ce scientifique nous fait le compte-rendu d'un cas clinique. Son patient : Human psycho, ou plutôt l'Humanité, comme si elle n'était qu'une seule et même personne. Ce patient est le pire de tous : il s'estime supérieur à tous les êtres peuplant la planète, il manipule la Nature pour la soumettre à ses envies, il ne fait preuve d'aucune empathie à l'égard des bêtes, des océans ou des forêts, et il agit en toute irresponsabilité, incapable d'anticiper les conséquences de ces actes.

C'est une démonstration brillante et passionnante. On pourrait imaginer que l'approche fondatrice est originale, voire extravagante mais paraît finalement totalement recevable et crédible au fur et à mesure de la lecture. Tout comme dans le bug humain, ce livre permet également de comprendre le fonctionnement fascinant du cerveau humain et donne des clés d'explications à certains de nos comportements.

L'ensemble du livre est passionnant et on peut remercier Sébastien Bohler pour son travail de vulgarisation scientifique. Par ailleurs, l'écriture est extrêmement claire, les phrases percutantes. On ne peut qu'applaudir la forme.
Le fond n'en reste pas néanmoins glaçant, effrayant tout en sonnant malheureusement terriblement juste. Les solutions avancée par l'auteur en dernière partie ne donnent pas du baume au coeur, loin de là.

Si l'on souhaite neutraliser le psychopathe Humanité, il va falloir se confiner, vivre dans des métavers, se plier à une dictature écologique et laisser de supers-ordinateurs faire justice. Voilà un avenir peu attrayant et assez angoissant.



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Citations et extraits (86) Voir plus Ajouter une citation
Les neurones sont des cellules dotées d’un noyau contenant de l’ADN, de filaments nommés dendrites qui conduisent l’électricité, de molécules nommés neurotransmetteurs qui aident à transmettre l’activité électrique aux neurones voisins. Tous les neurones agissent chacun dans leur coin, à leur échelle, mais c’est vous, vous et votre gros cerveau de 100 milliards de neurones, qui décidez de partir au travail, d’écouter les informations, d’acheter un cadeau à votre femme ou de vous gratter le nez. C’est bien le cerveau qui est aux commandes, qui prend les décisions, mais évidemment, à aucun moment il ne prend en considération les « souhaits » des neurones. En fait, il pourrait ignorer jusqu’à leur existence que cela ne changerait rien pour lui.
De la même façon, les êtres humains qui peuplent la planète ne sont probablement plus, aujourd’hui, aux commandes de leur destin collectif. Cela vaut certainement même pour les chefs d’État qui reviennent de chaque sommet sur le climat sans avoir réussi à rien décider de concret. Ce qui dirige, c’est le réseau complexe formé par ces individus, c’est l’humanité en tant qu’entité qui agit sur son environnement selon des motifs propres.
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Atteint d’une tumeur au cerveau, l’enfant a dû subir une intervention neurochirurgicale qui a nécessité de lui retirer une partie de son lobe frontal. Dans les premiers temps, tout se passe bien. Mais à partir de l’âge de 9 ans, l’enfant devient capricieux, cesse de travailler à l’école, menace ses camarades, ment pathologiquement, se bat constamment, échoue dans ses études et plus tard dans toutes ses tentatives pour conserver un emploi plus de quelques semaines. Pourtant, il a grandi dans un milieu éduqué, stable, sans problème particulier. Simplement, il n’a pas pu être « socialisé ». Depuis le début, ce travail n’a jamais pu se faire.


Moi, moi, moi !
Logiquement, les individus dont le cortex orbitofrontal a été détruit sont incapables d’intégrer l’existence des autres dans leurs raisonnements et leurs agissements. Comment le pourraient-ils ? Ils ne savent pas comment agir et penser d’une manière acceptable socialement.
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Notre espèce n’a pas son pareil pour concevoir nombre d’outils, d’armes, de pièges, de machines et d’appareils qui doivent lui rendre service. Qu’elle fait à sa main. Des enclos pour enfermer les « bêtes », des instruments pour les tuer, les dépecer, des trépans pour forer le sol, des turbines pour exploiter la force hydraulique, des moteurs pour exploiter l’énergie des hydrocarbures, des procédés pour extraire des métaux, des machines pour fabriquer d’autres outils, des manipulations (c’est le terme scientifique) pour synthétiser des produits chimiques afin de tirer le meilleur profit des semences des recherches pour modifier les gènes des animaux à sa convenance, etc. La technique est la marque de fabrique de l’humanité.
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Voilà, à grands traits, ce qui saute aux yeux lorsqu'on examine l'humanité sur le plan du langage, de la cognition, de l'émotion et de l'action. Nous avons devant nous un être à l'ego démesuré, obsédé par la manipulation, dénué d'empathie et totalement impulsif.
Que signifie cet ensemble de traits caractéristiques ? Pour qui est rompu aux notions classiques des neurosciences et de la psychiatrie, le diagnostic est immédiat. En réalité, tellement clair qu'on aurait envie d'arrêter là notre analyse, de refermer ce livre et de penser à autre chose.
Car ce que dessine sous nos yeux ce tableau clinique, c'est le portrait exact d'un psychopathe.
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L’écrasante majorité des psychopathes est incapable d’éprouver le moindre sentiment de ce genre. On s’est longtemps demandé pourquoi, jusqu’à ce qu’en 2011 des chercheurs des universités de Genève et de Berlin conçoivent une expérience qui répond en partie à cette interrogation. Ces chercheurs cherchaient à comprendre comment se manifestait le sentiment de culpabilité dans le cerveau humain32. Ils ont fait venir des volontaires dans leur laboratoire, les ont placés dans un scanner à IRM afin de visualiser l’activité de leur cerveau, puis leur ont demandé de se remémorer plusieurs types d’événements de leur vie passée : certains épisodes où ils avaient éprouvé de la culpabilité, d’autres où ils avaient ressenti de la honte, d’autres encore où ils avaient éprouvé de la tristesse. C’est uniquement dans le cas d’un souvenir de culpabilité qu’ils ont vu s’activer une zone précise du cerveau : le cortex orbitofrontal.
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