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4,05

sur 12477 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Fahrenheit 451 est un classique de science-fiction dystopique qui n'a pas pris une ride malgré sa publication en 1953. La société est formatée et remplie d'automates sans émotion ni sentiment qui s'abrutissent toute la journée devant des écrans. Ces hommes sont vidés de leurs âmes, ils sont tous semblables, tous l'image de l'autre. Les relations sont réduites à néant, les discussions superficielles, les réflexions et les opinions inexistantes. Les journées se ressemblent toutes, tout est plat et sans saveur. Dans cette société, les livres sont interdits car considérés comme dangereux. Montag est pompier mais pas un pompier qui éteint les incendies, non… un pompier qui met le feu, le feu aux livres pour que la population reste « heureuse ». Un jour Montag rencontre Clarisse. Elle est étrange, elle parle beaucoup, pose des questions, donne son avis et s'émerveille de petites choses. Elle lui fait voir peu à peu le monde différemment et ressentir des émotions. Elle est son déclic, le déclenchement de la libération de son esprit et de l'éveil de ses sens.
Le climat de guerre présent jour et nuit renforce le récit qui fait déjà froid dans le dos. L'écriture est très imagée et parfois poétique. En débutant ma lecture je ne m'attendais pas à ça, c'est vraiment une bonne surprise.
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En lisant ce roman publié en 1953, je me suis dit qu'à l'époque ce scénario devait paraître bien lointain, voir inimaginable.

Mais aujourd'hui, ce récit futuriste semble étrangement proche…

L'histoire imaginée par Ray Bradbury se déroule dans un monde où les livres sont interdits (enfer et damnation !!!) à l'exclusion des livres techniques.

Toute personne possédant un livre est aussitôt arrêtée, le livre brûlé ainsi que toute sa maison.
Et dans cette société névrosée, ce sont les pompiers qui se chargent de cette basse besogne. Des pompiers pyromanes.

Mais pourquoi donc en être arrivé à ce point ? Pourquoi commettre ce sacrilège ultime qu'est la destruction des livres ?

Et bien tout naturellement, par désintérêt progressif de la majorité de la population pour la littérature. Une population avide de distractions, de stimulations de plus en plus fortes, afin d'atteindre un bonheur immédiat.
Le schéma de la majorité devenant la norme, il devient impératif de maintenir l'équilibre atteint et donc d'éradiquer les quelques éléments perturbateurs.

Notre héros, Guy Montag, est pompier. Il est comme tous ses collègues, il prend plaisir à la destruction par le feu purificateur, persuadé de la légitimité de sa mission. Pourquoi en serait-il autrement ?

Jusqu'au jour où une rencontre va tout changer…

Notre Montag va se mettre à observer ce qui l'entoure, il va se poser, freiner la course infernale de son quotidien, il va réfléchir.

Le récit tricoté par l'auteur est, me semble-t-il, en partie en train de se réaliser. Les écrans omniprésents, les émissions de télé-réalité, les stimulations technologiques, la recherche de la satisfaction immédiate, le bonheur de façade qui cache un profond malaise, un vide intérieur, une misère intellectuelle…

Bref, un roman de science-fiction qui se rapproche à grands pas du futur imaginé, même si je souhaite ardemment que la littérature ne soit jamais frappée d'interdit.

Fahrenheit 451 : température à laquelle le papier s'enflamme et se consume. Un roman de SF très prenant de moins de 200 pages en format poche.
A lire absolument !
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Quelques jours auront été nécessaires avant que je me décide à critiquer cet ouvrage considéré comme l'un des plus grands classiques de la littérature d'anticipation.

Je vais tout d'abord répéter ce que disent beaucoup d'entre vous, chers Babeliotes, cela me paraît important car tout bonnement fondé.
L'histoire de Farenheit 451 est véritablement intéressante. L'univers imaginé par Bradbury est saisissant. Une société fondée sur l'ignorance dans laquelle la culture, symbolisée par les livres, est interdite. le simple fait de penser, d'exercer son esprit critique, de relativiser les choses, de mettre en parallèle des événements afin d'éviter de voir le monde de façon dichotomique... tout cela est INTERDIT. L'incarnation même d'une société totalitaire.
Dans le même temps, cet ouvrage fait écho à notre quotidien, à notre société où le pouvoir d'achat en vue de consommer encore et encore, semble être notre seul objectif tout du moins celui qu'on nous martèle chaque jour.
Cet ouvrage ne peut donc laisser insensible, d'autant plus lorsque l'on aime la littérature et plus globalement la culture.

Cependant, je ne peux lui mettre les fameuses cinq étoiles malgré tout le bien que j'en pense. J'ai trouvé l'univers fascinant mais pas suffisamment développé. Il m'aurait fallu des dizaines de pages supplémentaires afin de véritablement comprendre tous les mécanismes de la société imaginée par Bradbury. Par ailleurs, après une première partie dans laquelle j'ai souvent souligné les talents d'écrivain de l'auteur qui faisait l'usage de nombreuses figures de style et notamment de la métaphore pour mon plus grand plaisir, j'ai trouvé l'ensemble assez inégal au niveau de l'écriture même si la dernière partie nous offre à nouveau quelques belles envolées littéraires.

Mais tout cela n'est que mon avis. Je recommande dans tous les cas pleinement ce classique totalement ancré dans nos quotidiens et qui nous permet de nous questionner à bien des égards.
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J'ai bien aimé l'histoire. Un beau livre sur la censure, qui dans cette société, est totale. Une société qui empêche les gens de penser est une société fade et insipide où tout le monde est identique, a peur de la réflexion, des émotions. Il y a quelques scènes que j'ai eu du mal à me représenter, j'ai perdu le fil par moments mais un beau message sur la liberté d'expression et les livres qui en sont le symbole. La fin est une belle promesse mais qui m'a laissé un peu sur la faim.
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« Quand Hitler brûlait un livre, je le ressentais, pardonnez-moi, aussi vivement que s'il tuait un homme, car livre et homme sont de la même chair. » Ray Bradbury dans une introduction à l'édition de 1966.

Fahrenheit 451 est l'histoire d'une révolte. de la prise de conscience d'un pompier nommé Montag, casque numéro 451, qui n'est d'abord que le bon petit soldat d'un État où les soldats du feu interviennent non pour éteindre des incendies, mais pour les allumer. Au retour d'une mission, Montag croise le chemin d'une jeune fille, Clarisse, qui lui demande s'il est heureux. La question le surprend, puis le bouleverse. le ver est dans le fruit.

Il revoit Clarisse qui raconte le plaisir qu'elle ressent à marcher sous la pluie. Elle sait qu'elle n'est pas comme les autres. Dans un monde abruti ou toute pensée est devenue obsolète et suspecte, le voilà « contaminé » lui aussi. Et lors de l'intervention suivante, il ouvre un livre « Le temps s'est endormi dans le soleil de l'après-midi. » et le ramène chez lui. La suite n'est qu'une longue fuite en avant pour tenter d'échapper à ce monde totalitaire qui déverse sur ses sujets un flux de divertissements générateurs d'amnésie. Toute ressemblance avec une société existante serait-elle purement fortuite ?

Rédigé au tout début des années 1950, Fahrenheit 451 (232 degrés Celsius) qui correspond à la température à partir de laquelle un livre s'enflamme, est publié en plein maccarthysme. Ce n'est évidemment pas un hasard. Et s'il n'était pas qu'un écrivain de science-fiction, avec un style plus proche de la prose poétique que de celui d'un conteur brut comme Philip K. Dick, Ray Bradbury avait un incontestable talent de visionnaire dans sa description d'un monde ou l'information a supplanté la pensée et où travail et divertissement se partagent le temps.

À 32 ans, Ray Bradbury a probablement accouché de son chef-d'oeuvre que nous ne cessons de redécouvrir. Et si les autodafés pratiqués par les nazis ont inspiré l'auteur, les sources de l'oeuvre sont multiples. Ray Bradbury « habita » très jeune les bibliothèques et c'est dans celle de l'Ucla qu'il écrit en 1959 la première version du roman qui n'est encore qu'une nouvelle. Et la novella « Le pompier » sera publié en février 1951 par le magazine Galaxy. Il doublera la longueur de son texte en 9 jours pour Ballantine, son nouvel éditeur qui lui réclamait un roman.

Aujourd'hui, dans nos sociétés du moins, les livres ne sont plus menacés par les autodafés. Pourtant, c'est à une autre forme de silence que l'on réduit la culture. Elle est étouffée par les nouveaux démons évoqués (invoqués ?) par Ray Bradbury dans son livre : les populistes en politique, les chantres du divertissement dans les médias, les injonctions (publicité, prescripteurs, modes, etc.) partout qui participent, insidieusement, au démembrement des consciences. Que Fahrenheit 451 s'achève par quelques hommes autour d'un feu renvoie à cette idée que le salut, s'il est encore possible, réside en un retour à ce qui constitua durant des millénaires l'essence humaine, la liberté, l'humilité, la simplicité, la fraternité et, d'une certaine manière, le silence devant la beauté.

Retrouvez des critiques et bien plus encore sur mon blog .
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J'ai vraiment eu le même sentiment en refermant Fahrenheint 451 qu'il y a quelques années en achevant la lecture de 1984 d'Orwell, celui de n'avoir vraiment, vraiment pas perdu mon temps. Ce bouquin, c'est une mise en garde, mais aussi une formidable déclaration d'amour aux livres, et surtout aux trésors qu'ils renferment au-delà des pages.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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Le monde décrit par Bradbury dans ce roman est totalement crédible mais en même temps très effrayant. Imaginez un monde où les livres sont interdits...
Le "formatage" de la société qui nous est décrit est passionnant mais fait peur : arriverons-nous un jour à une telle société ?
Heureusement, Montag est comme une lueur d'espoir dans ce monde bien sombre. le pompier s'ouvre finalement à d'autres choses grâce à sa jeune voisine : il s'intéresse à ce qui l'entoure et finit donc par remarquer les défauts de la société dans laquelle il vit.
Bien entendu, cela lui attire quelques ennuis...
Mais pour les lecteurs de Bradbury qui craignent l'émergence d'une société telle que celle-là, les ennuis de Montag sont plutôt bon signe : ils illustrent le fait que, quelle que soit la situation, certaines personnes seront toujours prêtes à prendre des risques pour sauver ce qui peut (et doit) l'être.
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Dans un monde où la lecture et les livres sont devenus interdits, Montag, pompier, est chargé de brûler les maisons susceptibles de contenir des livres après que les propriétaires soient arrêtés par la police. Un soir, en rentrant chez lui, il fait la connaissance de Clarisse, une jeune fille pas comme les autres qui par ses questions le font douter du bien fondé de ses actes... Commence alors pour Montag une véritable remise en question : les pompiers ne devaient-ils pas éteindre le feu au lieu de brûler les livres ? Est-il réellement heureux ? Qu'ont de si dangereux les livres ?

Ce livre trainait depuis un bout de temps dans ma PAL et lorsque j'ai su que l'auteur était décédé cette année et que sur Livraddict, Felina organisait une lecture commune sur ce livre, je me suis dit que c'était une bonne occasion de le sortir de ma PAL et de découvrir ce véritable classique de la SF !

Le livre est composé de trois parties : la première met en avant sa rencontre avec Clarisse et sa remise en question sur sa vie ; la deuxième présente la découverte des livres par Montag et enfin la dernière est synonyme de la rebéllion de Montag. Pour un livre de SF, je trouve qu'il est très facile d'accès !

Ce qui m'a beaucoup surpris c'est de voir que ce livre est toujours d'actualité, en effet, ce livre a pourtant été écrit en 1953, mais les réflexions présentes dans le roman sont toujours valables à l'heure actuelle ! On peut dire que ce livre a une véritable valeur éternelle et universelle ! Bon en même temps, j'espère que l'on n'arrivera jamais à une ére où le livre aura peu à peu disparu, voire sera complétement interdit ! C'est un bien trop précieux qu'il faut avant tout protéger !

J'ai lu ce livre très rapidement, en à peine un jour et demi et pourtant j'avais eu peur de ne pas l'avoir lu pour aujourd'hui ! le style est facile à lire et les réflexions apportées par l'auteur donnent à réfléchir ! La préface signée Jacques Chambon apporte un petit plus au livre et à l'histoire !

Lien : http://lespetitslivresdelizo..
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Voici incontestablement un excellent roman aux accents prophétiques et aux multiples résonances bibliques : car il n'aborde rien de moins que la fin du monde (ou tout au moins la destruction d'une cité).

Il a été publié en 1953, en plein Maccarthysme.

Sous prétexte d'apporter le bonheur à la population, les livres sont systématiquement brûlés parce que susceptibles de contenir des idées, ou pire des opinions. Or toute opinion peut froisser la sensibilité d'une minorité et doit être éliminée pour maintenir dans la société un consensus sur le plus faible dénominateur commun qui se révèle bien étroit ; trop étroit pour cultiver des liens conjugaux, familiaux ou vraiment amicaux. Il s'agit tout bonnement d'une dictature reposant sur l'interdiction de penser et de ressentir. Elle s'est implantée grâce au développement de la technologie, à l'installation omniprésente des systèmes de surveillance, et à l'introduction de l'image dans les foyers. le temps de loisir est assuré par la collectivité et occupé par le divertissement de masse et le sport, de façon à ne laisser aucun temps à la réflexion personnelle. Il règne une terreur insidieuse et asphyxiante, la pratique de l'espionnage et de la dénonciation se sont généralisées.

Je ne raconterai pas l'histoire, que tout le monde connaît depuis le film réalisé par François Truffaut en 1966. Elle est servie par un langage parfois très poétique. Les personnages n'ont pas une psychologie approfondie, ce sont plutôt des prototypes : il y a celle dont les yeux sont déjà ouvert ; celui dont les yeux se décillent et qui entre en résistance (notre héros) ; la femme zombie, épouse du héros, alternant déni et périodes de dépression ; le sage qui s'engage dans la lutte ; le robot exterminateur ; il y a le très ambigu pompier aux allures d'historien et de sociologue lucide, (il a tout d'un membre de l'élite sous couverture afin de préserver son anonymat car il en sait trop pour un simple troufion et accepte trop facilement la mort (supporte-t-il encore de servir le régime qu'il sert ?) ; et il y a enfin les marginaux occupés à garder en mémoire le savoir qui a déserté la société : ils sont le disque dur de cette humanité en déshérence .

Ma seule réserve concerne les pages décrivant l'approche mortelle du robot qui pourchasse le héros. Elles m'ont ennuyée, j'ai trouvé que c'était introduire les facilités du suspens dans un genre littéraire qui n'en avait pas besoin. Mais il s'agit d'un bien léger grief face à la qualité de l'oeuvre.

Fahrenheit 451 de Ray Bradbury est certes une dystopie, mais surtout un conte philosophique. Il a de quoi nous remplir d'effroi car soixante dix ans après, nous y reconnaissons notre monde d'aujourd'hui : les livres ne sont pas encore interdits, mais n'en change-t-on pas les titres ? Ne rémunérons-nous pas des auteurs pour ré-écrire l'histoire des plus célèbres d'entre eux lorsqu'ils heurtent opinions, ligues, ou lobbies ?

Ces pratiques sont nauséabondes, hypocrites, et constituent autant de crachat à la figure de l'histoire et de la vérité. Changer le titre des «Dix petits nègres» en «Ils étaient dix» occulte la réalité des mentalités coloniales et oppose le déni à ceux qui en ont souffert.

Qui a dit «cachez ce sein que je ne saurai voir» ?

Nous avons fait le premier pas vers le monde de Fahrenheit, espérons que nous nous arrêterons là.
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Avant d'attaquer cette lecture, j'avais une crainte. Ce récit date de 1953 et suite à son succès, j'aurais tendance à le placer dans les classiques de la science-fiction. La crainte : que son contenu soit dépassé et me fasse perdre mon temps… et au final, ce récit résonne encore même à notre époque, le 21e siècle. Dans ce bouquin, les pompiers ne possèdent pas le même rôle que les nôtres. En effet, alors que ceux qui officient dans nos villes et villages ont pour mission d'éteindre les incendies et de voler au secours des êtres en détresse, c'est tout l'inverse qui se passe dans ce roman. En effet, les pompiers qui évoluent dans ce texte se font un plaisir de brûler les maisons dans lesquels des livres y sont trouvés puisque ces derniers sont pointés du doigt comme étant les grands ennemis de la civilisation. Autant dire que ce thème fait froid dans le dos et pourtant, malgré les nombreux cris d'alarme qui se prononcent afin de défendre la culture dans notre siècle, on ne peut pas dire que nos gouvernements fassent le nécessaire pour vraiment la mettre à la portée de tous. Serait-il possible que dans des années à venir, voir des siècles, les bouquins viennent totalement à disparaître ? Je ne serais sûrement plus là pour en être le triste spectateur et c'est probablement la meilleure chose qui peut m'arriver. En attendant, il est temps pour moi de passer à la rédaction de mes fameuses listes.

Points négatifs :

• Quelques petites longueurs.
• La fin. Certes, elle n'est pas déplaisante mais elle n'est pas non plus formidable. Elle est une porte ouverte à une conclusion que seule notre imagination peut nous offrir. Se dire que tout va s'arranger suite à la destruction partielle du monde dans lequel évolue le personnage principal ? On le souhaite. Est-ce qu'au contraire, cela ne peut qu'empirer ? Là aussi, cela reste une hypothèse.

Points positifs :

• La taille aléatoire des paragraphes et des chapitres.
• L'évolution du personnage principal : Montag. Au tout début, nous assistons à quelle intervention de sa part et de sa bridage sur des lieux de crime. Bien sûr, cet homme prend un malin plaisir à brûler les maisons et les livres que ces dernières renferment. Néanmoins, il suffit juste d'une rencontre pour que son quotidien bascule mais surtout, ses réflexions. A partir de là, il se met à douter, à observer son monde d'un oeil neuf jusqu'à franchir le pas qui le fera basculer totalement.
• La fuite de Montag. Ce moment offre une bonne dose de frayeur, d'action, de questionnement sur son devenir mais aussi sur la société dans laquelle il tente de vivre. Cela offre une nouvelle vague d'engouement face à ce roman et je dois reconnaître que cet instant arrive à point nommé.
• le monde dans lequel réside Montag. La technologie a fait un sacré bond en terme de progrès mais hélas, cette dernière a veillé à laver les cerveaux pour veiller à ce que tout fonctionne correctement… à partir du moment que chaque citoyen ne fait pas de vagues, tout va pour le mieux pour les instances régnantes… Exactement comme chez nous, à notre siècle. Flippant non ?
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