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Claudine Gothot-Mersch (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070322091
280 pages
Gallimard (08/12/1981)
3.87/5   120 notes
Résumé :
Ce recueil de poèmes est une tentative de 'traiter sous forme restreinte de petits sujets'. La virtuosité de la langue et la recherche formelle, caractéristique du tenant de la doctrine de l'Art pour l'art, inspireront les Parnassiens. Ceux-ci feront du poème "L'Art" leur profession de foi.
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Au préalable je salue le fantastique travail de Claudine Gothot-Mersch, professeur aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles, qui a présenté, établi et richement annoté la présente édition. C'est aussi elle qui a ajouté en appendice l'Albertus, écrit en 1831-1832 alors que Gautier avait vingt ans seulement.

Je vous invite chaleureusement à lire ces « Émaux et Camées ». le recueil est en principe l'application la plus directe des principes de l'école du Parnasse, qui prône « l'art pour l'art ». On attribue traditionnellement une certaine froideur à ces poèmes, or, je suis moyennement d'accord avec cette affirmation.
Le vocabulaire surprend par sa richesse, par son utilisation très précise, une des principales caractéristiques de Gautier qui s'évade par la poésie : que ce soit à Venise ou dans l'Antiquité.
À noter encore de nombreuses références littéraires (cf. le poème Préface), des descriptions d'oeuvres aussi, sorte d'ecphrasis parfois, plus la culture que la nature.
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Grand ami de Théophile Gautier, Charles Baudelaire se passionne pour le romantisme. En 1859, il dédit un de ses poèmes « Les petites vieilles » à Victor Hugo qu'il avait connu avec Gautier au moment de la bataille d'Hernani en 1830 et les escarmouches des représentations.
En 1861, admirant profondément le peintre Eugène Delacroix, Baudelaire écrit au sujet de son Héliodore de l'église Saint-Sulpice qu'il vient de terminer : « Un tableau de Delacroix vous pénètre déjà d'une volupté surnaturelle. Il vous semble qu'une atmosphère magique a marché vers vous et vous enveloppe. »
Mais le véritable maître de Baudelaire est Théophile Gautier, son « maître et ami », « poète impeccable, parfait magicien de lettres françaises. En 1857, il lui dédit ses « Fleurs du mal » et lui envoie son recueil accompagné d'une lettre dédicace :
« À mon très cher et très vénéré maître et ami Théophile Gautier
Bien que je te prie de servir de parrain aux Fleurs du mal, ne crois pas que je sois assez perdu, assez indigne du nom de poète pour m'imaginer que ces fleurs maladives méritent ton noble patronage. Je sais que dans les régions éthérées de la véritable Poésie, le Mal n'est pas, non plus que le Bien, et que ce misérable dictionnaire de mélancolie et de crime peut légitimer les réactions de la morale comme le blasphémateur confirme la Religion. Mais j'ai voulu, autant qu'il était en moi, en espérant mieux peut-être rendre un hommage profond à l'auteur d'Albertus, de la Comédie de la Mort et d'Espana, au poète impeccable, au magicien ès langue française, dont je me déclare, avec autant d'orgueil que d'humilité, le plus dévoué, le plus respectueux et le plus jaloux des disciples. »

Figure marquante, gloire de la vie littéraire au 19e siècle, Théophile Gautier est un touche à tout dans le domaine des arts. Il aborde tous les genres : critique d'art, conte, poésie, nouvelle, roman, théâtre, et même le livret du ballet « Gisèle ». Il est un des membres de ce mouvement parnassien qui considère que l'art doit être impersonnel, sans engagement politique et social.
En 1852, son recueil de poèmes « Émaux et Camées », qui se situe à la croisée du romantisme et de la poésie parnassienne, illustre idéalement les principes esthétiques de l'artiste et son exigence de perfection.

Gautier est celui qui manie le mieux la langue française. Ces poèmes sont des petits bijoux joliment ciselés qu'il faut déguster lentement, mot à mot. Leur unique but est une recherche de beauté et d'exigence esthétique. « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. » Je donne, ci-dessous, quelques extraits du recueil, courts aperçus de son exceptionnel talent :

Quel plaisir, la vision de cette main de courtisane en plâtre chez un sculpteur « Etude de mains » :
« Dans l'éclat de sa pâleur mate
Elle étalait sur le velours
Son élégance délicate
Et ses doigts fins aux anneaux lourds »

Description d'une « Rose-Thé » aux couleurs subtiles :
« On dirait une rose blanche
Qu'aurait fait rougir de pudeur,
En la lutinant sur la branche,
Un papillon trop plein d'ardeur. »

Quelques hirondelles parlent « Ce que disent les hirondelles » :
« La pluie au bassin fait des bulles ;
Les hirondelles sur le toit
Tiennent des conciliabules :
Voici l'hiver, voici le froid ! »

A Venise « le Carnaval » se prépare :
« Venise pour le bal s'habille.
De paillettes tout étoilé,
Scintille, fourmille et babille
Le carnaval bariolé. »

Le printemps arrive « Premier sourire du printemps » :
« La nature au lit se repose ;
Lui, descend au jardin désert
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert. »

Et des fleurs éclosent « Camélia et pâquerette » :
« Un papillon blanc qui voltige,
Un coup d'oeil au hasard jeté,
Vous fait surprendre sur sa tige
La fleur dans sa simplicité »

Les femmes ne sont jamais bien loin « le poème de la femme » :
« Glissant de l'épaule à la hanche,
La chemise aux plis nonchalants,
Comme une tourterelle blanche
Vint s'abattre sur ses pieds blancs. »

Ces vers sont entrés dans la poésie populaire.
En parcourant les mots de ce grand poète, il m'arrive parfois de penser aux peintres impressionnistes dont les recherches auraient pu être les mêmes : lumière, couleur, chatoiement, rythme, sensibilité.


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Lien : http://www.httpsilartetaitco..
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Contralto : sa lecture gagne à se prolonger par une écoute du duetto :
Philippe Jaroussky/Max Emanuel Cencic/
Musique Giovanni Bononcini/
"Chi d'Amor tra le catene"/
Les arts florissants/William Christie/2011
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Cet écrin de 38 petits bijoux de poésie (préface comprise) justifie la dédicace des Fleurs du Mal :

« Au Poëte impeccable
au parfait magicien ès lettres françaises
à mon très-cher et très-vénéré
maître et ami
Théophile Gautier
avec les sentiments
de la plus profonde humilité
je dédie
ces fleurs maladives
C. B. »

Quant à cette strophe du dernier poème du recueil – « L'Art » –, elle est devenue une vérité incontestable pour les vers de Gautier :

« Les dieux eux-mêmes meurent,
Mais les vers souverains
Demeurent
Plus fort que les airains. »
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Les camées et les émaux sont des oeuvres d'art, de petites tailles, mais très précieuses, associés à l'Antiquité et au Moyen-Âge. Et on retrouve toutes ces caractéristiques dans la poésie de Gautier. Les poèmes sont assez courts, classiques dans la forme - même s'il n'écrit pas de sonnet, contrairement à Leconte de Lisle ou José Maria de Hérédia, mais très travaillés. On retrouve également le goût pour l'Antiquité, avec de nombreuses évocations de statues antiques de marbre - Gautier a une obsession pour les seins blancs ! D'ailleurs, j'ai bien aimé le poème sur la Lorelei, que j'ai trouvé plus original car dépaysant - il n'utilise toutefois pas le nom de Lorelei, mais c'est ce que m'évoque la sirène du Rhin qu'il décrit avec sa pâleur et sa blancheur, sa beauté parfaite, mais son coeur est lui aussi glacé.
J'ai pensé parfois à Gaspard de la nuit, pour le surgissement des images, ce cisèlement de la langue, en moins dépaysant cependant. Je regrette également cependant que les vers ne m'aient pas toujours totalement emportée par leur musicalité - je viens de lire plusieurs recueils de Verlaine, c'est peut-être une explication...
Enfin, pour moi qui admire Victor Hugo, le poète comme le dramaturge, j'ai apprécié l'un des derniers poèmes, "Le Chateau du souvenir", qui évoque le combat romantique, la "Bataille d'Hernani" dont Gautier était un des hérauts avec sa barbe fournie, mais ce poème suggère aussi les rêves de succès et de gloire brisés ou non aboutis, tous n'ont pas eu le succès espéré - comme évoque ensuite le poème "La Mansarde" qui illustre la bohème artistique, mais aussi la pauvreté.
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Symphonie en blanc majeur

De leur col blanc courbant les lignes,
On voit dans les contes du Nord,
Sur le vieux Rhin, des femmes-cygnes
Nager en chantant près du bord,

Ou, suspendant à quelque branche
Le plumage qui les revêt,
Faire luire leur peau plus blanche
Que la neige de leur duvet.

De ces femmes il en est une,
Qui chez nous descend quelquefois,
Blanche comme le clair de lune
Sur les glaciers dans les cieux froids;

Conviant la vue enivrée
De sa boréale fraîcheur
A des régals de chair nacrée,
A des débauches de blancheur!

Son sein, neige moulée en globe,
Contre les camélias blancs
Et le blanc satin de sa robe
Soutient des combats insolents.

Dans ces grandes batailles blanches,
Satins et fleurs ont le dessous,
Et, sans demander leurs revanches,
Jaunissent comme des jaloux.

Sur les blancheurs de son épaule,
Paros au grain éblouissant,
Comme dans une nuit du pôle,
Un givre invisible descend.

De quel mica de neige vierge,
De quelle moelle de roseau,
De quelle hostie et de quel cierge
A-t-on fait le blanc de sa peau?

A-t-on pris la goutte lactée
Tachant l’azur du ciel d’hiver,
Le lis à la pulpe argentée,
La blanche écume de la mer;

Le marbre blanc, chair froide et pâle,
Où vivent les divinités;
L’argent mat, la laiteuse opale
Qu’irisent de vagues clartés;

L’ivoire, où ses mains ont des ailes,
Et, comme des papillons blancs,
Sur la pointe des notes frêles
Suspendent leurs baisers tremblants;

L’hermine vierge de souillure,
Qui pour abriter leurs frissons,
Ouate de sa blanche fourrure
Les épaules et les blasons;

Le vif-argent aux fleurs fantasques
Dont les vitraux sont ramagés;
Les blanches dentelles des vasques,
Pleurs de l’ondine en l’air figés;

L’aubépine de mai qui plie
Sous les blancs frimas de ses fleurs;
L’albâtre où la mélancolie
Aime à retrouver ses pâleurs;

Le duvet blanc de la colombe,
Neigeant sur les toits du manoir,
Et la stalactite qui tombe,
Larme blanche de l’antre noir?

Des Groenlands et des Norvèges
Vient-elle avec Séraphita?
Est-ce la Madone des neiges,
Un sphinx blanc que l’hiver sculpta,

Sphinx enterré par l’avalanche,
Gardien des glaciers étoilés,
Et qui, sous sa poitrine blanche,
Cache de blancs secrets gelés?

Sous la glace où calme il repose,
Oh ! qui pourra fondre ce cœur!
Oh ! qui pourra mettre un ton rose
Dans cette implacable blancheur!
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À UNE ROBE ROSE

Que tu me plais dans cette robe
Qui te déshabille si bien,
Faisant jaillir ta gorge en globe,
Montrant tout nu ton bras païen !

Frêle comme une aile d'abeille,
Frais comme un coeur de rose-thé,
Son tissu, caresse vermeille,
Voltige autour de ta beauté.

De l'épiderme sur la soie
Glissent des frissons argentés,
Et l'étoffe à la chair renvoie
Ses éclairs roses reflétés.

D'où te vient cette robe étrange
Qui semble faite de ta chair,
Trame vivante qui mélange
Avec ta peau son rose clair ?

Est-ce à la rougeur de l'aurore,
A la coquille de Vénus,
Au bouton de sein près d'éclore,
Que sont pris ces tons inconnus ?

Ou bien l'étoffe est-elle teinte
Dans les roses de ta pudeur ?
Non ; vingt fois modelée et peinte,
Ta forme connaît sa splendeur.

Jetant le voile qui te pèse,
Réalité que l'art rêva,
Comme la princesse Borghèse
Tu poserais pour Canova.

Et ces plis roses sont les lèvres
De mes désirs inapaisés,
Mettant au corps dont tu les sèvres
Une tunique de baisers.
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Le monde est méchant, ma petite :
Avec son sourire moqueur
Il dit qu’à ton côté palpite
Une montre en place de cœur.

— Pourtant ton sein ému s’élève
Et s’abaisse comme la mer,
Aux bouillonnements de la sève
Circulant sous ta jeune chair.

Le monde est méchant, ma petite :
Il dit que tes yeux vifs sont morts
Et se meuvent dans leur orbite
À temps égaux et par ressorts.

— Pourtant une larme irisée
Tremble à tes cils, mouvant rideau,
Comme une perle de rosée
Qui n’est pas prise au verre d’eau.

Le monde est méchant, ma petite :
Il dit que tu n’as pas d’esprit,
Et que les vers qu’on te récite
Sont pour toi comme du sanscrit.

— Pourtant, sur ta bouche vermeille,
Fleur s’ouvrant et se refermant,
Le rire, intelligente abeille,
Se pose à chaque trait charmant.

C’est que tu m’aimes, ma petite,
Et que tu hais tous ces gens-là.
Quitte-moi ; — comme ils diront vite :
« Quel cœur et quel esprit elle a ! »
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Diamant du cœur

Tout amoureux, de sa maîtresse,
Sur son cœur ou dans son tiroir,
Possède un gage qu’il caresse
Aux jours de regret ou d’espoir.

L’un d’une chevelure noire,
Par un sourire encouragé,
A pris une boucle que moire
Un reflet bleu d’aile de geai.

L’autre a, sur un cou blanc qui ploie,
Coupé par derrière un flocon
Retors et fin comme la soie
Que l’on dévide du cocon.

Un troisième, au fond d’une boîte,
Reliquaire du souvenir,
Cache un gant blanc, de forme étroite,
Où nulle main ne peut tenir.

Cet autre, pour s’en faire un charme,
Dans un sachet, d’un chiffre orné,
Coud des violettes de Parme,
Frais cadeau qu’on reprend fané.

Celui-ci baise la pantoufle
Que Cendrillon perdit un soir;
Et celui-ci conserve un souffle
Dans la barbe d’un masque noir.

Moi, je n’ai ni boucle lustrée,
Ni gant, ni bouquet, ni soulier,
Mais je garde, empreinte adorée
Une larme sur un papier :

Pure rosée, unique goutte,
D’un ciel d’azur tombée un jour,
Joyau sans prix, perle dissoute
Dans la coupe de mon amour!

Et, pour moi, cette obscure tache
Reluit comme un écrin d’Ophyr,
Et du vélin bleu se détache,
Diamant éclos d’un saphir.

Cette larme, qui fait ma joie,
Roula, trésor inespéré,
Sur un de mes vers qu’elle noie,
D’un œil qui n’a jamais pleuré !
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A une robe rose

Que tu me plais dans cette robe
Qui te déshabille si bien,
Faisant jaillir ta gorge en globe,
Montrant tout nu ton bras païen !

Frêle comme une aile d'abeille,
Frais comme un coeur de rose-thé,
Son tissu, caresse vermeille,
Voltige autour de ta beauté.

De l'épiderme sur la soie
Glissent des frissons argentés,
Et l'étoffe à la chair renvoie
Ses éclairs roses reflétés.

D'où te vient cette robe étrange
Qui semble faite de ta chair,
Trame vivante qui mélange
Avec ta peau son rose clair ?

Est-ce à la rougeur de l'aurore,
A la coquille de Vénus,
Au bouton de sein près d'éclore,
Que sont pris ces tons inconnus ?

Ou bien l'étoffe est-elle teinte
Dans les roses de ta pudeur ?
Non ; vingt fois modelée et peinte,
Ta forme connaît sa splendeur.

Jetant le voile qui te pèse,
Réalité que l'art rêva,
Comme la princesse Borghèse
Tu poserais pour Canova.

Et ces plis roses sont les lèvres
De mes désirs inapaisés,
Mettant au corps dont tu les sèvres
Une tunique de baisers.
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Videos de Théophile Gautier (25) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Théophile Gautier
En 1834, Balzac imagine et commande une canne somptueuse à l'orfèvre parisien le Cointe. La « pomme » en or, finement ciselée des armoiries des Balzac d'Entraigues, qui n'ont aucun lien avec l'écrivain, est ornée d'une constellation de turquoises, offertes par sa bien-aimée Mme Hanska. Cette canne est excessive en tout, et très vite, elle fait sensation parmi journalistes et caricaturistes. C'est la signature excentrique de l'écrivain, la preuve visible et provocante de son énergie et de sa liberté, imposant sa prestance au milieu de la société des écrivains. Pour Charlotte Constant et Delphine de Girardin, amies De Balzac, la canne est investie d'un pouvoir magique…
Pour en savoir plus, rdv sur le site Les Essentiels de la BnF : https://c.bnf.fr/TRC
Crédits de la vidéo :
Direction éditoriale Armelle Pasco, cheffe du service des Éditions multimédias, BnF
Direction scientifique Jean-Didier Wagneur
Scénario, recherche iconographique et suivi de production Sophie Guindon, chargée d'édition multimédia, BnF
Réalisation Vagabondir
Enregistrement, musique et sound design Mathias Bourre et Andrea Perugini, Opixido
Voix Geert van Herwijnen
Crédits iconographiques Collections de la BnF
© Bibliothèque nationale de France
Images extérieures :
Projet d'éventail : l'apothéose De Balzac Grandville, dessinateur, entre 1835 et 1836 Maison de Balzac, BAL 1990.1 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
La canne De Balzac Orfèvre le Cointe, 1834 Maison de Balzac, BAL 186 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Sortie des ouvrières de la maison Paquin, rue de la Paix Béraud Jean (1849-1936) Localisation : Paris, musée Carnavalet, P1662 Photo © RMN-Grand Palais / Agence Bulloz
La pâtisserie Gloppe, avenue des Champs-Elysées Béraud Jean (1849-1936) Localisation : Paris, musée Carnavalet, P1733 Photo © RMN-Grand Palais / Agence Bulloz
Balzac à la canne Illustration pour Courtine, Balzac à table, Paris, Robert Laffont, 1976 Maison de Balzac, B2290 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Balzac, croquis d'après nature Théophile Gautier, 1830 Maison de Balzac, BAL 333 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Portrait-charge de Balzac Jean Pierre Dantan, sculpteur, 1835 Maison de Balzac, BAL 972 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Honoré de Balzac Jean-Théodore Maurisset, graveur, 1839 Maison de Balzac, BAL 252 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Balzac en canne Jean-Théodore Maurisset, graveur, 1839 Maison de Balzac, BAL 253 CCØ Paris Musées / Maison de Balzac
Comtesse Charlotte von Hardenberg Johann Heinrich Schroeder (Boris Wilnitsky) Droits réservés
Delphine Gay (Portrait de Delphine de Girardin) Louis Hersent, 1824 Musée de l'Histoire de France © Palais de Versailles, RF 481
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