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EAN : 9782070455171
416 pages
Gallimard (27/02/2014)
3.96/5   34 notes
Résumé :
Axelkahn interprète les grand opéras d’une voix magique. Jamais ténor n’a autant subjugué la critique et le public. Mais le jour où les biopuces logées dans sa gorge se taisent, le dieu vivant n’est plus qu’un homme comme les autres.

Rejeté de tous, ruiné, il n’a qu’un espoir de survie: retrouver le seul être pouvant ressusciter sa voix. Un mystérieux Yuweh, qui aurait disparu au coeur des Bulbes Griffith, gigantesque artefact spatial en forme de molé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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♪ Je n'ai – pas – de voix
J'essaie -quel-que-fois
Mais ça – ne vient paaas !
Je n'suis pas doué – pour l'o-péra ♬
(Serge Reggiani – le barbier de Belleville)

Drôle d'entrée en matière non ? Bah ça colle assez bien avec le personnage principal – Axelkahn (j'imagine le gros clin d'oeil au scientifique) – qui est un véritable divo de l'opéra, adulé, capricieux, ténor exceptionnel quelque peu aidé par la technique des mystérieux Yuweh. Mais voilà que son bazar tombe en panne. C'est la déchéance ! Et faut pas compter sur ses anciens amis dans ces cas-là, pas vrai ?
Bon, pas le choix. Axelkahn doit trouver un Yuweh qui pourra lui réparer le truc. Des rumeurs prétendent qu'il y en a un dissimulé au coeur de l'immense et étonnant artefact spatial dénommé les Bulbes Griffith. le voilà parti en quête.

Alors ça devient une habitude, j'ai commencé le roman un peu à reculons, en alignant dans ma tête tout ce que j'estimais qui n'allait pas. D'abord je croyais que la musique allait jouer un rôle majeur. Nenni ! Ensuite je trouvais qu'Axelkahn, en vraie insupportable star, tirait toute la couverture à lui, laissant peu de place aux nombreux seconds rôles. Enfin, le style m'agaçait. Laurent Genefort noie les descriptions techniques importantes dans une vraie frénésie de détails technologiques de tout et de rien. C'est trop baroque, si bien qu'on ne sait plus où regarder.

Et puis – ça aussi ça devient une habitude (mon cerveau vieillit, quoi) – je me familiarise petit à petit avec l'univers qui dévoile tout son charme. D'abord l'absence de musique est largement compensée par le théâtre. Car notre cher héros décide de monter une troupe pour circuler dans les Bulbes Griffith et c'est le cheminement de cette Compagnie des Fous que nous suivons. Ensuite, le décor des Bulbes est extraordinaire, digne de Jack Vance (et ceux qui me connaissent savent à quel point j'aime cet auteur) : des bulbes creux dans lesquels on circule par des navettes ressemblant à des téléphériques diesel (au méthane plutôt) le long de filins qui les traversent. Des villes-stations accrochées aux embranchement de plusieurs filins. Des pirates qui rodent sur les parois. de la vie minérale ou biologique insolites. J'en passe et des meilleures. Ça foisonne.
Les personnages (contrairement à ceux de Vance, pour le coup) sont très humains. Et l'histoire est très linéaire, un peu comme si on suivait des épisodes qui se terminent souvent par des cliffhangers impitoyables. C'est inventif, et la violence a peu sa place. Au final, c'est l'histoire d'une adaptation à un nouveau milieu qui, contrairement à ce que feraient penser les préjugés, offre son lot de plaisir, de rire et d'amour au sens large.

Une bonne pioche Genefort, assurément. Je le recommande. J'ai dans l'idée que l'histoire pourrait donner lieu à une pièce de théâtre d'ailleurs. Mais Axelkahn m'a peut-être devancé.
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Je ne connaissais rien de l'auteur avant de le découvrir par le biais de ce roman. Pourtant, il a déjà à son actif une longue bibliographie. Parmi celle-ci, deux romans qui prennent place dans le même univers que Les opéras de l'espace mais qui développent d'autres intrigues : Haute-Enclave et L'homme qui n'existait plus. Laurent Genefort a également rédigé une thèse sur les livres-univers dans la science-fiction. Il est ainsi loin d'être novice dans ce genre de littérature et je remercie les éditions folio de m'avoir donné l'opportunité de lire un de ses romans.

Du monde de l'opéra à la compagnie de théâtre, l'auteur nous propose un bel éventail du rapport au spectacle vivant dans son univers de science-fiction.


Tout le roman repose sur son personnage principal, Axelkhan, ne laissant que peu de place aux autres protagonistes de l'histoire. Bien que nombreux, ils restent assez superficiellement traités. Axelkhan est un célèbre ténor, vivant dans le luxe et l'opulence.

« Les gens te respectent, mais pourquoi t'aimeraient-ils? Tu es vaniteux, intolérant et imbu de toi-même » lui dira-t-on plus loin dans le roman.

En bref, il n'est pas le personnage le plus sympathique qu'il nous ait été donné de découvrir. Alors qu'il est en représentation, il sent un jour sa voix se faner. Les appareils installés par les Yuwehs sur ses cordes vocales pour parfaire sa voix viennent de dysfonctionner. Seul un Yuweh serait en mesure de réparer une telle anomalie. Or, ce peuple représente une entité mystérieuse : personne ne sait qui ils sont ni où ils vivent. Pour Axelkhan, c'est une tragédie. Sans sa voix, il ne vaut plus rien. Il perd du même coup son public et son argent. Il est désormais incapable d'assumer le train de vie auquel il s'était habitué. Ne pouvant y renoncer, il devient prêt à tout pour retrouver sa voix (il n'est pas connu pour son intelligence par contre). Quand il entend parler de la légende d'un Yuweh perdu dans les Bulbes Griffith, il n'hésite pas à si rendre. Et c'est là que pour contourner l'hostilité des autorités, il crée une troupe de théâtre et poursuit sa quête pour retrouver le Yuweh.

Il m'aura fallu plus de trois semaines pour en venir à bout. Loin d'être un page-turner (genre très apprécié par les lecteurs en ce moment), Les opéras de l'espace prend au contraire le temps de se pauser, de s'installer dans la description du quotidien. Cela ne fait certes pas avancer l'action mais a l'avantage de vous plonger plus profondément dans cette nouvelle galaxie. Pour une fois qu'on n'a pas à faire à une course contre la montre jusqu'au dénouement, je tiens à saluer la façon dont l'auteur à mener son récit. Si certains pourront reprocher des longueurs pendant le voyage d'Axelkhan vers les Bulbes Griffith ou pendant les débuts de la troupe de théâtre, il n'en sera rien pour moi. Même bien au contraire. J'ai savouré chaque moment tant j'avais l'impression de faire partie de ce monde. C'est le genre de roman qui fait du bien. Pour le reste, l'auteur a su m'intéresser de bout en bout, en mêlant histoires d'amitié et réflexions sur la vie, quête et spectacle. Un vrai bon roman de space opera tout simplement!
Seul point négatif qui n'engage que moi : n'étant pas suffisamment familière avec le genre de la science-fiction, j'ai eu du mal avec certaines descriptions très scientifiques de l'auteur. A titre d'exemple: « L'ensemble évoquait la modélisation enfantine d'une molécule arborescente, dont chaque atome était une sphère creuse de dimensions cyclopéennes, parfois remplie d'atmosphère. » (p.44). Ça me donne un poil mal à la tête d'essayer de comprendre cette phrase…

>Les opéras de l'espace, c'est un univers hors du commun, plein d'aventures avec un héros aussi imbu de sa personne qu'attachant (c'est dire !). L'auteur doit avoir un esprit sacrément tordu pour parvenir à mener aussi bien son récit tout en restant captivant ! J'ai hâte de retrouver sa plume dans d'autres de ses histoires!
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Voilà, un roman époustouflant !!! Et pourtant je suis très loin d'être une lectrice invétérée de Science-fiction. A la lecture des premières pages impossible de s'arrêter. Ce livre est totalement addictif, on ne souhaite plus le lâcher tellement il y a de suspense et de rebondissements. On se demande sans cesse page après page : Que va devenir le personnage d' Axelkhan ?

Pour situer l'action, l'intrigue se passe dans une époque lointaine temporellement de la nôtre à l'ère où les hommes ont colonisé l'espace.
Axelkahn est un ténor ultra-connu et reconnu dans la galaxie car il possède un timbre de voix extraordinaire. Il enchaîne les concerts, les opéras. Les gens se ruent pour l'écouter. Il fait salle comble. Sa célébrité lui permet de connaître le faste et le luxe. Il est considéré par ses compatriotes comme un véritable dieu vivant.
Sa voix n'a rien de bien naturel. Il n'est pas doté d'un talent inné. Mais grâce à une technologie d'un peuple un peu mystique les Yuweh, celui-ci bénéficie de biopuces qui lui confèrent une voix hors du commun.
Dans cette société, il faut faire bonne figure ne jamais laisser paraître que le corps se dégrade au fil du temps et ne pas montrer ses faiblesses liées au l'humanité. Etre lisse. Tous se camouflent derrière des subterfuges technologiques pour défier la nature. Malheureusement, pour Axelkahn, un jour en plein concert ses biopuces cessent de fonctionner. La fin de sa prestation est un véritable fiasco. Sa chute sera à l'image de son ascension : extrêmement rapide. le verdict du public ne se fera pas attendre.
Il va être totalement renié par ses fans, eux qui l'avaient tant applaudi. Il va se retrouver être un humain comme les autres. Il va alors tenter de trouver le peuple Yuweh pour une petite réparation mais ceux-ci après moult recherches demeurent totalement introuvables. Pour retrouver sa voix coûte que coûte, Axelkahn totalement ruiné, va se lancer dans une quête effrénée pour localiser ce peuple et enfin acquérir de nouvelles biopuces qui mettront un terme à son cauchemar. Pour survivre, il va constituer une troupe de Théâtre : la compagnie des fous composés de personnes qui ont été rejetées par leurs familles ou la société en raison d'une infirmité ou d'une profession peu honorable. Avec eux, il va parcourir l'univers pour se diriger vers la planète Griffith, où selon les rumeurs se cacherait un dernier représentant des Yuweh. Bien sûr, cette quête ne se déroulera pas sans embûches : allostérie, attaque de pirates de l'espace et encore bien d'autres difficultés.
Au cours de long voyage, le personnage d' Axelkahn va redécouvrir les valeurs humaines dont l'humilité.

Un vrai roman initiatique, avec une intrigue totalement fascinante prônant la créativité humaine et la beauté de l'Art. Laurent Genefort nous transporte à des années lumières de chez nous. Il nous fait découvrir des contrées inconnues directement issues de son imagination avec une évidence sans pareille.

Un roman à lire sans aucune hésitation…C'est une occasion pour les non-initiés de se mettre à la science-fiction.
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Considéré par certains comme le plus grand chanteur lyrique de l'univers, l'incroyable divo Axelkhan perd sa voix. En réalité, son talent naturel pour le chant avait été artificiellement amélioré par les Yuweh, une étrange race extra-terrestre. Malheureusement, les biopuces implantées dans sa gorge sont tombées en panne. Il charge donc son intendant de retrouver les Yuweh, ce qui s'avère une mission impossible. Son incapacité à chanter ayant provoqué sa ruine, il décide donc de partir lui-même en quête de ces mystérieux extra-terrestres...

C'est peu de dire que j'attendais avec impatience la ré-édition par Folio-SF de ce roman précédemment paru en 1996 ! Fidèle à lui-même, Laurent Genefort nous livre ici un magnifique roman de space opera qui s'inscrit dans son oeuvre globale (du moins pour son pendant science-fictionnesque), la Panstructure. Il est d'ailleurs fait allusion, au tout début de ce roman et à deux reprises, aux peaux-épaisses, qui se trouvent dans un autre livre de l'auteur, Les Peaux-épaisses justement (ce sera l'occasion d'une prochaine lecture et d'une chronique à suivre, bien sûr !)

S'il est un talent que l'on peut accorder à Laurent Genefort, c'est l'art de raconter des histoires. Et là encore, il met en oeuvre tout son savoir-faire pour nous emporter très loin de notre quotidien souvent morne et triste. Même si l'histoire commence mollement, à l'image de ce personnage principal, obèse et totalement imbu de lui-même. Un personnage antipathique s'il en est, qui va se transformer sous les yeux du lecteur sans que celui-ci ne se rende compte. C'est du moins l'impression que cette lecture m'a laissé. Parce que s'il est une règle d'or qu'un romancier doit suivre, c'est bien : "Show, don't tell" (Montre mais ne dit pas). A aucun moment l'auteur ne nous explique que son personnage est antipathique avec les autres. Il le montre tout simplement condescendant. Et, au fur et à mesure que le roman avance, on se surprend à aimer ce personnage qui se libère petit à petit de son complexe de supériorité. Pour ça, je trouve que Laurent Genefort est un auteur formidable. On est tellement pris par l'histoire qu'on ne voit même pas que le héros de l'histoire est en train de se transformer sous nos yeux, que d'une chenille il devient papillon.

Alors même si je ne suis pas sûr d'avoir totalement su visualiser l'univers que ma offert l'auteur, parce que c'est particulièrement dense et riche, je dois dire sans ambages que j'adhère. C'est une histoire échevelée qui sent bon les références à Jack Vance. de l'aventure, mais pas que. Des décors splendides et de la psychologie. Car le personnage principal n'est pas le seul à prendre de l'épaisseur tout au long de l'intrigue. D'autres protagonistes - des membres de la troupe de théâtre qu'Axelkahn forme pour atteindre son objectif - se joignent à lui et ne sont pas là juste comme faire-valoir, ni faire de la figuration. Alors, d'accord, certains ne sont pas mis en valeur. Mais ce livre ne fait que 400 pages. Mais ce sont 400 pages de pur bonheur.

Au final, même s'il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur ce magnifique Les opéras de l'espace, je n'en ajouterai pourtant qu'une seule : lisez-le ! Plus qu'une injonction, c'est un conseil d'ami. Si vous me suivez sur ce coup-là, je vous promets un très bon moment de lecture, tout en finesse et en émotions.
Lien : http://les-murmures.blogspot..
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Un livre intérressant, entre le steampunk à la bruce sterling (je pense notament à "la Shismatrice", qui évoque aussi le théâtre) et le space opéra à la bordage (qui tire un peu sur l'ethno S.F).
L'univers est veritablement merveilleux et les mondes qu'il décrit (vraiment poétiques et délicats), compensent parfaitement les quelques faiblesses de ce livre:
- Je trouve l'histoire presque trop linéaire et un peu redondante, la troupe s'arrête dans différents villages elle doit y faire face des intendants peu ouvert d'esprit et repart presque sans domage.
- Les personnages cohérants et bien construit sont presque trop lisses et n'offrent pas à mon goût toutes les surprises auxquelles on aurait pu s'attendre de la part de "fous".
- Puis je trouve que cela manque de "punch" C'est un roman propre, pas trop de sexe ni de rock'n'roll. Juste ce qu'il faut pour assurer un gentil succès littéraire.

J'ai eu la chance de rencontrer généfort au mans il y a quinze jours, qui m'a dit qu'il regrettait le format "fleuve noir anticipation" (il est passé par là à ses débuts) qui était était moins délayé. Il est vrai que la mode en S.F depuis les années 90 c'est d'étirer les trames.

Les opéras de l'espace demeure tout de même un trés bon livre ce qui n'est pas surprennant pour l'un des meilleurs auteurs de S.F française.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
— Un client pour toi. Keziah est mort tout à l'heure.
Le type eut l'air choqué.
— Que lui est-il arrivé ?
— Il était vieux, plus de mille ans...
— Mille ans !
Nohan ne put réprimer un sourire. On pouvait faire avaler n'importe quoi aux superstitieux. Tant que l'humanité en produirait en masse, son existence était assurée.
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Où trouver un Yuweh ? Ils n'avaient pas de planète d'élection, voguaient dans des vaisseaux-mondes organiques dotés disait-on d'une conscience propre, et respiraient des gaz empoisonnés. De l'extérieur, leurs vaisseaux ressemblaient à des fleurs immenses, complexes et uniques comme les flocons de neige.
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"Dans les habitats spatiaux, chaque individu avait une conscience aiguë de l'environnement, inculquée dès l'enfance car il en allait de la survie de la communauté toute entière. C'était d'ailleurs, il s'en était rendu compte au cours de ses tournées de chant, ce qui différenciait les planétaires des habitants du ciel. Chez les premiers, l'environnement n'était qu'un un réservoir de ressources à exploiter jusqu'à l'épuisement. Ils appliquaient la politique des Compagnies multimondiales. Chez les seconds, qui devaient subsister dans des économies fermées, l'angoisse de l'accroissement entropique dominait la culture comme les rapports humains.Leur esprit était conditionné par l'idée qu'ils vivaient en équilibre fragile non seulement dans l'espace, mais aussi dans le temps. L'obsession de la rentabilité et de la transformation procédait d'un instinct de survie profondément enraciné." (p. 96-97)
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Des larmes brillaient dans ses yeux. Elle laissa tomber l'arme et s'avança vers la passerelle, à l'image d'un insecte attiré par la flamme. Les fresques, peintes de couleurs criardes, représentaient les membres de la troupe revêtus d'habits chamarrés, dans diverses poses, comiques ou tragiques.
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Il n'y a que vous de vivants : l'artiste, c'est celui qui fait quelque chose que personne ne lui a demandé de faire. Il est le vivant par excellence. Parce qu'on ne nous a pas demandé de vivre.
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