Après Le Chant profond (José Corti, 1985), Lire comme on se souvient (Phébus, 2000), Jean Mambrino déverse une fois de plus sa hotte de liseur impénitent, pour le plus haut régal de ceux qui savent que les livres en tout cas les meilleurs dentre eux sont dincomparables amplificateurs du simple bonheur dexister. Seul Bachelard avant lui aurait su composer un recueil de textes fondés sur une... >Voir plus