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EAN : 9782714454089
1590 pages
Belfond (08/11/2012)
  Existe en édition audio
4.07/5   309 notes
Résumé :
Pour les adeptes de Murakami, un coffret raffiné qui regroupe l'intégrale des aventures trépidantes et romantiques d'Aomamé et Tengo.

Que lire après 1Q84, tomes 1 à 3Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (42) Voir plus Ajouter une critique
4,07

sur 309 notes
Avant 1Q84 :

Moi quand on me parlait de littérature Japonaise, j'étais toujours à la page : Naruto, Dragon ball (de A à Z, les chevaliers du zodiaque sailor moon etc…Bref j'en connaissais un rayon, personne ne pouvait me la faire à l'envers, j'étais ce qu'on pouvait appeler un expert.

Mais un jour, genre il y a longtemps, une personne me parle de 1Q84 :

- Ah je suis toute chamboulée, me dit-elle, quelle poésie, vous devriez essayer
- Mouais, jamais entendu parlé de ce manga
- ??? Me lança-elle de ces 56 ans bien entamés
- Bah j'ai grandi vous savez, depuis le démantèlement du club Dorothée, j'ai du décrocher, de temps à autre je replonge mais voilà, aujourd'hui je suis clean, donc vous remballez votre came, moi je reste dans la vraie littérature….
- ???? Se fâcha-t-elle
- Ok on a jamais eu cette conversation vous et moi….

Finalement j'ai filé chez mon libraire et j'ai pécho 1Q84 : tome 1, 2 et 3 soit un total d'environ 1600 pages… lu en 3 jours, une semaine de congés qui finalement tombait bien…(pur hasard)

Après 1Q84

Je ne vais pas essayer de vous expliquer quoi que ce soit, tout a été dit ou écrit, c'est juste beau à lire, beaucoup de poésie, une histoire fantastique, des personnages sympathiques, deux destins liés, deux mondes parallèles, une jolie histoire d‘amour ...

Mais j'ai quand même rien compris...

Bref :
« Si tu as besoin qu'on t'explique pour que tu comprennes, ça veut dire qu'aucune explication ne pourra jamais te faire comprendre »…. (citation du roman)

De retour au boulot après IQ84

- Alors me demanda-t-elle, qu'est-ce que vous en avez pensé ?
- Bah que vous m'avez conseillé un bouquin rempli de scènes de cul et que vous avez aimé ça…
- Pauvre c..
- Oh allé je déconnais, revenez, revenez, c'était marrant…….. Non ???…Allé quoi, on va pas se bouder….

Merde faut que je file

A plus les copains
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J'ai découvert Haruki Murakami récemment avec le recueil de nouvelles « Des hommes sans femmes », un choc, une révélation ! Ensuite j'ai poursuivi avec « Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil », retrouvant un conteur hors pair mais sans atteindre la magie du premier livre lu. Quand un ami m'a proposé 1Q84, j'étais à la fois curieux – cela évoquait le tout premier livre chroniqué sur ce blog, le fameux 1984 de George Orwell – mais aussi méfiant devant les trois tomes de plus de cinq cents pages chacun... La renommée aussi de l'oeuvre, classée « Best-seller mondial », était de nature à provoquer chez moi un mouvement de recul.

J'ai ouvert le tome 1 et lu les premières pages. J'avais d'autres lectures en cours et je ne savais pas si j'allais attaquer immédiatement cette montagne de 1663 pages. Je n'ai pas eu à me poser cette question bien longtemps étant déjà totalement pris dans les filets de l'auteur. J'ai lu le tome 2 dans la foulée avec la même passion. Au tome 3, j'ai ressenti une certaine appréhension : tout était trop parfait dans ce récit mêlant un réalisme des personnages et un fantastique des plus débridés. Quel auteur serait capable de relier les fils complexes tissés dans cette « chrysalide de l'air » sans perdre le lecteur ? Tout cela, ces heures de lectures merveilleuses, ne vont-elles pas sombrer dans un dénouement tragique ou, pire encore, indéterminé – comme dans « Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil » – ? Il n'en a rien été : Haruki Murakami tient ses promesses jusqu'à la dernière ligne achevant une oeuvre que je trouve quasi parfaite. Il a réussi sa superbe chrysalide de mots ! du grand art et une musicalité dans le récit qui doit certainement beaucoup à la traductrice Hélène Morita (c'est elle qui a également traduit « Des hommes sans femmes »).

On retrouve dans 1Q84 – paru en 2009-2010 – bien des thèmes présents dans les deux livres lus précédemment. Au sud... sorti en 1992 alors que Des hommes... est plus récent, sorti en 2017.

Entre l'année 1984 et le monde mystérieux de 1Q84, les existences d'Aomamé (dont le nom signifie haricots de soja verts en japonais...) et de Tengo sont nouées. L'odyssée initiatique commence avec un premier tome captivant, la mise en place du récit, l'installation dans une autre dimension, celle des deux lunes. Cela fonctionne parfaitement même pour moi qui ne suis pas un lecteur habituel de fantastique. La suite évolue vers le thriller et le roman d'amour, Aomamé et Tengo ayant vécu ensemble une expérience forte alors qu'ils étaient dans la même classe (je ne peux pas en dire plus... il faut découvrir par soi-même).
Le fantastique est au service de la vérité humaine : l'enfance malheureuse, l'éloignement des parents, la séparation, la solitude, les aléas de la vie. Sans en dévoiler trop, je peux dire que la maltraitance des femmes tient une place centrale.
Tous les personnages sont incroyablement bien définis, ils vivent réellement pour le lecteur que je suis, permettant d'adhérer à des situations bien improbables. Sans tomber dans les bons sentiments, l'empathie est la règle, même l'affreux Ushikawa, à la poursuite d'Aomamé, est minutieusement décrit et expliqué par la vie qu'il a menée depuis l'enfance. Il y a de la sociologie dans cette oeuvre complexe alors qu'elle se lit facilement !

Les allers-retours avec le monde de l'enfance pourraient expliquer le recours au fantastique, au conte. Murakami développe une sorte de fable dans le récit en faisant apparaître les « Little People » qui entrent dans la pensée des gens, modifiant le cours des choses. Il y a une jubilation de l'auteur à raconter en prenant tout son temps. Cela m'évoque une sorte de spirale qui s'élève en se rapprochant de plus en plus lentement d'un centre à atteindre. le temps par exemple de procurer une arme à Aomamé et de savoir si elle s'en servira ou pas. Ce n'est pas pour rien qu'une des superbes nouvelles dans « Des hommes sans femmes » est Schéhérazade, une histoire présentée comme vraie car un bon conteur « doit être crédible s'il possède son art ». Une femme, cette Schéhérazade magnifique, racontait des histoires sans fin à son amant captivé. Ici la Schéhérazade est Aomamé. Plus que Tengo elle est le personnage principal du récit. Tengo est un jeune écrivain d'une trentaine d'année qui cherche sa voie. Il vit dans la solitude, le ressentiment de ses jeunes années, des questions qu'il se pose sur ses parents, avec l'espoir fou de revoir cette Aomamé, seul souvenir heureux de son enfance.

Tengo est un personnage fort et faible à la fois tout comme Komatsu, son éditeur pour le livre « La chrysalide de l'air » où il a joué le rôle de ghost writer. Il n'est pas moteur dans l'histoire, à la différence d'Aomamé... Il absorbe les évènements et les retranscrit en romans. Il est certainement pour une grande part l'auteur lui-même. Un autre personnage fort du monde de 1Q84 est Tamaru, ce professionnel de la sécurité au service de la vieille dame fortunée, liée aussi à Aomamé, s'étant donné pour but de venir en aide aux femmes victimes d'hommes violents, de manière « définitive » si besoin. Ce Tamaru est une sorte de justicier agissant méthodiquement dans l'ombre, tout comme l'écrivain qui est là pour tout régler pour le lecteur.

Aomamé lit Proust. Tamaru cite Tchékhov et Jung, pas mal pour un garde du corps ! Pour Tengo, dans sa relation compliquée avec Fukaéri – il a réécrit le roman de cette jeune femme de dix-sept ans et en a fait un roman à succès –, il est question du dit des Heiki, de Tchékhov et d'Orwell (il explique alors, à peu près... que son livre n'est pas le 1984 d'Orwell car il ne réécrit pas l'histoire collective, il réécrit son roman à lui). En mettant autant de références littéraires, Murakami met sur la voie de l'interprétation possible de cette oeuvre ambitieuse. Dans 1Q84, il décrit magnifiquement le processus de création pour l'écrivain. Si ce dernier est crédible, il peut inventer de toute pièce un univers, le sien. Mais je comprends qu'il va bien plus loin, en affirmant pouvoir découvrir des voies de passage vers un autre mode de perception hors du monde apparent, superbement mis en images dans le texte. Ces voies sont étroites et incertaines. Elles permettent de recoller les morceaux, épars ou perdus par le temps, du passé. Un voyage initiatique pour vivre pleinement, sortir de la solitude et du ressentiment. Il exprime son art comme un conte foisonnant expliquant le réel, en prise avec lui et l'influençant également.

Un très grand livre que je vous conseille si vous voulez rêver tout en réfléchissant au processus de la création littéraire. de très belles heures de lecture selon moi ! le titre est en lui-même génial, le Q remplaçant le 9 de 1984 pour mettre hors du temps réel ce récit, avec Q comme question comme l'explique elle-même Aomamé. A noter qu'au Japon, on prononce « Q » à l'anglaise « kjuː » et le « 9 », lui, se prononce « kyū », d'où la même lecture de 1984 et de 1Q84.
*****
Retrouvez cette chronique complète avec une photo personnelle des couvertures des trois tomes ainsi qu'une illustration musicale (sur mon blog Bibliofeel) : Leos Janacek, Orchestre Philharmonique Tchèque, direction Jakub Hra, pour le concert du nouvel an 2020. Extrait de la Sinfonietta, le 3ème mouvement. Cette petite symphonie, sorte de fil conducteur du récit, est une ode à la nature et à la vie. Elle s'accorde parfaitement au climat virevoltant de l'histoire. Et quel son, au niveau des cuivres notamment, dans cette version !

Lien : https://clesbibliofeel.blog
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1Q84. Voici deux semaines que je l'ai terminé, et je suis encore avec les personnages. Il faut dire qu'Aomamée et Tengo ont fait partie de ma vie pendant quelques semaines. Je ne vais pas vous en faire un résumé, et cela pour deux raisons. D'abord, vous avez déjà dû lire maintes critiques avant d'arriver sur la mienne et vous avez donc déjà une bonne idée de l'histoire. Et ensuite, il est très difficile pour moi de faire un résumé qui mette en valeur cette histoire (et je ne veux absolument pas déflorer les moindres aspects de ce roman, que je qualifierais de conte).

Je n'aime pas vraiment les livres fantasy, ou de sorcier, ou qui se passe dans des mondes parallèles. Vous voyez de quoi je parle. J'ai quand même fini par me décider à entamer 1Q84, car je n'en entendais que des éloges autour de moi. Bon, voilà que je commence le début du premier tome, en me laissant complètement porter par l'histoire. Et au fur et à mesure que l'histoire avance, je m'attache de plus en plus aux personnages. Bien sûr, il y a Aomamée et Tengo, mais aussi la vieille dame et son protecteur, ainsi le père de Tengo. Et plein d'autres au sujet desquels je resterais muette.

Murakami m'a littéralement entrainé dans son histoire, de façon douce et lente. Il n'y a que lui pour arriver à faire ce tour de force!
J'ai pu comprendre l'histoire (oui, pour moi il s'agit bien de compréhension dès qu'il s'agit de mondes différents du nôtre) grâce aux répétitions (voulues et bienvenues). Chaque personnage reformulait une situation, de façon différente. Et c'est bien grâce à ce style particulier que j'ai pu accrocher à l'histoire (je me suis même imaginée vivant en 1Q84!).

Je ne l'ai pas encore formulé: j'ai adoré ce roman! Comme je le disais plus haut, j'ai plus l'impression d'avoir lu un conte. Et dans ce conte, toutes les situations de la vie sont abordées: la vie et la mort, la maladie et la santé, la jeunesse et la vieillesse, la maternité, l'argent, les sectes et les croyances... j'en oublie. Et le tout, sans aucun pathos.

Il y a longtemps que je n'ai pas lu un livre aussi intéressant et qui me laissera un souvenir pour longtemps.
Qu'est-ce que je pourrai dire qui n'a pas déjà été dit. Je suis une simple lectrice, et ce n'est que mon ressenti qui le fait aimer un livre (ou pas). Et celui-ci, je l'ai réellement aimé!
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1Q84 est le premier roman d'Haruki Murakami que j'ai lu après ma première visite au Japon en janvier 2011. Trois gros volumes pour me laisser sur ma faim à la fin.

Finalement, je suis contente d'avoir commencé par 1Q84 plutôt que par Kafka sur le rivage, que tellement d'autres avaient préféré.

Dix ans plus tard, j'ai eu envie de me replonger dans 1Q84, version audio. Il est vrai que 1Q84 marque une rupture dans l'oeuvre de Murakami : ses thèmes de prédilection, comme les chats ou la deuxième guerre mondiale en Asie sont pratiquement absents. Certains personnages disparaissent et certains mystères ne sont pas expliqués, alors que certains épisodes, vu par trois protagonistes différents, nous donnent parfois l'impression de "déjà-lu" (ou déjà entendu en cas de livre audio).
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Les trois tomes de 1Q84 sont indissociables, ils ne peuvent pas être lus séparément ni dans le désordre.

Aomamé est professeur de gymnastique et masseuse. Talentueuse, elle parvient à soulager bien des douleurs. Elle joue aussi parfois les justicières, à sa manière, illégale mais efficace…
Tengo est professeur de mathématiques mais rêve aussi de devenir écrivain. En attendant, il travaille comme lecteur dans une maison d’édition. Il découvre ainsi un livre étrange, au contenu prometteur, mais rédigé dans un style déplorable. Lorsque son patron lui propose de réécrire ce manuscrit pour l’éditer, Tengo est tenté par l’aventure. Son honnêteté intellectuelle le fait cependant hésiter.

Les vies actuelles et passées de ces deux personnages sont alternativement présentées. Leurs vies se croisent, se séparent, puis semblent se rapprocher inexorablement et mystérieusement.

Ce roman de science-fiction est original, puisqu’il présente aussi des caractéristiques d’autres genres littéraires (policier, fantastique…). L’intrigue est intéressante, et est l’occasion de réflexions sur divers sujets : phénomènes sectaires, décalages entre ce que nous percevons et la réalité, place du libre arbitre dans nos vies. L’écriture est en outre très agréable, caractérisée par une très grande clarté dans les propos. Cela contribue beaucoup à la crédibilité d’une histoire qui, présentée différemment, serait d’abord apparue comme totalement farfelue. Le soin de l’auteur à expliquer ses propos nuit cependant au plaisir de lecture. De fait, le principal défaut de cet ouvrage réside selon moi dans ses longueurs. Ainsi, je n’ai pas trouvé d’intérêt aux deux pages consacrées au choix d’Aomamé de s’acheter un caoutchouc plutôt que des poissons rouges. Les récits de quelques rêves de personnages - technique narrative que d’une manière générale je n’apprécie guère – m’ont aussi paru tout à fait superflus. Enfin l’auteur inclut dans son récit de fréquentes pauses-pipi de ses personnages (et même d'animaux), et décrit parfois le soulagement qui en résulte ! Je présume qu’il a ainsi souhaité renforcer le réalisme de son propos. L’excès ou le mieux est cependant parfois l’ennemi du bien. Le lecteur peut se demander si M. Murakami souffre de problèmes de prostate, et se réjouir qu'il ne soit pas atteint de gastro-entérite chronique...

Une série originale, au style agréable mais trop lente/longue.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Tengo regarda le visage de son père. Le comprenait-il ? Dans ce contexte, il n’y aurait rien de bizarre à ce que tu aies détaché ton esprit de ton corps, et que tu l’aies déplacé dans un autre monde où tu peux évoluer en toute liberté. Comme si les règles du monde qui nous entoure avaient commencé à se relâcher. Et ainsi que je te l’ai dit, j’ai la sensation étrange que oui, tu le fais vraiment. Par exemple, tu es allé frapper à la porte de mon appartement, à Kôenji. Tu vois de quoi je parle ? Tu affirmes que tu es un collecteur de la NHK, tu frappes avec insistance à la porte, tu profères des menaces dans le couloir. Comme cela nous es si souvent arrivé, quand nous faisions la tournée de la redevance, à Ichikawa.
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Les quelques journées consécutives de redoux s’en étaient allées, le véritable hiver rigoureux semblait à présent régner en maître. Les extrémités des branches de l’orme tremblaient en craquant sèchement, semblables aux doigts d’un ancêtre qui délivrerait un avertissement.
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Après tout, on donne bien des noms aux chiens ou aux chats. Il n'y a pas de raison que ce nouveau monde altéré n'en ait pas.
1Q84 - voilà comment je vais appeler ce nouveau monde, décida Aomamé.
Q, c'est la lettre initiale du mot Question. Le signe de quelque chose qui est chargé d'interrogations.

« Ces derniers temps, as-tu étreint quelqu’un ? » demanda Aomamé à la lune.
La lune ne lui répondit pas.
« As-tu des amis ? » demanda Aomamé.
La lune ne lui répondit pas.
« N’es-tu pas lasse de vivre ainsi, avec autant de froideur ? »
La lune ne lui répondit pas.
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Ce serait trop long de tout t’expliquer, mais la chrysalide de l’air, à l’origine, c’est un pur produit de l’imagination, quelque chose de chimérique. Plus maintenant pourtant. La ligne de partage entre le monde réel et l’imaginaire est devenue floue. Dans le ciel brillent deux lunes. Et ce phénomène est également issu du monde de la fiction.
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Il était néanmoins bien conscient que l’ordinateur était en train de devenir un outil indispensable à la collecte de renseignements. Se rendre à la bibliothèque de la Diète, empiler sur sa table les éditions compactes des journaux et des annuaires, consacrer une journée entière à pêcher une référence, toutes ces méthodes seraient bientôt dépassées. Et le monde finirait par devenir un champ de bataille sanglant entre les administrateurs d’ordinateurs et les intrus qui chercheraient à pénétrer par effraction dans le système.
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Videos de Haruki Murakami (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Haruki Murakami
Pierre Földes a choisi d'adapter six nouvelles de l'écrivain Haruki Murakami dans son film d'animation "Saules aveugles, femme endormie". Pour conserver l'atmosphère de fantastique décalé et de mélancolie, Földes enchevêtre les histoires et suit le parcours de quatre personnages après le tremblement de terre et le tsunami qui ont touché le Japon en 2011.
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