C'est le troisième roman que je lis d'
Amélie Nothomb, celui qui a la plus grande renommée. J'en attendais beaucoup et cela a sans doute renforcé mon sentiment de déception. Je n'imaginais pas le travail dans une entreprise nippone tel quel a été décrite. Un aspect cependant, de ma pensée rejoint celle exprimée dans le livre, c'est que le travail pour un employeur, tient infiniment plus de place que la vie privée, que penser à soi-même.
Ce roman est paraît-il autobiographique. Nous ne sommes pas dans l'imaginaire sauf quelques petites accommodations, mais dans le réel. Ici le réel s'assimile au diktat du pouvoir et à la soumission des employés. Seuls les encadrant hiérarchisés ont des idées pour leur entreprise et son habilité à les exprimer.
Les chefs ont toujours raison, même quand ils ont tort.
Si un employé accède au pouvoir plus rapidement qu'un autre, cela suffi à nourrir un sentiment de jalousie.
Comme décrit, je ne suis pas intéressé à travailler au Japon et reconnais qu'Amélie a eu bien du courage.