Stupeur et Tremblements

C'était mon premier Nothomb. Il ne m'a pas donné envie de poursuivre avec d'autres ouvrages. Pour autant, la lecture est agréable, des touches d'humour sont présentes mais la fin est bâclée. L'industrie nippone y est décrite de manière très clichée.

C'est la première fois que je lis un Amélie Nothomb. J'ai trouvé la lecture du roman plutôt agréable par une écriture fluide et simple malgré les nombreux termes et figures de style employés. Mais j'avoue m'être ennuyée avec ce roman... Des situations, bien que différentes, assez redondantes dans la réaction des personnages et prévisibles. le fait de rester dans un même lieu tout du long peut être intéressant mais là, rester dans l'entreprise tout du long... J'ai trouvé cela un peu ennuyeux au fur et à mesure, sans substance.

Et puis, cette narratrice qui ne se révolte jamais malgré l'humiliation... Elle a des réactions vraiment particulières. Je ne suis pas sûre de lire un autre livre de cette auteur...
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L'avantage d'Amelie Nothomb c'est qu'elle publie un livre chaque année.
L'inconvénient d'Amelie Nothomb, c'est qu'elle oublie un livre chaque année.
Ainsi, si la gourmandise annuelle a laissé, malheureusement, un mauvaise impression, on peut se consoler en attendant la prochaine qui est imminente.
Stupeur et Tremblements est à mon avis un des plus mauvais libre de Nothomb, et ça me fait mal au coeur de le dire parce que j'adore vraiment cette autrice.
Dans ce roman, quasi autobiographie, on suit Amelie qui dégringole dans la hiérarchie d'une sociét nippone à cause de son incompétence maladive aux tâches de bureau. C'est le mal des grands artistes : la difficulté voir l'impossibilité au conformisme. Et Dieu sait que le Japon est un pays conformiste.
Alors, si Amelie découvre chaque mois un nouveau supplice, ceux ci nous paraissent à nous, lecteurs, d'abords amusents puis rapidement repetits. La mécanique du livre reste la même tout le long. Très peu de surprises nous attendent. le voyage administratif d'Amelie est une pente régulière et triste. Et son style s'y particulier semble ici relativement discret. On l'a connu beaucoup plus drôle ( Métaphysique des tubes), beaucoup plus cruelle ( Acide sulfurique) ou beaucoup plus envolée ( le fait du prince). Mais comme dit plus haut, l'avantage c'est qu'on attends le prochain avec la joie de se dire qu'il sera probablement meilleur que celui ci. Amelie Nothomb, je t'aime, je te pardonne. A la prochaine.

J'ai aimé découvrir les us et coutumes en entreprise japonaise, ce décalage entre les habitudes Occidentales et Orientales. Mais j'ai trouvé ce roman plat, pas de surprise, pas de rebondissements, il ne passe pas grand chose. La narratrice subit, et voilà, ça se termine le jour où cela doit se finir. Bref, pas un coup de coeur.

Après avoir entendu parler de ce livre et beaucoup hésitée, je me suis lancée...

Résultat je ne suis pas vraiment emballée par cette lecture.
Pour ma part je n'ai pas accrocher avec le personnage principale, qui dans l'hésitation constente et fait des choix qui mène à pire situation !
Même si c'est une lecture facile et sans prise de tete je ne suis pas tout de même pas convaincue par ce livre.
Libre à vous de le lire !

Stupeur et tremblements est un récit autobiographique qui observe le choc des cultures belge-française et japonaise. Dans son récit, Amélie Nothomb examine entre autres la différence des cadres et des statuts homme-femme dans une entreprise figée dans ses traditions.

Rempli d'auto-dérision, ce livre se moque de l'incompréhension, de l'humiliation et de la régression des compétences japonaises de son héroïne. Les propos caricaturaux et désobligeants de ce roman ne m'ont malheureusement pas impressionnée.

Les thèmes de soumission consentie, de statut social et professionnel, de mode de pensée différent, et d'abaissement semblent avoir été développés que pour but de choquer. Je n'arrivais pas à comprendre l'héroïne qui s'avérait toujours à choisir systématiquement le comportement le plus maladroit devant chaque situation délicate. Contrairement aux autres romans que j'ai lus d'Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements n'était seulement pas fait pour moi.

Grand prix du roman de l'Académie française en 1999, livre encensé, des milliers de lecteurs....
Et moi je trouve ça moyen, moyen, moyen....je suis certainement passée à côté de quelque chose.....ou pas....
Amélie Nothomb dévoile dans ce roman autobiographique une partie de sa vie dans une entreprise japonaise avant le démarrage de sa vie d'autrice.
On y découvre la culture d'entreprise nippone, la place de celle-ci dans la vie sans fioritures des japonais....on y découvre la place de la femme japonaise.
Et forcément face à tout ceci vont se heurter la culture occidentale et japonaise.
Ça aurait pu être très intéressant si l'autrice n'avait pas choisi l'humour et la caricature. Car oui on a des situations qui font sourire à défaut de faire rire.
Donc même sous cet angle, on n'est pas sur une pépite.
Heureusement ce livre se lit vite car 100 pages de plus et j'aurais été vraiment lassé.
C'était mon 1er de cette autrice que je souhaitais découvrir. A voir si je me laisserai tenter par un 2ème.

Autant je peux apprécier la patte farfelu d'Amélie Nothomb dans ces romans, autant je n'adhère pas du tout à son autobiographie. Je ne comprends pas l'engouement pour Stupeur et Tremblements ! Non seulement, la société japonaise n'est pas représentative de sa culture de l'entreprise. Mais en plus, l'expérience d'Amélie Nothomb au sein de l'entreprise Yumimoto n'a rien d'un cas isolé ! Des stagiaires sous-estimés et mal traités, il y en a partout autour de nous. Il aurait été plus pertinent de proposer un décret pour les conditions de travail des stagiaires que ce livre. Ne commencez pas par ce roman pour découvrir cette autrice !

Un livre qui peut-être très ennuyant à certains moments, on a limite envie d'arrêter. On dit du livre qu'il va être drôle , non on a surtout honte pour elle ou gênée mais pas de là à être drôle. Facile et rapide à lire. Je suis très contente de l'avoir fini parce que c'était tellement chiant à lire.

Comment dire du mal d'un des livres références d'un auteur qu'on apprécie ? .... Je vais donc me contenter de passer rapidement en disant que je me suis ennuyé en lisant ce roman ... une fois n'est pas coutume ... sans rancune ?